Le mouvement populaire, enclenché le 22 février dernier, en est désormais à sa 24e manifestation. Hier vendredi, et comme à l'accoutumée, les Algériens sont sortis manifester, clamant haut et fort leur volonté d'imposer le changement Le mouvement populaire, enclenché le 22 février dernier, en est désormais à sa 24e manifestation. Hier vendredi, et comme à l'accoutumée, les Algériens sont sortis manifester, clamant haut et fort leur volonté d'imposer le changement ContenuDans toutes les villes du pays, et malgré la canicule, la mobilisation a été au rendez-vous, même si, il est vrai, on est loin du raz-de-marée des premières manifestations. A Alger, des milliers de personnes ont ainsi investi les principales rues et places de la capitale. Comme tous les vendredis, le dispositif de sécurité était assez présent, mais cela n'a pas empêché la foule, de réitérer ses revendications en scandant ses slogans fétiches "Dawla madania, machi askaria" (Etat civil non militaire), "Non au dialogue avec les bandes", "Djazair hora dimocratia"ont été, entres autres, les slogans les pus usités. Les manifestants ont, une fois encore, revendiqué le départ de tous les symboles de l'ancien régime. Le président de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, et le Premier ministre, Nouredine Bedoui, sont toujours indésirables, puisque les foules ont réclamé hier encore, leurs départs. Certains manifestants ont fustigé le Panel des six personnalités, en s'en prenant notamment, à son coordonateur, Karim Younes. Certain manifestants s'en sont aussi pris au chefd'Etat major de l'ANP. Des manifestants ont aussi scandé des slogans contre le dialogue, tel que voulu par le pouvoir. "Non au dialogue avec la bande" a été repris a maintes reprises, un peu partout sur l'ensemble du territoire national. Les manifestants n'ont eu de cesse aussi, de revendiquer un "Etat dedroit" et "une justice indépendante". Ils ont de même, encore une fois, appelé avec force, à la libération des détenus du Hirak. C'est dire, que le moudjahid Lakhdar Bouragaa et les jeunes militants emprisonnés pour avoir brandi le drapeau amazigh, ne sont pas oubliés. Ils ont également fait part de leur détermination, à poursuivre ce mouvement, jusqu'au départ des symboles en place. A Bouira, les manifestants ont dit refuser la tenue des élections présidentielles sans granules. A Béjaia, les manifestants réclament la libération des détenus d'opinion.A Constantine, les manifestants réclament le dialogue avec le pouvoir réel, pour aboutir à un Etat civil. Fait nouveau, hier àAlger, des manifestants ont brandi la menace de la désobéissance civile ContenuDans toutes les villes du pays, et malgré la canicule, la mobilisation a été au rendez-vous, même si, il est vrai, on est loin du raz-de-marée des premières manifestations. A Alger, des milliers de personnes ont ainsi investi les principales rues et places de la capitale. Comme tous les vendredis, le dispositif de sécurité était assez présent, mais cela n'a pas empêché la foule, de réitérer ses revendications en scandant ses slogans fétiches "Dawla madania, machi askaria" (Etat civil non militaire), "Non au dialogue avec les bandes", "Djazair hora dimocratia"ont été, entres autres, les slogans les pus usités. Les manifestants ont, une fois encore, revendiqué le départ de tous les symboles de l'ancien régime. Le président de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, et le Premier ministre, Nouredine Bedoui, sont toujours indésirables, puisque les foules ont réclamé hier encore, leurs départs. Certains manifestants ont fustigé le Panel des six personnalités, en s'en prenant notamment, à son coordonateur, Karim Younes. Certain manifestants s'en sont aussi pris au chefd'Etat major de l'ANP. Des manifestants ont aussi scandé des slogans contre le dialogue, tel que voulu par le pouvoir. "Non au dialogue avec la bande" a été repris a maintes reprises, un peu partout sur l'ensemble du territoire national. Les manifestants n'ont eu de cesse aussi, de revendiquer un "Etat dedroit" et "une justice indépendante". Ils ont de même, encore une fois, appelé avec force, à la libération des détenus du Hirak. C'est dire, que le moudjahid Lakhdar Bouragaa et les jeunes militants emprisonnés pour avoir brandi le drapeau amazigh, ne sont pas oubliés. Ils ont également fait part de leur détermination, à poursuivre ce mouvement, jusqu'au départ des symboles en place. A Bouira, les manifestants ont dit refuser la tenue des élections présidentielles sans granules. A Béjaia, les manifestants réclament la libération des détenus d'opinion.A Constantine, les manifestants réclament le dialogue avec le pouvoir réel, pour aboutir à un Etat civil. Fait nouveau, hier àAlger, des manifestants ont brandi la menace de la désobéissance civile