Issad Rebrab a dénoncé, avanthier, la "main invisible" quibloque, selon lui, les projets deCevital en Algérie, et empêchetout changement dans le pays. Issad Rebrab a dénoncé, avanthier, la "main invisible" quibloque, selon lui, les projets deCevital en Algérie, et empêchetout changement dans le pays. "Certaines de nos unités, effectivement,ont des difficultés",a-t-il répondu à une questionsur le plateau de France 24.Qui est derrière ces blocages ?"On se pose la question. C'estune main invisible qui étonnetout le monde. Qui étonnemême certaines autorités", aaffirmé le président de Cevital,dans cet entretien au contenutrès politique.À qui profitent ces blocages ?,demande le journaliste. "C'estla question qu'on se pose. Çane profite pas du tout àl'Algérie. Le pays a besoin de créer des emplois, surtoutqu'aujourd'hui nos jeunes sont nombreux à fuir le désespoir etle chômage. Ils partent en Europe. Malheureusement, certains n'arrivent pas à atteindreles côtes européennes. C'esttriste", a répondu M. Rebrab. Selon Issad Rebrab, "l'aveniréconomique de l'Algérie estintenable". "D'autant plus, a-tilajouté, que l'économie algérienneest dépendante deshydrocarbures. Or, tout lemonde est d'accord, y comprisnos autorités, pour dire qu'ilest indispensable de diversifierl'économie nationale".Issad Rebrab a refusé de se prononcer sur le cinquième mandat. "Je ne pense pas que le président Bouteflika soit au courant des blocages que nous subissons aujourd'hui en Algérie. Parce que n'importe quel président, son souhait c'est la création de richesses", a-t-il répondu à une question concernant l'élection présidentielle. Qui dirige l'Algérie ?, demande alors le journaliste. "Je me pose aussi la question. C'est une main invisible, celle quibloque nos projets. Certains disent, mais je ne sais pas, que ce sont certains milliardaires", a répondu Issad Rebrab qui a exclu d'être candidat à la prochaine présidence. "Je n'ai pas d'ambition politique. Mon seul but et ma seule ambition, c'est de créer de la richesse et des emplois pour nos jeunes", a-t-il dit. "Le renouveau est souhaitable. Aujourd'hui, il faut une autre vision du développement économique du pays. Il est clair, que nous avons besoin de nouvellesorientations. Nous nepouvons pas rester dans lasituation actuelle", a-t-il toutefois estimé. "Plus de 90 à 95% des Algériens veulent un changement. Il n'y a que 5 à 10% qui veulent la continuité dans une telle situation. Ce sont ceux qui profitent de l'Algérie", a ajouté Issad Rebrab. "Ce qui m'importe, c'est le développement économique de notre pays et la création d'emploiset de richesses, ainsi quela stabilité de notre pays. Parce que s'il y a un dérapage en Algérie, c'est toute la région qui sera déstabilisée. Mêmel'Europe risque d'être désta ilisée", a-t-il mis en garde. "Certaines de nos unités, effectivement,ont des difficultés",a-t-il répondu à une questionsur le plateau de France 24.Qui est derrière ces blocages ?"On se pose la question. C'estune main invisible qui étonnetout le monde. Qui étonnemême certaines autorités", aaffirmé le président de Cevital,dans cet entretien au contenutrès politique.À qui profitent ces blocages ?,demande le journaliste. "C'estla question qu'on se pose. Çane profite pas du tout àl'Algérie. Le pays a besoin de créer des emplois, surtoutqu'aujourd'hui nos jeunes sont nombreux à fuir le désespoir etle chômage. Ils partent en Europe. Malheureusement, certains n'arrivent pas à atteindreles côtes européennes. C'esttriste", a répondu M. Rebrab. Selon Issad Rebrab, "l'aveniréconomique de l'Algérie estintenable". "D'autant plus, a-tilajouté, que l'économie algérienneest dépendante deshydrocarbures. Or, tout lemonde est d'accord, y comprisnos autorités, pour dire qu'ilest indispensable de diversifierl'économie nationale".Issad Rebrab a refusé de se prononcer sur le cinquième mandat. "Je ne pense pas que le président Bouteflika soit au courant des blocages que nous subissons aujourd'hui en Algérie. Parce que n'importe quel président, son souhait c'est la création de richesses", a-t-il répondu à une question concernant l'élection présidentielle. Qui dirige l'Algérie ?, demande alors le journaliste. "Je me pose aussi la question. C'est une main invisible, celle quibloque nos projets. Certains disent, mais je ne sais pas, que ce sont certains milliardaires", a répondu Issad Rebrab qui a exclu d'être candidat à la prochaine présidence. "Je n'ai pas d'ambition politique. Mon seul but et ma seule ambition, c'est de créer de la richesse et des emplois pour nos jeunes", a-t-il dit. "Le renouveau est souhaitable. Aujourd'hui, il faut une autre vision du développement économique du pays. Il est clair, que nous avons besoin de nouvellesorientations. Nous nepouvons pas rester dans lasituation actuelle", a-t-il toutefois estimé. "Plus de 90 à 95% des Algériens veulent un changement. Il n'y a que 5 à 10% qui veulent la continuité dans une telle situation. Ce sont ceux qui profitent de l'Algérie", a ajouté Issad Rebrab. "Ce qui m'importe, c'est le développement économique de notre pays et la création d'emploiset de richesses, ainsi quela stabilité de notre pays. Parce que s'il y a un dérapage en Algérie, c'est toute la région qui sera déstabilisée. Mêmel'Europe risque d'être désta ilisée", a-t-il mis en garde.