Ce n'est qu'à 22h passées, que le juge d'assises près le tribunal de Bir Mourad Rais arendu son verdict.es journalistes Abderrahmane Ce n'est qu'à 22h passées, que le juge d'assises près le tribunal de Bir Mourad Rais arendu son verdict.es journalistes Abderrahmane Semmar etMerouane Boudiab ont été relaxés, avanthier,en attendant un complément d'enquête.Le procès des deux journalistes n'acommencé que vers 15H30, et ce n'est qu'à 22H passées que le juge d'assises prèsletribunal de Bir Mourad Rais, a renduson verdict. Le magistrat a ordonné la relaxe des deux journalistes, AbderrahmaneSemmar et Merouane Boudiab, tout endemandant un complément d'enquête.43 avocats avaient pris part à la défensedes deux journalistes. Certains ont viterelevé les anomalies qui ont émaillées laprocédure pénale, notamment le fait queles deux journalistes ont été interpellés le23 octobre à 13H30, avant le dépôt de laplainte à 17H. On relève aussi que,Merouane Boudiab n'est cité en aucune desdeux plaintes. Certains avocats avaientégalement dénoncé la mise sous mandat dedépôt des deux journalistes, pourlescharges qui étaient retenues contre eux, àsavoir menaces, diffamation et atteinte à lavie privée.Le parquet a par la suite, requisune peine d'un an de prison ferme, assortid'une amende de 100.000 DA, à l'encontredes deux journalistes avec une enquêtecomplémentaire au sujet de l'affaire.L'avocat du premier plaignant, le groupe Ennahar, Abdelhafid Kourtel a demandé undédommagement de 2 millions dedinars.L'avocat du wali d'Alger, le second plaignant, a exigé 50 millions de dinars de dédommagement. Les journalistes,AbderrahmaneSemmar et Merouane Boudiab, étaientpoursuivis pour "menaces, diffamation et atteinte à la vie privée des gens", sur plainte du groupeEnnahar et du wali d'Alger, AbdelkaderZoukh, selon l'un de ses avocats, Me. AmineSidhoum. Ils ont été placés sous mandat de dépôt jeudi 25 octobre 2018, après avoir été entendus, encomparutionimmédiate. Ce matin, des dizaines de personnes, militants pour les droits del'Homme, journalistes, militants politiques et citoyens, se sont rassemblés àpartir de 09H, pour tenir un sit-in desolidarité. Ils dénoncent ainsi ces arrestations,en brandissant des pancartes affichant lesportraits des journalistes susnommés, etdes slogans en soutien avec les détenus, tel"Le journalisme n'est pas un crime". Semmar etMerouane Boudiab ont été relaxés, avanthier,en attendant un complément d'enquête.Le procès des deux journalistes n'acommencé que vers 15H30, et ce n'est qu'à 22H passées que le juge d'assises prèsletribunal de Bir Mourad Rais, a renduson verdict. Le magistrat a ordonné la relaxe des deux journalistes, AbderrahmaneSemmar et Merouane Boudiab, tout endemandant un complément d'enquête.43 avocats avaient pris part à la défensedes deux journalistes. Certains ont viterelevé les anomalies qui ont émaillées laprocédure pénale, notamment le fait queles deux journalistes ont été interpellés le23 octobre à 13H30, avant le dépôt de laplainte à 17H. On relève aussi que,Merouane Boudiab n'est cité en aucune desdeux plaintes. Certains avocats avaientégalement dénoncé la mise sous mandat dedépôt des deux journalistes, pourlescharges qui étaient retenues contre eux, àsavoir menaces, diffamation et atteinte à lavie privée.Le parquet a par la suite, requisune peine d'un an de prison ferme, assortid'une amende de 100.000 DA, à l'encontredes deux journalistes avec une enquêtecomplémentaire au sujet de l'affaire.L'avocat du premier plaignant, le groupe Ennahar, Abdelhafid Kourtel a demandé undédommagement de 2 millions dedinars.L'avocat du wali d'Alger, le second plaignant, a exigé 50 millions de dinars de dédommagement. Les journalistes,AbderrahmaneSemmar et Merouane Boudiab, étaientpoursuivis pour "menaces, diffamation et atteinte à la vie privée des gens", sur plainte du groupeEnnahar et du wali d'Alger, AbdelkaderZoukh, selon l'un de ses avocats, Me. AmineSidhoum. Ils ont été placés sous mandat de dépôt jeudi 25 octobre 2018, après avoir été entendus, encomparutionimmédiate. Ce matin, des dizaines de personnes, militants pour les droits del'Homme, journalistes, militants politiques et citoyens, se sont rassemblés àpartir de 09H, pour tenir un sit-in desolidarité. Ils dénoncent ainsi ces arrestations,en brandissant des pancartes affichant lesportraits des journalistes susnommés, etdes slogans en soutien avec les détenus, tel"Le journalisme n'est pas un crime".