Après avoir décidé, une première fois, de limiter drastiquement les quotas pour la session du Hadj-2020 en raison de la pandémie du coronavirus, l'Arabie Saoudite nage en plein brouillard quant à la maintenir ou l'annuler purement et simplement. Après avoir décidé, une première fois, de limiter drastiquement les quotas pour la session du Hadj-2020 en raison de la pandémie du coronavirus, l'Arabie Saoudite nage en plein brouillard quant à la maintenir ou l'annuler purement et simplement. Il faut dire que les indicateurs sur la situation sanitaire mondiale, plus particulièrement en Lieux saints de l'Islam où le Covid-19 suit une courbe exponentielle inquiétante avec déjà plus de 130.000 cas confirmés et plus de1.000 décès, ne prête pas à l'optimisme, d'autant qu'en raison de la promiscuité, imparable, entre pèlerins lors des différents rituels peur constituer un redoutable vecteur de contagion du virus. Cité, mardi par l'Afp, unresponsabl saoudien, a botté en touche sur la question, indiquant qu'une décision imminente allait être prise. Entretemps, des pays peuplés de musulmans tels l'Indonésie, ou encore la Malaisie et Singapour, ont tranché en faveur du renoncement au pèlerinage cette année. En Afrique, le Sénégal suit la même logique après avoir suspendu toutes les formalités inhérentes au voyage des pèlerins. Ailleurs, comme au Maroc, en Egypte, en Turquie et au Liban, c'est l'expectative, note l'Afp qui relève qu'en France, le CFCM a appelé les musulmans à différer leur pèlerinage à 2021. En définitive, Ryad est appelé à jouer à pile ou face, une partie où le Royaume mis à mal par ses conjonctures économiques, risque gros dans la mesure où l'annulation du Hadj, qui serait alors une première historique, ne manquera pas d'impacter sa légitimité de "Gardien des Lieux Saints de l'Islam'' et d'affecter conséquemment une source de revenus estimés à plus de onze milliards USD, chaque année grâce aux deux rituels du ‘'Hadj'' et de la "Omra''. En tout état de cause, la tendance vers l'annulation du Hadj 2020 semble incontournable, à tout le moins le rituel sera-til ouvert aux seuls nationaux du pays? Quid de l'Algérie ? Pour l'heure, les autorités ne se sont pas officiellement prononcées sur la question, mais au regard de la stratégie, probante, adoptée par le gouvernement endiguer le Covid-19, il est quasiment assuré que l'Algérie va faire l'impasse sur cette présente session du Hadj. Il faut dire que les indicateurs sur la situation sanitaire mondiale, plus particulièrement en Lieux saints de l'Islam où le Covid-19 suit une courbe exponentielle inquiétante avec déjà plus de 130.000 cas confirmés et plus de1.000 décès, ne prête pas à l'optimisme, d'autant qu'en raison de la promiscuité, imparable, entre pèlerins lors des différents rituels peur constituer un redoutable vecteur de contagion du virus. Cité, mardi par l'Afp, unresponsabl saoudien, a botté en touche sur la question, indiquant qu'une décision imminente allait être prise. Entretemps, des pays peuplés de musulmans tels l'Indonésie, ou encore la Malaisie et Singapour, ont tranché en faveur du renoncement au pèlerinage cette année. En Afrique, le Sénégal suit la même logique après avoir suspendu toutes les formalités inhérentes au voyage des pèlerins. Ailleurs, comme au Maroc, en Egypte, en Turquie et au Liban, c'est l'expectative, note l'Afp qui relève qu'en France, le CFCM a appelé les musulmans à différer leur pèlerinage à 2021. En définitive, Ryad est appelé à jouer à pile ou face, une partie où le Royaume mis à mal par ses conjonctures économiques, risque gros dans la mesure où l'annulation du Hadj, qui serait alors une première historique, ne manquera pas d'impacter sa légitimité de "Gardien des Lieux Saints de l'Islam'' et d'affecter conséquemment une source de revenus estimés à plus de onze milliards USD, chaque année grâce aux deux rituels du ‘'Hadj'' et de la "Omra''. En tout état de cause, la tendance vers l'annulation du Hadj 2020 semble incontournable, à tout le moins le rituel sera-til ouvert aux seuls nationaux du pays? Quid de l'Algérie ? Pour l'heure, les autorités ne se sont pas officiellement prononcées sur la question, mais au regard de la stratégie, probante, adoptée par le gouvernement endiguer le Covid-19, il est quasiment assuré que l'Algérie va faire l'impasse sur cette présente session du Hadj.