du Développement Rural et de la Pêche, Kamel Chadi a annoncé la réception de 21 millions de doses de vaccinpour bétail contre la peste des petits ruminants qui aentrainé la mort de 3300 têtes ovines (dont la plupart sontdes nouveaux nés) au niveau de 19 wilayas du pays. du Développement Rural et de la Pêche, Kamel Chadi a annoncé la réception de 21 millions de doses de vaccinpour bétail contre la peste des petits ruminants qui aentrainé la mort de 3300 têtes ovines (dont la plupart sontdes nouveaux nés) au niveau de 19 wilayas du pays. Lors d'une rencontre avec les représentants de laFédération nationale des éleveurs, des services agricoles(19 wilayas) et de l'Union nationale des paysans algériens(UNPA), consacrée aux préparatifs pour la réception des vaccins, M. Chadi a indiqué que le ministère entrera en négociation avec les parties concernées, afin d'examinerl'éventualité d'acquérir ces vaccins avant la date fixée pourla réception (avant fin janvier). Concernant la fièvre aphteuse qui touche les bovins, leSG a fait savoir que les laboratoires étrangers avaientdémontré que ce virus était similaire à celui enregistré,l'été dernier, en Algérie, induisant ainsi l'utilisationurgente de 1,5 million de doses disponibles au niveau desservices spécialisés en vue de juguler cette épidémie, enattendant la réception de 2 millions de doses supplémentaires.Dans une déclaration à la presse en marge de cette rencontre,le directeur des services vétérinaires au ministère del'Agriculture, Hachemi Kaddour Karim a affirmé que lecoût des doses prévues du vaccin contre la fièvre aphteuses(2 millions de doses) varie entre 400 et 420 millions Da, tandis que celui du vaccin contre la peste des petits ruminantss'élève à 400 millions Da.Ces épidémies, la fièvre aphteuse et la peste des petitsruminants, sont apparues depuis octobre dernier dans lawilaya de Tébessa, avant de se propager à 19 autreswilayas, a rappelé le SG du ministère, précisant quetoutes les mesures sanitaires avaient été prises, enurgence, pour cerner ces deux maladies, dont l'isolement animaux exposés au risque de contamination, l'abattage de ceux déjà contaminés et le lancement d'une campagne de vaccination. Parmi les mesures préventives, il a cité également la fermeture des marchés de viande rouge à l'échelle nationale pour une durée d'un mois prorogeable pour préserver la santé du citoyen, et le contrôle des opérations de transfert de cheptel vers les abattoirs.A cet effet, M. Chadi a affirmé que les agriculteurs et les éleveurs seront indemnisés, soulignant que les inspections vétérinaires des wilayas concernées par les deux épidémies ont été contactées pour estimer les pertes, avant l'entame des statistiques d'indemnisation. Pour sa part, le président de la Fédération nationale des éleveurs, Azaoui Djilali a dit que "la situation qui n'est pas alarmante, est maîtrisée", assurant que les agriculteurs et les éleveurs seront indemnisés par le ministère detutelle. Le marché national ne connaîtra aucun manque en matière en viande rouge, vu "la ressource animale importante"dont dispose le pays (28 millions de têtes ovines et 4 millions de têtes bovines), a-t-il poursuivi. "Il n'y a aucun risque, ni d'interdiction, à consommer les viandes rouges résultant de l'abattage d'animaux contaminés", a affirmé le président du Conseil national interprofessionnel de la filière des viandes rouges, Miloud Bouadis, précisant que ces maladies animales n'étaient pas transmissibles à même après la consommationde la viande Lors d'une rencontre avec les représentants de laFédération nationale des éleveurs, des services agricoles(19 wilayas) et de l'Union nationale des paysans algériens(UNPA), consacrée aux préparatifs pour la réception des vaccins, M. Chadi a indiqué que le ministère entrera en négociation avec les parties concernées, afin d'examinerl'éventualité d'acquérir ces vaccins avant la date fixée pourla réception (avant fin janvier). Concernant la fièvre aphteuse qui touche les bovins, leSG a fait savoir que les laboratoires étrangers avaientdémontré que ce virus était similaire à celui enregistré,l'été dernier, en Algérie, induisant ainsi l'utilisationurgente de 1,5 million de doses disponibles au niveau desservices spécialisés en vue de juguler cette épidémie, enattendant la réception de 2 millions de doses supplémentaires.Dans une déclaration à la presse en marge de cette rencontre,le directeur des services vétérinaires au ministère del'Agriculture, Hachemi Kaddour Karim a affirmé que lecoût des doses prévues du vaccin contre la fièvre aphteuses(2 millions de doses) varie entre 400 et 420 millions Da, tandis que celui du vaccin contre la peste des petits ruminantss'élève à 400 millions Da.Ces épidémies, la fièvre aphteuse et la peste des petitsruminants, sont apparues depuis octobre dernier dans lawilaya de Tébessa, avant de se propager à 19 autreswilayas, a rappelé le SG du ministère, précisant quetoutes les mesures sanitaires avaient été prises, enurgence, pour cerner ces deux maladies, dont l'isolement animaux exposés au risque de contamination, l'abattage de ceux déjà contaminés et le lancement d'une campagne de vaccination. Parmi les mesures préventives, il a cité également la fermeture des marchés de viande rouge à l'échelle nationale pour une durée d'un mois prorogeable pour préserver la santé du citoyen, et le contrôle des opérations de transfert de cheptel vers les abattoirs.A cet effet, M. Chadi a affirmé que les agriculteurs et les éleveurs seront indemnisés, soulignant que les inspections vétérinaires des wilayas concernées par les deux épidémies ont été contactées pour estimer les pertes, avant l'entame des statistiques d'indemnisation. Pour sa part, le président de la Fédération nationale des éleveurs, Azaoui Djilali a dit que "la situation qui n'est pas alarmante, est maîtrisée", assurant que les agriculteurs et les éleveurs seront indemnisés par le ministère detutelle. Le marché national ne connaîtra aucun manque en matière en viande rouge, vu "la ressource animale importante"dont dispose le pays (28 millions de têtes ovines et 4 millions de têtes bovines), a-t-il poursuivi. "Il n'y a aucun risque, ni d'interdiction, à consommer les viandes rouges résultant de l'abattage d'animaux contaminés", a affirmé le président du Conseil national interprofessionnel de la filière des viandes rouges, Miloud Bouadis, précisant que ces maladies animales n'étaient pas transmissibles à même après la consommationde la viande