Les citoyens des wilayas concernées par l'assouplissement des dispositions du confinement sanitaire, pour cause de Covid-19, ont accueilli avec un réel soulagement la mesure qui leur permet de souffler un peu, particulièrement pour les habitants de la wilaya de Blida, Les citoyens des wilayas concernées par l'assouplissement des dispositions du confinement sanitaire, pour cause de Covid-19, ont accueilli avec un réel soulagement la mesure qui leur permet de souffler un peu, particulièrement pour les habitants de la wilaya de Blida, soumis à un couvre-feu intégral depuis le 4 avril. Le professeur Abderrahmane Benbouzid avait néanmoins tenu à bien encadrer la mesure en expliquant que "la décision du président de la République de desserrer un peu l'étau par deux facteurs : une légère amélioration de la situation épidémiologique avec une baisse sensible des décès et des personnes admises dans les structures hospitalières et surtout la nécessité de donner plus de souplesse aux citoyens afin de pouvoir faire leurs emplettes pour les besoins de la légendaire table de l'Iftar". Le professeur Benbouzid a néanmoins rappelé la nécessité pour tous de respecterrigoureusement le confinement à la maison et les mesures barrières, à l'extérieur, car a-t-il argumenté "un moindre relâchement dans l'observation des recommandations de prévention remettra en cause les acquis du confinement et favorisera l'apparition d'une nouvelle vague de contamination plus massive." Hélas ! Le message du ministre de la Santé ne semble pas avoir été entendu, ou plus tôt mal entendu par d'aucuns qui ont vu dan allègement du confinement le début de la fin de la pandémie pour reprendre les anciennes bonne habitudes. Renouer avec la convivialité festive des soirées ramadhanésques.Ce relâchement est largement perceptible hier dans les marchés avec des chalands à l'assaut des étals sans respecter la fameuse distance sociale de rigueur. Quant aux masques et aux gants, il faut repasser ! "C'est de l'inconscience, de l'incivisme", dénonce sur les ondes de la Radio nationale le professeur Amina Koudri, en "se collant les uns aux autres devant les étals, ils favorisent la propagation du virus avec un grand risque de rebond de la pandémie". "Je comprends la fièvre acheteuse qui affecte les citoyens, mais qu'ils observent la distance de sécurité, qu'ils portentdes masques même s'ils ne sont pas aux normes", ajoute le professeur Koudri qui lance cet appel : "Pensez aux personnels de santé qui sont en train de se battre avec des moyens souvent rudimentaires pour combattre la pandémie et ce genre de comportement risque de remettre en cause tous les effort". Le relâchement n'est pas seulement constaté dans les marchés, dans les cités aussi où les jeunes, après la rupture du pour veiller jusqu'au s'hour, passant le temps à palabrer, à se prendre pour des apprentis épidémiologies pour déblatérer sur la pandémie. Les cages d'escaliers de certains bâtiment sont transformées en "mahchacha" de fortune pour abriter d'infinies parties nocturnes de dominos, agrémentées de "kalb ellouz et zlabia". Oublié le risque de contamination. Certains récalcitrants qui disent « "étouffer à la maison", jouent au chat et à la souris avec la police en s'éclipsant à la ue des "warnings" pour revenir aussitôt la patrouille repartie ailleurs."Si ce qu'on a vu au premier jour de Ramadhan se reproduit encore, les autorités n'auront d'autre choix que de durcirle confinement, c'est ne question de vieou de mort", insiste le docteur BekkatBerkani, membre de la Commission de suivi des dispositions préventives contre le coronavirus. À bon entendeur! soumis à un couvre-feu intégral depuis le 4 avril. Le professeur Abderrahmane Benbouzid avait néanmoins tenu à bien encadrer la mesure en expliquant que "la décision du président de la République de desserrer un peu l'étau par deux facteurs : une légère amélioration de la situation épidémiologique avec une baisse sensible des décès et des personnes admises dans les structures hospitalières et surtout la nécessité de donner plus de souplesse aux citoyens afin de pouvoir faire leurs emplettes pour les besoins de la légendaire table de l'Iftar". Le professeur Benbouzid a néanmoins rappelé la nécessité pour tous de respecterrigoureusement le confinement à la maison et les mesures barrières, à l'extérieur, car a-t-il argumenté "un moindre relâchement dans l'observation des recommandations de prévention remettra en cause les acquis du confinement et favorisera l'apparition d'une nouvelle vague de contamination plus massive." Hélas ! Le message du ministre de la Santé ne semble pas avoir été entendu, ou plus tôt mal entendu par d'aucuns qui ont vu dan allègement du confinement le début de la fin de la pandémie pour reprendre les anciennes bonne habitudes. Renouer avec la convivialité festive des soirées ramadhanésques.Ce relâchement est largement perceptible hier dans les marchés avec des chalands à l'assaut des étals sans respecter la fameuse distance sociale de rigueur. Quant aux masques et aux gants, il faut repasser ! "C'est de l'inconscience, de l'incivisme", dénonce sur les ondes de la Radio nationale le professeur Amina Koudri, en "se collant les uns aux autres devant les étals, ils favorisent la propagation du virus avec un grand risque de rebond de la pandémie". "Je comprends la fièvre acheteuse qui affecte les citoyens, mais qu'ils observent la distance de sécurité, qu'ils portentdes masques même s'ils ne sont pas aux normes", ajoute le professeur Koudri qui lance cet appel : "Pensez aux personnels de santé qui sont en train de se battre avec des moyens souvent rudimentaires pour combattre la pandémie et ce genre de comportement risque de remettre en cause tous les effort". Le relâchement n'est pas seulement constaté dans les marchés, dans les cités aussi où les jeunes, après la rupture du pour veiller jusqu'au s'hour, passant le temps à palabrer, à se prendre pour des apprentis épidémiologies pour déblatérer sur la pandémie. Les cages d'escaliers de certains bâtiment sont transformées en "mahchacha" de fortune pour abriter d'infinies parties nocturnes de dominos, agrémentées de "kalb ellouz et zlabia". Oublié le risque de contamination. Certains récalcitrants qui disent « "étouffer à la maison", jouent au chat et à la souris avec la police en s'éclipsant à la ue des "warnings" pour revenir aussitôt la patrouille repartie ailleurs."Si ce qu'on a vu au premier jour de Ramadhan se reproduit encore, les autorités n'auront d'autre choix que de durcirle confinement, c'est ne question de vieou de mort", insiste le docteur BekkatBerkani, membre de la Commission de suivi des dispositions préventives contre le coronavirus. À bon entendeur!