Afin de permettre des élections crédibles l'une des missions entreprises par l'Autorité indépendante, chargée de surveiller leur organisation, a consisté à réviser le fichier électoral, mettant à jour plusieurs milliers de noms de personnes décédées utilisés, parfois, par des candidats pour gonfler le nombre de votants en leur faveur. Afin de permettre des élections crédibles l'une des missions entreprises par l'Autorité indépendante, chargée de surveiller leur organisation, a consisté à réviser le fichier électoral, mettant à jour plusieurs milliers de noms de personnes décédées utilisés, parfois, par des candidats pour gonfler le nombre de votants en leur faveur. Soulignant qu'il ne s'agit pas là de méthodes "infondées", le président de l'Anie les explique par l'insuffisance du suivi de l'organisation des scrutins, mais pas toujours par des "intentions malveillantes", de certains parmi ces derniers. Intervenant, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, Mohamed Chorfi évalue à plus de 23,5 millions le nombre d'électeurs inscrits et à 292.805 celui des personnes radiées, parmi lesquelles, ajoute-t-il, 35.528 "l'ont été en raison du changement de résidence". Il signale, d'autre part, quel'"assainissement du fichier électoral se poursuivra jusqu'au moment de sa totale numérisation". De l'inscription de certains partis absents au Parlement, souhaitant, malgré tout, présenter des candidats au scrutin du 1er novembre prochain, le président de l'Autorité indépendante de surveillance des élections considère leur revendication "légitime". Il met, cependant, en avant, l'impossibilité d'ouvrir, quotidiennement, les radios et chaînes télé à plus de 30 candidats ou à leurs représentants. il ajoute qu'à condition de "respecter l'ordre public, il est laissé à ceux-ci, la liberté de tenir des meetings et des réunions pour y présenter leurs programmes". Du déroulement du vote, M. Chorfi indique que l'Autorité qu'il préside va "reprendre le même type d'organisation que celui utilisé lors de la récente présidentielle". Il signale, par ailleurs, que dans un souci "d'impartialité et de justice électorale, des citoyens volontaires, indépendants, des compétiteurs pourront être intégrés dans l'encadrement des bureaux de vote". L'Invité assure que la structure qu'il préside va faire en sorte de s'assurer que "l'intégrité du vote soit protégée à 100 %", pour éviter, dit-il, les "déviations observées par le passé et parce que l'Algérie nouvelle a, depuis, déclaré lalutte à la corruption et à l'argent sale". Soulignant qu'il ne s'agit pas là de méthodes "infondées", le président de l'Anie les explique par l'insuffisance du suivi de l'organisation des scrutins, mais pas toujours par des "intentions malveillantes", de certains parmi ces derniers. Intervenant, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, Mohamed Chorfi évalue à plus de 23,5 millions le nombre d'électeurs inscrits et à 292.805 celui des personnes radiées, parmi lesquelles, ajoute-t-il, 35.528 "l'ont été en raison du changement de résidence". Il signale, d'autre part, quel'"assainissement du fichier électoral se poursuivra jusqu'au moment de sa totale numérisation". De l'inscription de certains partis absents au Parlement, souhaitant, malgré tout, présenter des candidats au scrutin du 1er novembre prochain, le président de l'Autorité indépendante de surveillance des élections considère leur revendication "légitime". Il met, cependant, en avant, l'impossibilité d'ouvrir, quotidiennement, les radios et chaînes télé à plus de 30 candidats ou à leurs représentants. il ajoute qu'à condition de "respecter l'ordre public, il est laissé à ceux-ci, la liberté de tenir des meetings et des réunions pour y présenter leurs programmes". Du déroulement du vote, M. Chorfi indique que l'Autorité qu'il préside va "reprendre le même type d'organisation que celui utilisé lors de la récente présidentielle". Il signale, par ailleurs, que dans un souci "d'impartialité et de justice électorale, des citoyens volontaires, indépendants, des compétiteurs pourront être intégrés dans l'encadrement des bureaux de vote". L'Invité assure que la structure qu'il préside va faire en sorte de s'assurer que "l'intégrité du vote soit protégée à 100 %", pour éviter, dit-il, les "déviations observées par le passé et parce que l'Algérie nouvelle a, depuis, déclaré lalutte à la corruption et à l'argent sale".