L'option de la tenue de l'élection présidentielle comme annoncée le 4 juillet prochain, conformément à l'application de l'article 102 de la Constitution, est maintenue. L'option de la tenue de l'élection présidentielle comme annoncée le 4 juillet prochain, conformément à l'application de l'article 102 de la Constitution, est maintenue. C'est le secrétaire général de la présidence de la République,Habba El-Okbi, qui l'aconfirmé hier en marge de la rencontrede concertation tenue au Palais desNations (Club des Pins - Alger) sur lesmécanismes de création d'une instancenationale indépendante chargée de lapréparation et de l'organisation des élections. Cette rencontre organisée hier avu l'absence du chef de l'Etat,Abdelkader Bensalah, alors que c'est lui qui a appelé à sa tenue. C'est doncHabba El-Okbi qui a chapeauté les travaux de cette rencontre que beaucoupde partis politiques et d'associations de la société civile ont d'ailleurs boycottés. Et c'est ce qui pourrait sans doute expliquerl'absence du chef de l'Etat. HabbaEl-Okbi a donc affirmé que les consultationslancées par le chef de l'Etat avecles partis politiques et les personnalités nationales "se poursuivront" jusqu'à l'élection présidentielle qui "se tiendradans les délais constitutionnels", le 4juillet prochain.La prochaine élection présidentielle,fixée au 4 juillet prochain, tel qu'annoncé par le chef de l'état, Abdelkader Bensalah, "est consacrée dans laConstitution", a déclaré le SG de la Présidence,Concernant la rencontre de concertation, Habba El-Okbi a indiqué que "les consultations engagées par le chef de l'Etat avec les partis politiques et les personnalités nationales se poursuivront, car il s'agit de l'avenir du pays et de l'organisation d'élections libres et transparentes", ajoutant que ces consultationsvisent à "asseoir la démocratie, à organiser des élections libres et transparentes et à instaurer un nouveau régime politique". Répondant à une question relative aux partis ayant boycotté cette rencontre, M. El-Okbi a fait savoir que la présidence "a invité tout le monde aux consultations sur une question d'une extrême importance", estimant que l'opposition "a sa proprelogique". Les travaux de cette rencontre de concertation ont donc débuté hier. Des responsables de partis politiques, des représentants de la société civile, des personnalités nationales, des juristes, notamment les constitutionnalistes ont été conviés à cette rencontre dont les travaux se déroulent à huis clos. Et justement que c'est suite à ce huis clos que le représentant du front El Moustakbal, s'est retiré des travaux en guise de protestation. Plusieurs partis politiques et personnalités nationales ont déjà décliné l'invitation de la présidence de la République àcette rencontre de concertation destinée à débattre de la situation politique du pays et des moyens de garantir la transparence de l'élection présidentielle, prévue le 4 juillet prochain. Notons aussi que dans le cadre des consultations le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, avait reçu les anciens présidents de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, et Larbi Ould Khelifa, ainsi que lejuriste Miloud Brahimi, en tant que personnalités nationales dans le cadre des rencontres de concertation que prône le chef de l'Etat dans le traitement de la situation politique du pays.M. Bensalah s'est entretenu également avec le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd et le président du Mouvement El Islah, Filali Ghouini. Le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, s'était engagé à mettre en place, en concertation avec la classe politique et civile citoyenne, "une institution nationale collégiale, souveraine dans ses décisions, à laquelle sera dévolue la mission de réunir les conditions nécessaires de préparation et d'organisationd'élections nationales honnêtes et transparentes". C'est le secrétaire général de la présidence de la République,Habba El-Okbi, qui l'aconfirmé hier en marge de la rencontrede concertation tenue au Palais desNations (Club des Pins - Alger) sur lesmécanismes de création d'une instancenationale indépendante chargée de lapréparation et de l'organisation des élections. Cette rencontre organisée hier avu l'absence du chef de l'Etat,Abdelkader Bensalah, alors que c'est lui qui a appelé à sa tenue. C'est doncHabba El-Okbi qui a chapeauté les travaux de cette rencontre que beaucoupde partis politiques et d'associations de la société civile ont d'ailleurs boycottés. Et c'est ce qui pourrait sans doute expliquerl'absence du chef de l'Etat. HabbaEl-Okbi a donc affirmé que les consultationslancées par le chef de l'Etat avecles partis politiques et les personnalités nationales "se poursuivront" jusqu'à l'élection présidentielle qui "se tiendradans les délais constitutionnels", le 4juillet prochain.La prochaine élection présidentielle,fixée au 4 juillet prochain, tel qu'annoncé par le chef de l'état, Abdelkader Bensalah, "est consacrée dans laConstitution", a déclaré le SG de la Présidence,Concernant la rencontre de concertation, Habba El-Okbi a indiqué que "les consultations engagées par le chef de l'Etat avec les partis politiques et les personnalités nationales se poursuivront, car il s'agit de l'avenir du pays et de l'organisation d'élections libres et transparentes", ajoutant que ces consultationsvisent à "asseoir la démocratie, à organiser des élections libres et transparentes et à instaurer un nouveau régime politique". Répondant à une question relative aux partis ayant boycotté cette rencontre, M. El-Okbi a fait savoir que la présidence "a invité tout le monde aux consultations sur une question d'une extrême importance", estimant que l'opposition "a sa proprelogique". Les travaux de cette rencontre de concertation ont donc débuté hier. Des responsables de partis politiques, des représentants de la société civile, des personnalités nationales, des juristes, notamment les constitutionnalistes ont été conviés à cette rencontre dont les travaux se déroulent à huis clos. Et justement que c'est suite à ce huis clos que le représentant du front El Moustakbal, s'est retiré des travaux en guise de protestation. Plusieurs partis politiques et personnalités nationales ont déjà décliné l'invitation de la présidence de la République àcette rencontre de concertation destinée à débattre de la situation politique du pays et des moyens de garantir la transparence de l'élection présidentielle, prévue le 4 juillet prochain. Notons aussi que dans le cadre des consultations le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, avait reçu les anciens présidents de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, et Larbi Ould Khelifa, ainsi que lejuriste Miloud Brahimi, en tant que personnalités nationales dans le cadre des rencontres de concertation que prône le chef de l'Etat dans le traitement de la situation politique du pays.M. Bensalah s'est entretenu également avec le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaïd et le président du Mouvement El Islah, Filali Ghouini. Le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, s'était engagé à mettre en place, en concertation avec la classe politique et civile citoyenne, "une institution nationale collégiale, souveraine dans ses décisions, à laquelle sera dévolue la mission de réunir les conditions nécessaires de préparation et d'organisationd'élections nationales honnêtes et transparentes".