Les présidents des clubs de volley-ball qui animent le championnat d'Algérie deSuper-Division (messieurs) et de Nationale Une (dames), ont samedi à Blida, de poursuivre le boycott de la compétition, jusqu'au règlement de leurs problèmes,au plan financier notamment. Les présidents des clubs de volley-ball qui animent le championnat d'Algérie deSuper-Division (messieurs) et de Nationale Une (dames), ont samedi à Blida, de poursuivre le boycott de la compétition, jusqu'au règlement de leurs problèmes,au plan financier notamment. En effet, en dépit des appels du président de la Fédération algérienne de volley-ball (FAVB),Mustapha Lemouchi, lancés à leurintention, pour reprendre les compétitions,les présidents des clubs ontmaintenu le choix de boycott duchampionnat national, dont le début aété reporté à maintes reprises depuisle 1er novembre écoulé. Dans leursinterventions à cette rencontre lesayant réunis avec le président de laFAVB, au centre de loisirs scientifiquesde Blida, les présidents de clubont soutenu que la décision d'entamer les compétitions est tributaire del'examen des différents problèmesposés.Ils ont notamment exigé du présidentde la FAVB de soumettre le problèmede manque de finances, qui est, seloneux, "un problème commun à la majoritédes clubs", au ministre de laJeunesse et des Sports, tout en appelantce dernier à la "prise de toutes lesmesures susceptibles d'améliorer leursituation, qui impacte négativementsur les résultats de leurs clubs sur leterrain".Selon Djamel Kharissat, président duNR Bordj Bou Arréridj les "subventionsétatiques accordées aux clubs necouvrent pas tous les frais des clubsde volley-ball". Une vision corroboréepar le président du WA Tlemcen,Hakim Ben Abdellah, qui a critiqué le"soutien considérable" accordé parl'Etat aux clubs de football et au développement de ce sport "aux dépens d'autres disciplines sportives, dont le volley-ball" qui est, selon lui, "insuffisamment soutenu en dépit de ses bons résultats sur le terrain". Outre le manque de soutien financier, les intervenants ont, également, abordé le manque de formation et d'encadrement accusés par les clubs, tout enappelant au soutien des structures dédiées à ce sport. Après avoir insisté auprès des présidents de club sur lefait que la décision de boycott n'estpas la "meilleure solution pour venir àbout de ce blocage préjudiciable pourl'avenir du volley-ball national", a-t-il dit, Mustapha Lemouchi s'est engagé à transmettre leurs doléances auministère de tutelle, tout en les appelant à privilégier la "sagesse et le dialogue et à assumer leurs responsabilités". A noter que sur les 22 clubs animant le championnat national de volley-ball messieurs et dames, seul le GS Pétroliers, sous la coupe de Sonatrach,s'est présenté sur le terrain à l'occasionde la première journée. En effet, en dépit des appels du président de la Fédération algérienne de volley-ball (FAVB),Mustapha Lemouchi, lancés à leurintention, pour reprendre les compétitions,les présidents des clubs ontmaintenu le choix de boycott duchampionnat national, dont le début aété reporté à maintes reprises depuisle 1er novembre écoulé. Dans leursinterventions à cette rencontre lesayant réunis avec le président de laFAVB, au centre de loisirs scientifiquesde Blida, les présidents de clubont soutenu que la décision d'entamer les compétitions est tributaire del'examen des différents problèmesposés.Ils ont notamment exigé du présidentde la FAVB de soumettre le problèmede manque de finances, qui est, seloneux, "un problème commun à la majoritédes clubs", au ministre de laJeunesse et des Sports, tout en appelantce dernier à la "prise de toutes lesmesures susceptibles d'améliorer leursituation, qui impacte négativementsur les résultats de leurs clubs sur leterrain".Selon Djamel Kharissat, président duNR Bordj Bou Arréridj les "subventionsétatiques accordées aux clubs necouvrent pas tous les frais des clubsde volley-ball". Une vision corroboréepar le président du WA Tlemcen,Hakim Ben Abdellah, qui a critiqué le"soutien considérable" accordé parl'Etat aux clubs de football et au développement de ce sport "aux dépens d'autres disciplines sportives, dont le volley-ball" qui est, selon lui, "insuffisamment soutenu en dépit de ses bons résultats sur le terrain". Outre le manque de soutien financier, les intervenants ont, également, abordé le manque de formation et d'encadrement accusés par les clubs, tout enappelant au soutien des structures dédiées à ce sport. Après avoir insisté auprès des présidents de club sur lefait que la décision de boycott n'estpas la "meilleure solution pour venir àbout de ce blocage préjudiciable pourl'avenir du volley-ball national", a-t-il dit, Mustapha Lemouchi s'est engagé à transmettre leurs doléances auministère de tutelle, tout en les appelant à privilégier la "sagesse et le dialogue et à assumer leurs responsabilités". A noter que sur les 22 clubs animant le championnat national de volley-ball messieurs et dames, seul le GS Pétroliers, sous la coupe de Sonatrach,s'est présenté sur le terrain à l'occasionde la première journée.