Le candidat à la présidentielle du 12 décembre, Abdelkader Bengrina, a affirmé, jeudi à Ain Defla, que "le peuple est le seul qui décide de son sort, lors d'élections régulières et transparentes", estimant que "la nouvelle Algérie ne tolèrera, ni Le candidat à la présidentielle du 12 décembre, Abdelkader Bengrina, a affirmé, jeudi à Ain Defla, que "le peuple est le seul qui décide de son sort, lors d'élections régulières et transparentes", estimant que "la nouvelle Algérie ne tolèrera, ni n'acceptera, sous aucune condition, la fraude contre la volonté populaire". "Le peuple est le seul qui décide de son sort lors d'élections régulières et transparentes. Si cela arrive, le prochain Président sera au service du peuple, et s'il y a fraude, il sera le serviteur de celui qui le désignera à la tête du pays", a déclaré M. Bengrina, lors d'un meeting populaire à la maison de Culture, Emir Abdelkader dans la ville d'Ain Defla. "La nouvelle Algérie ne tolèrera, ni n'acceptera, sous aucune condition, la fraude contre la volonté populaire", a-t-il soutenu. Soulignant que le peuple "a atteint un niveau de conscience élevé, qui lui a permis de faire tomber la bande, en sortant le 22 février contre la corruption",M. Begrina a tenu à préciser que "si les relais de la bande ont l'intention de frauder, ils doivent se rappeler que le Hirak du 22 février peut se calmer, mais va se soulever une deuxième fois". n'acceptera, sous aucune condition, la fraude contre la volonté populaire". "Le peuple est le seul qui décide de son sort lors d'élections régulières et transparentes. Si cela arrive, le prochain Président sera au service du peuple, et s'il y a fraude, il sera le serviteur de celui qui le désignera à la tête du pays", a déclaré M. Bengrina, lors d'un meeting populaire à la maison de Culture, Emir Abdelkader dans la ville d'Ain Defla. "La nouvelle Algérie ne tolèrera, ni n'acceptera, sous aucune condition, la fraude contre la volonté populaire", a-t-il soutenu. Soulignant que le peuple "a atteint un niveau de conscience élevé, qui lui a permis de faire tomber la bande, en sortant le 22 février contre la corruption",M. Begrina a tenu à préciser que "si les relais de la bande ont l'intention de frauder, ils doivent se rappeler que le Hirak du 22 février peut se calmer, mais va se soulever une deuxième fois".