De nouveaux heurts ont éclaté et des couvre-feux ont été imposés, dans la nuit de samedi à dimanche, à Minneapolis et dans plusieurs autres villes américaines, comme Los Angeles et Atlanta, malgré l'inculpation du policier blanc à l'origine de la mort d'un homme noir, George Floyd, qu'il avait violemment plaqué au sol. De nouveaux heurts ont éclaté et des couvre-feux ont été imposés, dans la nuit de samedi à dimanche, à Minneapolis et dans plusieurs autres villes américaines, comme Los Angeles et Atlanta, malgré l'inculpation du policier blanc à l'origine de la mort d'un homme noir, George Floyd, qu'il avait violemment plaqué au sol. La situation demeure très tendue. De nouveaux heurts ont éclaté et des couvre-feux ont été imposés dans la nuit de samedi à dimanche à Minneapolis et dans plusieurs autres villes américaines comme Los Angeles et Atlanta, malgré l'inculpation du policier blanc à l'origine de la mort d'un homme noir, George Floyd, qu'il avait violemment plaqué ausol. Dans plusieurs grandes villes comme Miami ou Chicago, les manifestations aux cris de "je ne peux plus respirer", lesderniers mots prononcés par George Floyd avant de mourir, ont commencé dans le calme, avant que certains participants ne bloquent la circulation, n'allument des incendies et ne se confrontent aux policiers. Le gouverneur démocrate du Minnesota, Tim Walz, a décidé de mobiliser l'intégralité de la Garde nationale de l'Etat, une force de réserve qui dépend de l'armée américaine, afin d'endiguer la violence qu'il impute à des casseurs qui profitent du mouvement de protestation contre la mort de George Floyd pour semer le chaos. "Nous sommes attaqués", a-t-il déclaré. "L'ordre public doit être rétabli". D'autres responsables américains, dont l'Attorney General (ministre de la Justice) William Barr, ont imputé les violences à des anarchistes ou des extrémistes, de gauche comme de droite, plutôt qu'aux manifestants eux-mêmes, sans toutefois fournir d'éléments concrets. Renforts militaires à Minneapolis Le Pentagone s'est dit prêt à envoyer des renforts militaires à Minneapolis, plaçant même des unités de l'armée en état d'alerte pendant quatre heures. Les militants pour les droits civiques soulignent que la vidéo de l'arrestation de Floyd a réveillé la colère contre les violences policières mais aussi lesbiais raciaux du système judiciaire américain. Les manifestations interviennent aussi dans un moment de frustration de nombreux Américains en raison du confinement et de la flambée du chômage provoquée par l'épidémie de coronavirus. Des couvre-feux ont été imposés dans plusieurs grandes villes comme Atlanta (Géorgie), Los Angeles (Californie), Philadelphie (Pennsylvanie), Denver (Colorado), Cincinnati (Ohio), Portland (Oregon) ou Louisville (Kentucky). Des manifestations ont aussi gagné Seattle (Etat de Washington), Salt Lake City (Utah), Dallas (Texas), Chicago (Illinois) ou Cleveland (Ohio). Le président Donald Trump a prévenu samedi les manifestants rassemblés sur Lafayette Square, à Washington, qu'ils auraient été accueillis par "les chiens les plus vicieux et lesarmes les plus menaçantes que j'ai jamais vus", ils avaient franchi les barrières La situation demeure très tendue. De nouveaux heurts ont éclaté et des couvre-feux ont été imposés dans la nuit de samedi à dimanche à Minneapolis et dans plusieurs autres villes américaines comme Los Angeles et Atlanta, malgré l'inculpation du policier blanc à l'origine de la mort d'un homme noir, George Floyd, qu'il avait violemment plaqué ausol. Dans plusieurs grandes villes comme Miami ou Chicago, les manifestations aux cris de "je ne peux plus respirer", lesderniers mots prononcés par George Floyd avant de mourir, ont commencé dans le calme, avant que certains participants ne bloquent la circulation, n'allument des incendies et ne se confrontent aux policiers. Le gouverneur démocrate du Minnesota, Tim Walz, a décidé de mobiliser l'intégralité de la Garde nationale de l'Etat, une force de réserve qui dépend de l'armée américaine, afin d'endiguer la violence qu'il impute à des casseurs qui profitent du mouvement de protestation contre la mort de George Floyd pour semer le chaos. "Nous sommes attaqués", a-t-il déclaré. "L'ordre public doit être rétabli". D'autres responsables américains, dont l'Attorney General (ministre de la Justice) William Barr, ont imputé les violences à des anarchistes ou des extrémistes, de gauche comme de droite, plutôt qu'aux manifestants eux-mêmes, sans toutefois fournir d'éléments concrets. Renforts militaires à Minneapolis Le Pentagone s'est dit prêt à envoyer des renforts militaires à Minneapolis, plaçant même des unités de l'armée en état d'alerte pendant quatre heures. Les militants pour les droits civiques soulignent que la vidéo de l'arrestation de Floyd a réveillé la colère contre les violences policières mais aussi lesbiais raciaux du système judiciaire américain. Les manifestations interviennent aussi dans un moment de frustration de nombreux Américains en raison du confinement et de la flambée du chômage provoquée par l'épidémie de coronavirus. Des couvre-feux ont été imposés dans plusieurs grandes villes comme Atlanta (Géorgie), Los Angeles (Californie), Philadelphie (Pennsylvanie), Denver (Colorado), Cincinnati (Ohio), Portland (Oregon) ou Louisville (Kentucky). Des manifestations ont aussi gagné Seattle (Etat de Washington), Salt Lake City (Utah), Dallas (Texas), Chicago (Illinois) ou Cleveland (Ohio). Le président Donald Trump a prévenu samedi les manifestants rassemblés sur Lafayette Square, à Washington, qu'ils auraient été accueillis par "les chiens les plus vicieux et lesarmes les plus menaçantes que j'ai jamais vus", ils avaient franchi les barrières