Les Algériens ne semblent pas décidés à abandonner les marches et rassemblements pour exiger le changement radical du système. Les Algériens ne semblent pas décidés à abandonner les marches et rassemblements pour exiger le changement radical du système. Hier encore, à l'occasion du 21e vendredi de suite de manifestations, ils se sont aussi mobilisés pour faire montre de leur inébranlable déterminationà atteindre les objectifs pour lesquels ils sont sortis dans les rues en masse, depuisla première marche du 22 février dernier. En effet, malgré la chaleur caniculaire qui sévit pratiquement sur l'ensemble du territoirenational, les Algériens continuent d'investir les places publiques, traditionnelsfiefs du Hirak à travers les villesd'Algérie. A Alger et sous un soleil de plomb, les citoyens ont afflué comme detradition vers le centre ville, à la Grande Poste et à la Place Audin, notamment. Dans ces deux lieux symboliques, la trèsforte présence policière a été, commec'était le cas vendredi dernier, assez visible. Selon plusieurs sources médiatiques,les forces de l'ordre ont interpellé de nombreux manifestants. Les manifestants ontainsi scandé pratiquement les mêmes slogans. Ils sont ainsi revenus à la charge s'agissant du depart des symbolmes de l'ancine régime et, notamment, le chef de gouvernement, et ce comme préalable au dialogue. Ils ont de même demandé plusde libertés, l'instauration d'un Etat de droitet une République civile. Les manifestants ont mis en avant, encore une fois, le caractère pacifique du mouvement populaire en scandant "silmiya, silmiya ". Contrairement à vendredi dernier, qui a coïncidé avec le fête de l'Indépendance, la foule était moins nombreuse à Alger et dans d'autres villes du pays. A Béjaia, plusieurs milliers de manifestants ont scandé "la hiwar la chiwar errahil obligatoire",en allusion aux symboles de l'ancien régime. À Tizi-Ouzou, le slogan "état civil et non militaire" a dominé les slogans scandés et les pancartes et banderoles brandies par les manifestants durant la manifestation hebdomadaire. Les manifestants ont, à Oran, entonné l'Hymne national Kassamen à la place Ahmed Zabana d'Oran. Depuis Mostaganem, les manifestants ont rappelé que "l'armée est notre armée". Les manifestants ont scandé depuis Constantine, "djeich echaab khawa khawa" et "dawla madania machi aassekaria". Notons que dans plusieurs villes, les manifestants ont appelé à la libération des détenus. Hier encore, à l'occasion du 21e vendredi de suite de manifestations, ils se sont aussi mobilisés pour faire montre de leur inébranlable déterminationà atteindre les objectifs pour lesquels ils sont sortis dans les rues en masse, depuisla première marche du 22 février dernier. En effet, malgré la chaleur caniculaire qui sévit pratiquement sur l'ensemble du territoirenational, les Algériens continuent d'investir les places publiques, traditionnelsfiefs du Hirak à travers les villesd'Algérie. A Alger et sous un soleil de plomb, les citoyens ont afflué comme detradition vers le centre ville, à la Grande Poste et à la Place Audin, notamment. Dans ces deux lieux symboliques, la trèsforte présence policière a été, commec'était le cas vendredi dernier, assez visible. Selon plusieurs sources médiatiques,les forces de l'ordre ont interpellé de nombreux manifestants. Les manifestants ontainsi scandé pratiquement les mêmes slogans. Ils sont ainsi revenus à la charge s'agissant du depart des symbolmes de l'ancine régime et, notamment, le chef de gouvernement, et ce comme préalable au dialogue. Ils ont de même demandé plusde libertés, l'instauration d'un Etat de droitet une République civile. Les manifestants ont mis en avant, encore une fois, le caractère pacifique du mouvement populaire en scandant "silmiya, silmiya ". Contrairement à vendredi dernier, qui a coïncidé avec le fête de l'Indépendance, la foule était moins nombreuse à Alger et dans d'autres villes du pays. A Béjaia, plusieurs milliers de manifestants ont scandé "la hiwar la chiwar errahil obligatoire",en allusion aux symboles de l'ancien régime. À Tizi-Ouzou, le slogan "état civil et non militaire" a dominé les slogans scandés et les pancartes et banderoles brandies par les manifestants durant la manifestation hebdomadaire. Les manifestants ont, à Oran, entonné l'Hymne national Kassamen à la place Ahmed Zabana d'Oran. Depuis Mostaganem, les manifestants ont rappelé que "l'armée est notre armée". Les manifestants ont scandé depuis Constantine, "djeich echaab khawa khawa" et "dawla madania machi aassekaria". Notons que dans plusieurs villes, les manifestants ont appelé à la libération des détenus.