Pour le 9e jour de la campagne électorale le candidat du mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina, s'est rendu à Lakhdaria, dans la wilaya de Bouira, ou il a été chahuté par des manifestants anti-présidentielle aux cris de "dégage", et "klitou leblad ya serakine". Mais, malgré ce climat tendu, cela ne l'a pas empêché d'engager la discussion avec certains manifestants où il a défendu l'option de la tenue du scrutin. Pour le 9e jour de la campagne électorale le candidat du mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina, s'est rendu à Lakhdaria, dans la wilaya de Bouira, ou il a été chahuté par des manifestants anti-présidentielle aux cris de "dégage", et "klitou leblad ya serakine". Mais, malgré ce climat tendu, cela ne l'a pas empêché d'engager la discussion avec certains manifestants où il a défendu l'option de la tenue du scrutin. On comprend dès lors mieux pourquoi il n''a pas hésité à dire que le "hirak d'aujourd'hui est différent de celui du 22 février". De Barika, où il a animé un meeting, il a denoncé le "fait que des gens sont agressés parce qu'ils ne portent pas des pancartes ou des banderoles qui symbolisent le hirak". Il a rappelé qu'au "tout début du mouvement populaire tous étaient solidaires et tolérants. Celui qui veut séparer l'armée et le peuple est un traitre qui n'a pas de place en Algérie", a-t-il asséné. Indiquant qu'il accepte tous les avis, il a invité les opposants à présenter des alternatives. Abdelkader Bengrina promet "un relèvement progressif des salaires, en commençant par une augmentation du SNMG (Salaire national minimum garanti) sur la base d'études techniques". Il promet également de réduire l'IRG sur salaires, qui constitue, pour lui, une "punition pour le travailleur producteur". Bengrina compte, dans le même objectif, "réduire l'écart important entre les salaires dans les différents secteurs et entre les filières du même secteur ainsi que l'écart entre les rémunérations dans les secteurs public et privé. Il promet, aussi, d'élargir l'assiette fiscale et d'instaurer un impôt sur la fortune". Une "évaluation et une révision des exonérations fiscales accordées aux opérateurs" sont également inscrites au programme du candidat qui promet, par ailleurs, de "lancer un débat national autour de la réforme des subventions".A ce titre, Bengrina propose de remplacer le "soutien étatique direct par une dotation pécuniaire au profit des démunis, laquelle sera introduite dans leurs salaires". On comprend dès lors mieux pourquoi il n''a pas hésité à dire que le "hirak d'aujourd'hui est différent de celui du 22 février". De Barika, où il a animé un meeting, il a denoncé le "fait que des gens sont agressés parce qu'ils ne portent pas des pancartes ou des banderoles qui symbolisent le hirak". Il a rappelé qu'au "tout début du mouvement populaire tous étaient solidaires et tolérants. Celui qui veut séparer l'armée et le peuple est un traitre qui n'a pas de place en Algérie", a-t-il asséné. Indiquant qu'il accepte tous les avis, il a invité les opposants à présenter des alternatives. Abdelkader Bengrina promet "un relèvement progressif des salaires, en commençant par une augmentation du SNMG (Salaire national minimum garanti) sur la base d'études techniques". Il promet également de réduire l'IRG sur salaires, qui constitue, pour lui, une "punition pour le travailleur producteur". Bengrina compte, dans le même objectif, "réduire l'écart important entre les salaires dans les différents secteurs et entre les filières du même secteur ainsi que l'écart entre les rémunérations dans les secteurs public et privé. Il promet, aussi, d'élargir l'assiette fiscale et d'instaurer un impôt sur la fortune". Une "évaluation et une révision des exonérations fiscales accordées aux opérateurs" sont également inscrites au programme du candidat qui promet, par ailleurs, de "lancer un débat national autour de la réforme des subventions".A ce titre, Bengrina propose de remplacer le "soutien étatique direct par une dotation pécuniaire au profit des démunis, laquelle sera introduite dans leurs salaires".