Le désormais ex-président du FCE, Ali Haddad, a été intercepté dans la nuit du samedi au dimanche au niveau du poste frontalierd'Oum Tboul, alors qu'il se dirigeait vers la Tunisie. Le désormais ex-président du FCE, Ali Haddad, a été intercepté dans la nuit du samedi au dimanche au niveau du poste frontalierd'Oum Tboul, alors qu'il se dirigeait vers la Tunisie. C'est la Police des frontières (PAF) qui l'a arrêté. A l'heure ou nous mettons sous presse, il se trouveencore au niveau de la Police des frontières.Les policiers attendent des instructions,selon notre source qui dit ignorer si AliHaddad fait l'objet d'un signalement à lafrontière, ou d'une mesure d'interdiction desortie du territoire. Aucune détail n'a filtrésur cette arrestation. Néanmoins, à encroire l'ex-député du Parti des travailleurs,Smain Kouadria qui s'est confié à un journalélectronique d'information, l'hommed'affaires est venu "par route à bord d'uneVolkswagen de couleur noire, immatriculéeà Alger, année 2014". "Tous les jetsprivés sont interdits de vol, depuis troisjours. Ils sont une dizaine en Algérie.C'est sans doute pour cette raison, qu'il apris la route", poursuit Smaïn Kouadria."Il a été trouvé sur lui deux passeportsalgériens, deux permis de conduire et quatretéléphones mobiles", affirme ce cadredu Parti des travaileurs. "C'est ce qui ad'abord attiré l'attentiondes Douaniers auniveau du poste d'Oum Tboul (wilaya d'elTarf), qui est situé à 20 kilomètres d'ElKala", a-t-il encore précisé. Et d'ajouter,que Ali Haddad avait également en sa possessiondes "sommes de 5.000 euros, 100dollars et 41 millions de centimes". Selonlui, l'ex-président du Forum des chefs d'entreprises (FCE) est "toujours détenu dans les geôles du poste frontalier, en attendant son transfert vers Alger". Aucune information officielle n'a été annoncée en ce sens, que ni la Sureté nationale, ni la justice n'ont communiqué à propos de cette arrestation. On ne sait donc pas si le P-dg du groupe ETRHB fait l'objet de poursuites judiciaires ou non, ce qui justifierait son arrestation. Par contre, nombreuses sont les informations qui ont été colportées ces derniers jours, sur plusieurs hommes d'affaires, dont justement Ali Haddad, qui seraient concernés par la mesure d'interdiction de quitter le territoire national. En tout cas, cette arrestation illustre fortbien la chute de celui que d'aucuns considéraient, il y'a juste quelques semaines, comme un intouchable. Car, Ali Haddad, de par sa proximité avec le cercle présidentiel, était très puissant. Mais depuis le 22 février, et le début du soulèvement populaire,Haddad comme d'autres hommes d'affaires, ont totalement perdu leur influence. D'où cette tentative de fuitevers l'étranger, de cet homme d'affairestrès décrié par les Algériens C'est la Police des frontières (PAF) qui l'a arrêté. A l'heure ou nous mettons sous presse, il se trouveencore au niveau de la Police des frontières.Les policiers attendent des instructions,selon notre source qui dit ignorer si AliHaddad fait l'objet d'un signalement à lafrontière, ou d'une mesure d'interdiction desortie du territoire. Aucune détail n'a filtrésur cette arrestation. Néanmoins, à encroire l'ex-député du Parti des travailleurs,Smain Kouadria qui s'est confié à un journalélectronique d'information, l'hommed'affaires est venu "par route à bord d'uneVolkswagen de couleur noire, immatriculéeà Alger, année 2014". "Tous les jetsprivés sont interdits de vol, depuis troisjours. Ils sont une dizaine en Algérie.C'est sans doute pour cette raison, qu'il apris la route", poursuit Smaïn Kouadria."Il a été trouvé sur lui deux passeportsalgériens, deux permis de conduire et quatretéléphones mobiles", affirme ce cadredu Parti des travaileurs. "C'est ce qui ad'abord attiré l'attentiondes Douaniers auniveau du poste d'Oum Tboul (wilaya d'elTarf), qui est situé à 20 kilomètres d'ElKala", a-t-il encore précisé. Et d'ajouter,que Ali Haddad avait également en sa possessiondes "sommes de 5.000 euros, 100dollars et 41 millions de centimes". Selonlui, l'ex-président du Forum des chefs d'entreprises (FCE) est "toujours détenu dans les geôles du poste frontalier, en attendant son transfert vers Alger". Aucune information officielle n'a été annoncée en ce sens, que ni la Sureté nationale, ni la justice n'ont communiqué à propos de cette arrestation. On ne sait donc pas si le P-dg du groupe ETRHB fait l'objet de poursuites judiciaires ou non, ce qui justifierait son arrestation. Par contre, nombreuses sont les informations qui ont été colportées ces derniers jours, sur plusieurs hommes d'affaires, dont justement Ali Haddad, qui seraient concernés par la mesure d'interdiction de quitter le territoire national. En tout cas, cette arrestation illustre fortbien la chute de celui que d'aucuns considéraient, il y'a juste quelques semaines, comme un intouchable. Car, Ali Haddad, de par sa proximité avec le cercle présidentiel, était très puissant. Mais depuis le 22 février, et le début du soulèvement populaire,Haddad comme d'autres hommes d'affaires, ont totalement perdu leur influence. D'où cette tentative de fuitevers l'étranger, de cet homme d'affairestrès décrié par les Algériens