raids aériens sur la province d'Idleb, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Les frappes aériennes ont fait 5 morts dans le village d'Al-Malaja, situé dans le sud d'Idleb, selon l'OSDH, tandis que 4 civils ont péri dans des raids près de Saraqeb, dans l'est de la province. raids aériens sur la province d'Idleb, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Les frappes aériennes ont fait 5 morts dans le village d'Al-Malaja, situé dans le sud d'Idleb, selon l'OSDH, tandis que 4 civils ont péri dans des raids près de Saraqeb, dans l'est de la province. Certains des blessés se trouvent "dans un état grave", d'après le directeur de l'ONG, Rami Abdel Rahmane, qui n'était pas en mesure de donner dans l'immédiat un bilan global des blessés. La région d'Idleb est dominée par les jihadistes du groupe Hayat Tahrir al-Cham (HTS), l'ex-branche syrienne d'el-Qaïda. Cette région, et des secteurs adjacents des provinces d'Alep, de Hama et de Lattaquié, échappe toujours dans sa vaste majorité au régime syrien. Ces zones abritent aussi plusieurs autres groupuscules jihadistes ainsi que des rebelles affaiblis. Depuis début novembre, 48 civils, dont 16 enfants, ont été tués dans des frappes russes sur le Nord-Ouest syrien, dont le rythme s'est nettement accéléré après deux mois de répit, selon l'OSDH. Entre fin avril et fin août, la région avait été pilonnée sans interruption par l'armée syrienne, appuyée par l'aviation russe. Près d'un millier de civils ont péri durant cette période, selon l'OSDH, tandis que plus de 400.000 personnes ont été déplacées, d'après l'Onu. Le 22 octobre, Bachar el-Assad a effectué sa première visite dans la province depuis le début de la guerre en 2011, affirmant que la bataille d'Idleb était la clé pour y mettre fin. Certains des blessés se trouvent "dans un état grave", d'après le directeur de l'ONG, Rami Abdel Rahmane, qui n'était pas en mesure de donner dans l'immédiat un bilan global des blessés. La région d'Idleb est dominée par les jihadistes du groupe Hayat Tahrir al-Cham (HTS), l'ex-branche syrienne d'el-Qaïda. Cette région, et des secteurs adjacents des provinces d'Alep, de Hama et de Lattaquié, échappe toujours dans sa vaste majorité au régime syrien. Ces zones abritent aussi plusieurs autres groupuscules jihadistes ainsi que des rebelles affaiblis. Depuis début novembre, 48 civils, dont 16 enfants, ont été tués dans des frappes russes sur le Nord-Ouest syrien, dont le rythme s'est nettement accéléré après deux mois de répit, selon l'OSDH. Entre fin avril et fin août, la région avait été pilonnée sans interruption par l'armée syrienne, appuyée par l'aviation russe. Près d'un millier de civils ont péri durant cette période, selon l'OSDH, tandis que plus de 400.000 personnes ont été déplacées, d'après l'Onu. Le 22 octobre, Bachar el-Assad a effectué sa première visite dans la province depuis le début de la guerre en 2011, affirmant que la bataille d'Idleb était la clé pour y mettre fin.