Des centaines d'enseignants sont sortis dans les rues du centre d'Alger, notammentà la place Audin et à la Grande Poste, pourexprimer leur Des centaines d'enseignants sont sortis dans les rues du centre d'Alger, notammentà la place Audin et à la Grande Poste, pourexprimer leur "rejet" des dernières décisionsdu Président Abdelaziz Bouteflika.Munis de pancartes, ces enseignants − engrève d'ailleurs aujourd'hui à l'appel dessyndicats autonomes du secteur − refusentla prolongation du mandat présidentiel. Femmes et hommes, ils ont battu le pavé pour exiger le respect de la volonté populaire. Leur manifestation s'est déroulée dans le calme sous l'oeil vigilant d'un important dispositif de sécurité. Les marches et les rassemblements des enseignants se sont également déroulées dans d'autres villes du pays, comme Constantine et Oran, avec les mêmes mots d'ordre. A Chlef, près d'un millier d'enseignants de l'Education ont observé une grève à l'appel de plusieurs syndicats du secteur pour réclamer un changement de système politique. La grève a été appuyée par un rassemblement des enseignants. "Système dégage", lit-on sur les banderoles. A Mascara, des centaines d'enseignants du primaire, moyen et du secondaire ont manifesté dans les rues de la ville pour réclamer le départ du système politique actuel. "dégagez", scandaient les manifestants. Notons que cette grève aété initiée par l'Intersyndicale des enseignants qui comprend, pour rappel, six syndicats du secteur de l'Education nationale. "rejet" des dernières décisionsdu Président Abdelaziz Bouteflika.Munis de pancartes, ces enseignants − engrève d'ailleurs aujourd'hui à l'appel dessyndicats autonomes du secteur − refusentla prolongation du mandat présidentiel. Femmes et hommes, ils ont battu le pavé pour exiger le respect de la volonté populaire. Leur manifestation s'est déroulée dans le calme sous l'oeil vigilant d'un important dispositif de sécurité. Les marches et les rassemblements des enseignants se sont également déroulées dans d'autres villes du pays, comme Constantine et Oran, avec les mêmes mots d'ordre. A Chlef, près d'un millier d'enseignants de l'Education ont observé une grève à l'appel de plusieurs syndicats du secteur pour réclamer un changement de système politique. La grève a été appuyée par un rassemblement des enseignants. "Système dégage", lit-on sur les banderoles. A Mascara, des centaines d'enseignants du primaire, moyen et du secondaire ont manifesté dans les rues de la ville pour réclamer le départ du système politique actuel. "dégagez", scandaient les manifestants. Notons que cette grève aété initiée par l'Intersyndicale des enseignants qui comprend, pour rappel, six syndicats du secteur de l'Education nationale.