Apparemment, tous les syndicats autonomes ont décliné l'offre de dialogue duPremier ministre, Nouredine Bedoui. Cedernier, qui a entamé des consultations pour la formation d'un nouveau gouvernement,a invité l'ensemble des syndicatsqui lui ont ainsi répondu par la négative.Ainsi, Apparemment, tous les syndicats autonomes ont décliné l'offre de dialogue duPremier ministre, Nouredine Bedoui. Cedernier, qui a entamé des consultations pour la formation d'un nouveau gouvernement,a invité l'ensemble des syndicatsqui lui ont ainsi répondu par la négative.Ainsi, après l'Intersyndicale de l'Educationnationale, qui a opposé un niet à cetteinvitation, c'est au tour des syndicats de lasanté et de l'enseignement supérieur, deleur emboîter le pas. "On a reçu une invitationofficielle du Premier ministère, pourune rencontre de consultations autour de laformation du gouvernement" a indiqué leConseil national des enseignants du supérieur(Cnes), dans un communiqué rendupublic dimanche soir. Et la réponse dusyndicat a été négative. "Parce que nousavons dès le début été aux côtés du peuplealgérien dans le mouvement populairedepuis le 22 février 2019, notre place naturelleest dans les rangs du peuple pour ladéfense de ses droits et la concrétisation deses ambitions légitimes", a souligné leCnes pour justifier son refus de cetteinvite. Dans son communiqué, le Cnes aaffirmé qu'il était disposé " à participer enforce dans une initiative nationale respectantles dispositions de la Constitution".C'est la même démarche entreprise par lessyndicats du secteur de la Santé publique,qui se sont prononcés par le biais de leurIntersyndicale avant-hier dimanche dans lasoirée. l'Intersyndicale de la santé et les praticiens de la santé publique ont refusé de prendre part aux consultations auxquelles ils ont été conviés. "On nous a expliqués que plusieurs syndicats de la santé ont été invités pour une rencontre avec le Premier ministre. Il n'y avait pas un ordre du jour", a indiqué le Dr LyesMerabet, président du SNPSP. "Nous avons rejoint le peuple pour une rupture avec le mode de gestion des affaires de l'Etat actuel. Nous avons expliqué que le syndicat ne peut pas assister", a-t-il ajouté. Pour lui, il est nécessaire "de réunir de meilleures conditions. Nous attendons une réaction à la hauteur de ce que nous vivons au quotidien et une réponse à la position exprimée par la peuple algérien vendredi",a-t-il conclu. après l'Intersyndicale de l'Educationnationale, qui a opposé un niet à cetteinvitation, c'est au tour des syndicats de lasanté et de l'enseignement supérieur, deleur emboîter le pas. "On a reçu une invitationofficielle du Premier ministère, pourune rencontre de consultations autour de laformation du gouvernement" a indiqué leConseil national des enseignants du supérieur(Cnes), dans un communiqué rendupublic dimanche soir. Et la réponse dusyndicat a été négative. "Parce que nousavons dès le début été aux côtés du peuplealgérien dans le mouvement populairedepuis le 22 février 2019, notre place naturelleest dans les rangs du peuple pour ladéfense de ses droits et la concrétisation deses ambitions légitimes", a souligné leCnes pour justifier son refus de cetteinvite. Dans son communiqué, le Cnes aaffirmé qu'il était disposé " à participer enforce dans une initiative nationale respectantles dispositions de la Constitution".C'est la même démarche entreprise par lessyndicats du secteur de la Santé publique,qui se sont prononcés par le biais de leurIntersyndicale avant-hier dimanche dans lasoirée. l'Intersyndicale de la santé et les praticiens de la santé publique ont refusé de prendre part aux consultations auxquelles ils ont été conviés. "On nous a expliqués que plusieurs syndicats de la santé ont été invités pour une rencontre avec le Premier ministre. Il n'y avait pas un ordre du jour", a indiqué le Dr LyesMerabet, président du SNPSP. "Nous avons rejoint le peuple pour une rupture avec le mode de gestion des affaires de l'Etat actuel. Nous avons expliqué que le syndicat ne peut pas assister", a-t-il ajouté. Pour lui, il est nécessaire "de réunir de meilleures conditions. Nous attendons une réaction à la hauteur de ce que nous vivons au quotidien et une réponse à la position exprimée par la peuple algérien vendredi",a-t-il conclu.