A quelques jours de sa nomination, le nouveau ministre de l'Education nationale a voulu prendre les choses enmain, en adressant un courrieraux quinze syndicatsautonomes du secteur, pourles inviter à une réunion, fixée pour demain mardi 14 janvier. A quelques jours de sa nomination, le nouveau ministre de l'Education nationale a voulu prendre les choses enmain, en adressant un courrieraux quinze syndicatsautonomes du secteur, pourles inviter à une réunion, fixée pour demain mardi 14 janvier. Cette réunion avec les partenairessociaux devrait se dérouler dans une périod particulière, marquée par le n boycott des syndicats avec l'ex- gouvernement deBedoui, mais aussi par différentsmouvements de contestations qui menacent, depuis le début de l'année, le bondéroulement de la scolarité des élèves. Le successeur de Belabed devra, donc, faire face à cet épineux problème qui dure depuis quatre mois. Pour le moment, Mohamed Ouadjaout n'a pas encore réagi. Il est aussi question de dialoguer avec les syndicats autonomes, pour entamer une nouvelle page. Le but, dans le fond, c'est de revoir tout le système éducatif, un projet décidé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.n Faisant le point, hier matin sur une chaine de télévision privée, Hassane Belbaki, Secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de l'Education (SNTE), indique que "Nous allons profiter, lors de la réunion de prise de contact avec le ministre, pour soulever tous les points, à commencer par l'amélioration du statut de l'enseignant, l'allégement du volume horaire, la révision des programmes scolaires...". "Il est anormal qu'un élève puisse avoir 30 heures de cours !", a-t-il regretté. Les enseignants du primaire ont observé une grève, mercredi dernier, pour exiger la satisfaction de leurs revendications, soulevées à la tutelle depuis octobre dernier. Une nouvelle journée de grève est prévue mercredi prochain, menacent les grévistes qui décideront de durcir le ton. Cette réunion avec les partenairessociaux devrait se dérouler dans une périod particulière, marquée par le n boycott des syndicats avec l'ex- gouvernement deBedoui, mais aussi par différentsmouvements de contestations qui menacent, depuis le début de l'année, le bondéroulement de la scolarité des élèves. Le successeur de Belabed devra, donc, faire face à cet épineux problème qui dure depuis quatre mois. Pour le moment, Mohamed Ouadjaout n'a pas encore réagi. Il est aussi question de dialoguer avec les syndicats autonomes, pour entamer une nouvelle page. Le but, dans le fond, c'est de revoir tout le système éducatif, un projet décidé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.n Faisant le point, hier matin sur une chaine de télévision privée, Hassane Belbaki, Secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de l'Education (SNTE), indique que "Nous allons profiter, lors de la réunion de prise de contact avec le ministre, pour soulever tous les points, à commencer par l'amélioration du statut de l'enseignant, l'allégement du volume horaire, la révision des programmes scolaires...". "Il est anormal qu'un élève puisse avoir 30 heures de cours !", a-t-il regretté. Les enseignants du primaire ont observé une grève, mercredi dernier, pour exiger la satisfaction de leurs revendications, soulevées à la tutelle depuis octobre dernier. Une nouvelle journée de grève est prévue mercredi prochain, menacent les grévistes qui décideront de durcir le ton.