liberté de la presse, Reporters sans frontières (RSF), a qualifié, avant-hier, les conditions de détention du journalisteAdlène Mellah, condamné le 25 décembreà un an de prison ferme pour liberté de la presse, Reporters sans frontières (RSF), a qualifié, avant-hier, les conditions de détention du journalisteAdlène Mellah, condamné le 25 décembreà un an de prison ferme pour "attroupementillégal", d'"alarmantes".Dans un communiqué rendu public, RSFse dit "extrêmement préoccupée par lesconditions de détention du journaliste",directeur des médias en ligne AlgérieDirect et Dzair Presse.Adlène Mellah "est en grève de la faimdepuis plus de 15 jours, pour protestercontre l'acharnement judiciaire qu'il subitdepuis plusieurs mois", souligne RSF.Selon l'ONG, ses avocats, qui lui ontrendu visite, ont fait état "de la détériorationde l'état de santé du journaliste" et de"conditions de détentions alarmantes". "A l'isolement depuis son arrestation le 9décembre 2018, Adlène Mellah auraitperdu près de 14 kilos et souffrirait du froidet de l'humidité dans sa cellule", détailleRSF en citant les avocats."Les autorités seront tenues responsablessi l'état de santé du journaliste venait à sedégrader davantage", déclare SouhaiebKhayati, directeur du bureau Afrique duNord de RSF dans ce communiqué, appelantà sa "libération immédiate et inconditionnelle". Pour rappel, Adlène Mellah aété arrêté une première fois le 22 octobre,dans une affaire de chantage et d'atteinte à la vie privée présumés, avant d'être remis liberté provisoire un mois plus tard. Il reste inculpé dans cette affaire, pour laquelle il doit être jugé en février. A nouveau arrêté le 9 décembre dernier, lors d'une manifestation non autorisée, il aété condamné à un an de prison pour "attroupement illégal". Il a fait appel etson procès est prévu en janvier. "attroupementillégal", d'"alarmantes".Dans un communiqué rendu public, RSFse dit "extrêmement préoccupée par lesconditions de détention du journaliste",directeur des médias en ligne AlgérieDirect et Dzair Presse.Adlène Mellah "est en grève de la faimdepuis plus de 15 jours, pour protestercontre l'acharnement judiciaire qu'il subitdepuis plusieurs mois", souligne RSF.Selon l'ONG, ses avocats, qui lui ontrendu visite, ont fait état "de la détériorationde l'état de santé du journaliste" et de"conditions de détentions alarmantes". "A l'isolement depuis son arrestation le 9décembre 2018, Adlène Mellah auraitperdu près de 14 kilos et souffrirait du froidet de l'humidité dans sa cellule", détailleRSF en citant les avocats."Les autorités seront tenues responsablessi l'état de santé du journaliste venait à sedégrader davantage", déclare SouhaiebKhayati, directeur du bureau Afrique duNord de RSF dans ce communiqué, appelantà sa "libération immédiate et inconditionnelle". Pour rappel, Adlène Mellah aété arrêté une première fois le 22 octobre,dans une affaire de chantage et d'atteinte à la vie privée présumés, avant d'être remis liberté provisoire un mois plus tard. Il reste inculpé dans cette affaire, pour laquelle il doit être jugé en février. A nouveau arrêté le 9 décembre dernier, lors d'une manifestation non autorisée, il aété condamné à un an de prison pour "attroupement illégal". Il a fait appel etson procès est prévu en janvier.