Le cours du baril de Brent, pétrole de référence pour le Sahara Blend algérien, s'est établi à 26,5 dollars en clôture de séance ce vendredi, en hausse de plus de 20 % par rapport à son prix initial en début de semaine, plaçant cette semaine sous le signe de l'optimisme prudent pour le pétrole. Le cours du baril de Brent, pétrole de référence pour le Sahara Blend algérien, s'est établi à 26,5 dollars en clôture de séance ce vendredi, en hausse de plus de 20 % par rapport à son prix initial en début de semaine, plaçant cette semaine sous le signe de l'optimisme prudent pour le pétrole. La banque d'investissement américaine Goldman Sachs a notamment revu à la hausse ce vendredi ses prévisions de prix pour le Brent au deuxième trimestre, le faisant passer à 25 dollars contre 20 dollars précédemment, rapporte l'agence Reuters. Goldman a également légèrement relevé sa prévision du prix de Brent pour l'ensemble de l'année 2020, de 35,2 à 35,8 dollars. Des cours qui restent cependant très en deçà de la moyenne du pétrole en 2019 qui s'est établie à 64,16 dollars. "Il semble désormais probable que le marché réussit son test sur la capacité de stockage, en raison de l'amélioration des fondamentaux, de nouvelles formes créatives de stockage actuellement mises en place et d'un excédent probable plus bas de 1 million de barils par jour en mai par rapport aux prévisions", indique Goldman Sachs. "Au-delà de ce regain salutaire, nous avertissons que le marché haussier du pétrole que nous prévoyons prendra du temps et nécessitera de la patience", prévient néanmoins la banque américaine. Un optimisme prudent également de rigueur à la banque Morgan Stanley, qui a estimé que la demande mondiale de pétrole ne devrait reprendre ses niveaux de 2019 qu'au dernier trimestre de 2021, rapporte Ilboursa. "La reprise de la demande sera quelque peu atténuée et nous pourrions voir des changements structurels dans les comportements des gens", a indiqué Martjin Rats, directeur général de Morgan Stanley, cité par la même source. L'optimisme demeure cependant de mise, comme l'affirme le site spécialisé Oil Price. "Le pétrole devrait afficher son premier gain hebdomadaire depuis plus d'un mois, les baisses de production et certaines nouvelles relativement positives concernant le coronavirus ont stimulé l'optimisme", indique Oil Price qui rappelle que l'accord Opep+ commence ce vendredi "tandis que les puits fermés ontcommencé à s'accumuler en volumes significatifs". L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs alliés, réunis sous la bannière Opep+, ont effet entamé ce vendredi l'application de leur engagement portant une baisse de production de près de 9,7 millions de barils par jour pour les mois de mai et juin dans l'espoir de rééquilibrer le marché et enrayer la chute des prix. La baisse de la production devrait par la suite s'établir entre juilletet décembre à 7,7 millions de barils par jour, avant de se stabiliser pendant 16 mois à 5,8 millions de barils journaliers. La banque d'investissement américaine Goldman Sachs a notamment revu à la hausse ce vendredi ses prévisions de prix pour le Brent au deuxième trimestre, le faisant passer à 25 dollars contre 20 dollars précédemment, rapporte l'agence Reuters. Goldman a également légèrement relevé sa prévision du prix de Brent pour l'ensemble de l'année 2020, de 35,2 à 35,8 dollars. Des cours qui restent cependant très en deçà de la moyenne du pétrole en 2019 qui s'est établie à 64,16 dollars. "Il semble désormais probable que le marché réussit son test sur la capacité de stockage, en raison de l'amélioration des fondamentaux, de nouvelles formes créatives de stockage actuellement mises en place et d'un excédent probable plus bas de 1 million de barils par jour en mai par rapport aux prévisions", indique Goldman Sachs. "Au-delà de ce regain salutaire, nous avertissons que le marché haussier du pétrole que nous prévoyons prendra du temps et nécessitera de la patience", prévient néanmoins la banque américaine. Un optimisme prudent également de rigueur à la banque Morgan Stanley, qui a estimé que la demande mondiale de pétrole ne devrait reprendre ses niveaux de 2019 qu'au dernier trimestre de 2021, rapporte Ilboursa. "La reprise de la demande sera quelque peu atténuée et nous pourrions voir des changements structurels dans les comportements des gens", a indiqué Martjin Rats, directeur général de Morgan Stanley, cité par la même source. L'optimisme demeure cependant de mise, comme l'affirme le site spécialisé Oil Price. "Le pétrole devrait afficher son premier gain hebdomadaire depuis plus d'un mois, les baisses de production et certaines nouvelles relativement positives concernant le coronavirus ont stimulé l'optimisme", indique Oil Price qui rappelle que l'accord Opep+ commence ce vendredi "tandis que les puits fermés ontcommencé à s'accumuler en volumes significatifs". L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs alliés, réunis sous la bannière Opep+, ont effet entamé ce vendredi l'application de leur engagement portant une baisse de production de près de 9,7 millions de barils par jour pour les mois de mai et juin dans l'espoir de rééquilibrer le marché et enrayer la chute des prix. La baisse de la production devrait par la suite s'établir entre juilletet décembre à 7,7 millions de barils par jour, avant de se stabiliser pendant 16 mois à 5,8 millions de barils journaliers.