Le bras de fer se poursuit au Nicaragua entre le Président, Daniel Ortega, et ses opposants. Boucliers en main, des centaines de policiers antiémeutes ont empêché des dizaines de manifestants de défiler dans les rues de Managua, pour réclamer le départ de l'ancien guérillero sandiniste. Le bras de fer se poursuit au Nicaragua entre le Président, Daniel Ortega, et ses opposants. Boucliers en main, des centaines de policiers antiémeutes ont empêché des dizaines de manifestants de défiler dans les rues de Managua, pour réclamer le départ de l'ancien guérillero sandiniste. Un blocage par la force sans parvenir pour autant à stopper la mobilisation alors que le régime autoritaire rejette l'aide de la communauté internationale pour tenter de sortir d'une crise politique meurtrière qui s'éternise. "Dictature non, démocratie si !", scandaient, samedi, les protestataires réunis par petits groupes dans quatre lieux différents du sud de la capitale. Des mobilisations organisées à l'appel de la coalition d'opposition, Unité nationale bleu et blanc, formée contre M. Ortega au pouvoir depuis 2007 après avoir gouverné de 1979 à 1990. Encerclés par d'importants dispositifs policiers, les manifestants n'ont pas pu se rejoindre pour former le cortège prévu initialement. Aucun affrontement ni arrestation n'ont été signalés, même si deux protestataires ont été légèrement blessés par des grenades étourdissantes lancées par la police. Un blocage par la force sans parvenir pour autant à stopper la mobilisation alors que le régime autoritaire rejette l'aide de la communauté internationale pour tenter de sortir d'une crise politique meurtrière qui s'éternise. "Dictature non, démocratie si !", scandaient, samedi, les protestataires réunis par petits groupes dans quatre lieux différents du sud de la capitale. Des mobilisations organisées à l'appel de la coalition d'opposition, Unité nationale bleu et blanc, formée contre M. Ortega au pouvoir depuis 2007 après avoir gouverné de 1979 à 1990. Encerclés par d'importants dispositifs policiers, les manifestants n'ont pas pu se rejoindre pour former le cortège prévu initialement. Aucun affrontement ni arrestation n'ont été signalés, même si deux protestataires ont été légèrement blessés par des grenades étourdissantes lancées par la police.