Le président du FJD, Abdallah Djaballah, réitère son refus de rencontrer le Panel de Karim Younes. "Nous avons dit et répété, que ce Panel ne nous concerne pas. Le président du FJD, Abdallah Djaballah, réitère son refus de rencontrer le Panel de Karim Younes. "Nous avons dit et répété, que ce Panel ne nous concerne pas. Nous avons reçu une invitation pour participer au dialogue, mais nous l'avons déclinée, parce que nous avons estimé qu'elle ne remplit pas tous les critères", a expliqué le président du Front de la justice et du développement, dans une déclaration hier mardi. "Ce Panel n'est pas souverain et le dialogue qu'il mène n'est pas inclusif et nous, nous voulons un dialogue souverain et inclusif, basé sur un certain nombre de conditions, dont la reconnaissance que l'Algérie vit une révolution dont il faut satisfaire les revendications", a-t-il ajouté. Réagissant au dernier discours du chef d'état-major de l'ANP, qui a appelé à mettre en place l'instance électorale dans les prochaines semaines, Djaballah a souligné que le problème de l'Algérie ne réside pas uniquement dans la vacance du poste de président de la République. "Leur vision est claire. Pour eux, tout le problème réside dans la vacance de la Présidence et veulent aller à l'élection sans délai. Nous, nous estimons que le peuple vit une révolution, avec des revendications justes. Il faut que toutes les conditions, humaines et matérielles, soient réunies pour aller vers des élections présidentielles propres et honnêtes", dit-il. Nous avons reçu une invitation pour participer au dialogue, mais nous l'avons déclinée, parce que nous avons estimé qu'elle ne remplit pas tous les critères", a expliqué le président du Front de la justice et du développement, dans une déclaration hier mardi. "Ce Panel n'est pas souverain et le dialogue qu'il mène n'est pas inclusif et nous, nous voulons un dialogue souverain et inclusif, basé sur un certain nombre de conditions, dont la reconnaissance que l'Algérie vit une révolution dont il faut satisfaire les revendications", a-t-il ajouté. Réagissant au dernier discours du chef d'état-major de l'ANP, qui a appelé à mettre en place l'instance électorale dans les prochaines semaines, Djaballah a souligné que le problème de l'Algérie ne réside pas uniquement dans la vacance du poste de président de la République. "Leur vision est claire. Pour eux, tout le problème réside dans la vacance de la Présidence et veulent aller à l'élection sans délai. Nous, nous estimons que le peuple vit une révolution, avec des revendications justes. Il faut que toutes les conditions, humaines et matérielles, soient réunies pour aller vers des élections présidentielles propres et honnêtes", dit-il.