Les partisans du président de la République, AbdelazizBouteflika, donnentl'impression de vouloir passerà la vitesse supérieure,s'agissant de leur soutien auchef de l'Etat. Les partisans du président de la République, AbdelazizBouteflika, donnentl'impression de vouloir passerà la vitesse supérieure,s'agissant de leur soutien auchef de l'Etat. Ainsi, les partis qui forment déjà la majorité parlementaire viennent delancer une "coalition". Les quatrepartis que sont le FLN, le RND, le MPAet TAJ, ont annoncé, mercredi en début desoirée, avoir décidé de "formaliser leursrelations dans le cadre d'une coalition desoutien" au président de la République.Cette annonce est intervenue suite à la réunion,le jour même, des leaders de ces quatrepartis politiques."MM. Djamel Ould Abbès, secrétaire général du Front de libérationnationale (FLN), Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement national démocratiq(RND), Amar Ghoul, président duTajamoua Al Djazair (TAJ) et Amara Benyounès, président du Mouvementpopulaire algérien (MPA), ont tenu ce jour, mercredi 7 novembre 2018, une réunion de coordination entre Partis de la majorité présidentielle" a, en effet, indiquéun communiqué rendu public, sans précisertoutefois le lieu de cette rencontre. "Après avoir analysé la situation politiquedans le pays, notamment, dans la perspectivedes prochaines électionsprésidentielles, les quatre partis ont décidé de formaliser leurs relations, dans le cadre d'unecoalition de soutien à SonExcellence,Abdelaziz Bouteflika, président de laRépublique", indique encore le communiqué. Il est donc clair, comme cela est explicitementsouligné, que ce rendez-vous de la"majorité présidentielle" a un lien direct avec la prochaine élection présidentielle,qui aura certainement lieu au mois d'avril2019, soit dans cinq mois seulement. Si ces quatre partis disent soutenir le présidentBouteflika, curieusement, il n'est nul mention d'un 5e mandat, ou d'un ppel du président, à "poursuivre sa missiontson oeuvre à la tète de l'Etat".Pourtant, les appels de ce genre sont alléscrescendo depuis un certain temps, et lesecrétaire général du FLN, Djamal OuldAbbas, a même fait la Une de la presseinternationale, en delarant que le presidentBouteflika est le candidat du parti pour lesélections présidentielles de 2019. Ahmed Ouyahia et Amar Ghoul se sont,eux aussi, clairement prononcés en faveurd'un 5e mandat pour le président Bouteflika. Selon nombre d'observateurs, l'absencede toute référence au 5e mandat pourrait être une concession faite auchef de file du MPA, Amara Benyounés. En effet, ce parti, et contrairement à ces partenaires dans cette nouvelle coalition, n'a pas encore indiqué sa position, puisque iltergiverse encore sur la question du 5e mandat. Amara Benyounés, qui n'a eu de cesse de déclarer son indéfectible soutienau chef de l'Etat, ne veut pas, contrairement à ses alliés, "forcer la main" àBouteflika qui n'a pas, pour l'instant il estvrai, encore dévoilé son intention de seprésenter pour un nouveau mandat ou non.Mais malgré cela, ces 4 partis sont sur lemêmes longueurs d'ondes, dèsqu'ilestquestion de soutenir le président de laRépublique, son programme et ses décisions.Ces quatre partis, qui restent toutefoisdivisés sur la question du "frontpopulaire", puisque ni le RND, ni le MPA n'ont rejoint ce cadre, du fait que le FLNveut en être la locomotive, vont davantage resserrer les rangs de cette "coalition", aufur et à mesure que se rapproche le rendezvousélectoral. L'on annonce, d'ores etdéjà, une autre rencontre pour le 18novembre. Ainsi, les partis qui forment déjà la majorité parlementaire viennent delancer une "coalition". Les quatrepartis que sont le FLN, le RND, le MPAet TAJ, ont annoncé, mercredi en début desoirée, avoir décidé de "formaliser leursrelations dans le cadre d'une coalition desoutien" au président de la République.Cette annonce est intervenue suite à la réunion,le jour même, des leaders de ces quatrepartis politiques."MM. Djamel Ould Abbès, secrétaire général du Front de libérationnationale (FLN), Ahmed Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement national démocratiq(RND), Amar Ghoul, président duTajamoua Al Djazair (TAJ) et Amara Benyounès, président du Mouvementpopulaire algérien (MPA), ont tenu ce jour, mercredi 7 novembre 2018, une réunion de coordination entre Partis de la majorité présidentielle" a, en effet, indiquéun communiqué rendu public, sans précisertoutefois le lieu de cette rencontre. "Après avoir analysé la situation politiquedans le pays, notamment, dans la perspectivedes prochaines électionsprésidentielles, les quatre partis ont décidé de formaliser leurs relations, dans le cadre d'unecoalition de soutien à SonExcellence,Abdelaziz Bouteflika, président de laRépublique", indique encore le communiqué. Il est donc clair, comme cela est explicitementsouligné, que ce rendez-vous de la"majorité présidentielle" a un lien direct avec la prochaine élection présidentielle,qui aura certainement lieu au mois d'avril2019, soit dans cinq mois seulement. Si ces quatre partis disent soutenir le présidentBouteflika, curieusement, il n'est nul mention d'un 5e mandat, ou d'un ppel du président, à "poursuivre sa missiontson oeuvre à la tète de l'Etat".Pourtant, les appels de ce genre sont alléscrescendo depuis un certain temps, et lesecrétaire général du FLN, Djamal OuldAbbas, a même fait la Une de la presseinternationale, en delarant que le presidentBouteflika est le candidat du parti pour lesélections présidentielles de 2019. Ahmed Ouyahia et Amar Ghoul se sont,eux aussi, clairement prononcés en faveurd'un 5e mandat pour le président Bouteflika. Selon nombre d'observateurs, l'absencede toute référence au 5e mandat pourrait être une concession faite auchef de file du MPA, Amara Benyounés. En effet, ce parti, et contrairement à ces partenaires dans cette nouvelle coalition, n'a pas encore indiqué sa position, puisque iltergiverse encore sur la question du 5e mandat. Amara Benyounés, qui n'a eu de cesse de déclarer son indéfectible soutienau chef de l'Etat, ne veut pas, contrairement à ses alliés, "forcer la main" àBouteflika qui n'a pas, pour l'instant il estvrai, encore dévoilé son intention de seprésenter pour un nouveau mandat ou non.Mais malgré cela, ces 4 partis sont sur lemêmes longueurs d'ondes, dèsqu'ilestquestion de soutenir le président de laRépublique, son programme et ses décisions.Ces quatre partis, qui restent toutefoisdivisés sur la question du "frontpopulaire", puisque ni le RND, ni le MPA n'ont rejoint ce cadre, du fait que le FLNveut en être la locomotive, vont davantage resserrer les rangs de cette "coalition", aufur et à mesure que se rapproche le rendezvousélectoral. L'on annonce, d'ores etdéjà, une autre rencontre pour le 18novembre.