Le secrétaire général du RND par intérim, Azzeddine Mihoubi, a démenti avant hier lundi, l'information selon laquelle son parti comptait, avec le FLN, bloquer le Parlement s'ils venaient à être exclus du dialogue politique en cours. Le secrétaire général du RND par intérim, Azzeddine Mihoubi, a démenti avant hier lundi, l'information selon laquelle son parti comptait, avec le FLN, bloquer le Parlement s'ils venaient à être exclus du dialogue politique en cours. "Une information dénuée de tout fondement, rapportée aujourd'hui par un organe d'information, laisse croire que le RND, avec un autre parti, menacent de paralyser le Parlement, s'ils sont exclus du dialogue national", écrit Azzeddine Mihoubi, sur son compte Twitter. "En ma qualité de SG par intérim du RND, je tiens à démentir formellement cette information, niant que le RND ait pensé un jour à adopter une telle démarche", ajoute le premier responsable du RND, qui profite d'ailleurs pour renouveler son soutien à la Commission du dialogue et de médiation "pour faire aboutir sa mission". Pour rappel, le Coordinateur de cette commission, Karim Younes, a déclaré ne pas associer les partis de l'excoalition présidentielle au processus du dialogue, en réponse à la volonté du Hirak qui réclame, au contraire, la dissolution des ces partis, notamment le FLN. Des "mensonges", selon le FLN Le FLN a rendu public, hier mardi, un communiqué pour démentir les informations, selon lesquelles il envisagerait de paralyser le Parlement, en réaction à son exclusion du dialogue politique. "Le FLN dément les informations, selon lesquelles il oeuvre à la paralysie du Parlement, en réaction à son exclusion du dialogue politique", lit-on dans ce communiqué qui parle d' "informations sans fondement", tout en qualifiant "les parties" qui sont derrière, de "professionnels du mensonge qui cherchent à créer la confusion et à semer le désordre, pour entraver toute initiative politique visant à sortir le pays de la crise". Selon le FLN, ces "mensonges" ont pour but de saper "les efforts des bonnes volontés qui cherchent une issue constitutionnelle à la crise actuelle". "Au FLN, il n' y a pas de place aux positions versatiles, nous refusons d'investir dans la situation critique actuelle du pays, nos positions sont constantes, nous les avons exprimées en toute clarté ; nous soutenons toute initiative pour protéger l'Algérie". "Une information dénuée de tout fondement, rapportée aujourd'hui par un organe d'information, laisse croire que le RND, avec un autre parti, menacent de paralyser le Parlement, s'ils sont exclus du dialogue national", écrit Azzeddine Mihoubi, sur son compte Twitter. "En ma qualité de SG par intérim du RND, je tiens à démentir formellement cette information, niant que le RND ait pensé un jour à adopter une telle démarche", ajoute le premier responsable du RND, qui profite d'ailleurs pour renouveler son soutien à la Commission du dialogue et de médiation "pour faire aboutir sa mission". Pour rappel, le Coordinateur de cette commission, Karim Younes, a déclaré ne pas associer les partis de l'excoalition présidentielle au processus du dialogue, en réponse à la volonté du Hirak qui réclame, au contraire, la dissolution des ces partis, notamment le FLN. Des "mensonges", selon le FLN Le FLN a rendu public, hier mardi, un communiqué pour démentir les informations, selon lesquelles il envisagerait de paralyser le Parlement, en réaction à son exclusion du dialogue politique. "Le FLN dément les informations, selon lesquelles il oeuvre à la paralysie du Parlement, en réaction à son exclusion du dialogue politique", lit-on dans ce communiqué qui parle d' "informations sans fondement", tout en qualifiant "les parties" qui sont derrière, de "professionnels du mensonge qui cherchent à créer la confusion et à semer le désordre, pour entraver toute initiative politique visant à sortir le pays de la crise". Selon le FLN, ces "mensonges" ont pour but de saper "les efforts des bonnes volontés qui cherchent une issue constitutionnelle à la crise actuelle". "Au FLN, il n' y a pas de place aux positions versatiles, nous refusons d'investir dans la situation critique actuelle du pays, nos positions sont constantes, nous les avons exprimées en toute clarté ; nous soutenons toute initiative pour protéger l'Algérie".