Les ministres de Bedoui continuent à subirla foudre de la part de la population. Paralysés dans leurs bureaux, ils sont rares à se déplacer dans des régions où lescitoyens les attendent de pied ferme. Les ministres de Bedoui continuent à subirla foudre de la part de la population. Paralysés dans leurs bureaux, ils sont rares à se déplacer dans des régions où lescitoyens les attendent de pied ferme. Leurmarge de manoeuvre semble être réduite. Ils ne peuvent plus se rendre sur le terrain,de peur d'être hués ou sifflés, par une population toujours en colère, contre le gouvernement Bedoui. Hier, le ministre duTourisme a annulé une visite dans une wilaya du sud, et a préféré réunir les cadresdu secteur au siège du ministère. Le ministrede l'Energie, MohammedArkab, a subi le même sort en annulant une visite prévueà Laghouat pour s'enquérir des projetsdans cette région. Il faut dire, qu'il ne se passe pas un jour où un ministre de la République, ne soit épargné de la colèrecitoyenne. La ministre de la Culture a,quant à elle, été empêchée de se rendre authéâtre de Guelma, pour inaugurer des festivitésculturelles.Les cadres de SEAAL refusent de se réuniravec le nouveau ministre des Ressourcesen eau. Et la suite continue, avec des crisstridents de "dégage" pour tout représentantde l'Exécutif. Ne sachant plus où donnerde la tête, c'est le Premier ministre qui essuie un échec face à la révolte populaire. Des ministres qui sont devenus aphones,avec l'exemple de Sabri Boukadoum,ministre des AE, qui n'a pas donné encoreune conférence, expliquant sa nouvelle mission, ou celui de l'Education nationale,Abdelhakim Belabed, qui doit gérer les examens de Bac, avec une communication qui laisse à désirer. Le ministre duCommerce, Said Djellab, n'a pas évoqué un mot sur la situation de son secteur,depuis sa reconduction à ce poste et surtout, à l'approche du mois du Ramadhan avec une flambée continuelle des prix. Aucun projet n'a été inauguré, depuis l'investituredu gouvernement Bedoui, malgréles assurances qu'il tenait dans le discours de son porte-parole Hassan Rabehi.Misant sur des figures jeunes et la plupartinconnus de la scène politique, NoureddineBedoui espérait se rattraper et cultiver uncapital sympathie, auprès de la population.Mais, cette dernière ne veut rienentendre et clame son départ. Aux dernières nouvelles, le Premier ministre auraitdonné instruction, pour faire contribuer les SG et les Directeurs centraux des ministères, aux différents projets inscrits dans lafeuille de route du gouvernement. Une solution qui témoigne de l'extrême difficulté,qu'a ce gouvernement de faire passerle message. Leurmarge de manoeuvre semble être réduite. Ils ne peuvent plus se rendre sur le terrain,de peur d'être hués ou sifflés, par une population toujours en colère, contre le gouvernement Bedoui. Hier, le ministre duTourisme a annulé une visite dans une wilaya du sud, et a préféré réunir les cadresdu secteur au siège du ministère. Le ministrede l'Energie, MohammedArkab, a subi le même sort en annulant une visite prévueà Laghouat pour s'enquérir des projetsdans cette région. Il faut dire, qu'il ne se passe pas un jour où un ministre de la République, ne soit épargné de la colèrecitoyenne. La ministre de la Culture a,quant à elle, été empêchée de se rendre authéâtre de Guelma, pour inaugurer des festivitésculturelles.Les cadres de SEAAL refusent de se réuniravec le nouveau ministre des Ressourcesen eau. Et la suite continue, avec des crisstridents de "dégage" pour tout représentantde l'Exécutif. Ne sachant plus où donnerde la tête, c'est le Premier ministre qui essuie un échec face à la révolte populaire. Des ministres qui sont devenus aphones,avec l'exemple de Sabri Boukadoum,ministre des AE, qui n'a pas donné encoreune conférence, expliquant sa nouvelle mission, ou celui de l'Education nationale,Abdelhakim Belabed, qui doit gérer les examens de Bac, avec une communication qui laisse à désirer. Le ministre duCommerce, Said Djellab, n'a pas évoqué un mot sur la situation de son secteur,depuis sa reconduction à ce poste et surtout, à l'approche du mois du Ramadhan avec une flambée continuelle des prix. Aucun projet n'a été inauguré, depuis l'investituredu gouvernement Bedoui, malgréles assurances qu'il tenait dans le discours de son porte-parole Hassan Rabehi.Misant sur des figures jeunes et la plupartinconnus de la scène politique, NoureddineBedoui espérait se rattraper et cultiver uncapital sympathie, auprès de la population.Mais, cette dernière ne veut rienentendre et clame son départ. Aux dernières nouvelles, le Premier ministre auraitdonné instruction, pour faire contribuer les SG et les Directeurs centraux des ministères, aux différents projets inscrits dans lafeuille de route du gouvernement. Une solution qui témoigne de l'extrême difficulté,qu'a ce gouvernement de faire passerle message.