Suite au recul constaté ces derniers mois dans le propagation de l'épidémie de coronavirus en Algérie, les citoyens semblent rassurés et commencent déjà à adopter le retour à le vie normale. or, on constate, ces derniers jours, la multiplication des mises en garde de la part des spécialistes. Suite au recul constaté ces derniers mois dans le propagation de l'épidémie de coronavirus en Algérie, les citoyens semblent rassurés et commencent déjà à adopter le retour à le vie normale. or, on constate, ces derniers jours, la multiplication des mises en garde de la part des spécialistes. Si la situation épidémiologique sembl stable, vu les chiffres annoncés quotidiennement par le ministère de la Santé, cette stabilité reste toutefois relative, selon les spécialistes. Pour le directeur général de l'Institut Pasteur d'Algérie, le docteur Fawzi Derrar, le "virus est toujours actif et se propage malgré l'amélioration de la situation épidémiologique". Intervenant à la Télévision nationale, le responsable a souligné que "le danger est toujours là, et que l'Algérie décompte chaque jour les contaminations et les décès au virus, notamment avec l'apparition les nouveaux variants". Notant cependant que la situation épidémiologique va plutôt en s'améliorant comparativement aux derniers mois, l'intervenant signale que "le virus est en circulation". À ce propos, il a appelé les Algériens au respect strict des mesures de prévention. S'agit-il d'une troisième vague ? Pour sa part, le professeur en épidémiologie au centre hospitalier El-Hadi-Flici Mohamed Zeroule, estime que "la situation est plutôt inquiétante". Lors de son passage, ce vendredi, sur les onles de la Radio régionale de Sétif, le spécialiste affirme que les "contaminations se sont stabilisées au-dessus les 300 cas par jour". Selon lui, ce qui est inquiétant dans pareille situation, c'est le fait que "ces chiffres ne reflètent guère la réalité au niveau des hôpitaux qui ne reçoivent désormais que les cas symptomatiques". Ce qui est dangereux actuellement, selon le même spécialiste, c'est que "la plupart des cas contaminés ne présentent aucun symptôme, seuls 20 % de la totalité les cas confirmés sont symptomatiques. ainsi, pas moins de 80 % les personnes contaminées, et donc porteuses de virus se promènent en toute liberté", a-t-il expliqué. Comme conséquence, l'intervenant indique que "les services de réanimation au niveau des structures sanitaires de la capitale connaissent actuellement une situation de saturation, chose qui aggrave la situation". Dans la même lancée, l'invité de la radio de Sétif n'a pas hésité à affirmer que "nous sommes effectivement au coeur de la troisième vague". Si la situation épidémiologique sembl stable, vu les chiffres annoncés quotidiennement par le ministère de la Santé, cette stabilité reste toutefois relative, selon les spécialistes. Pour le directeur général de l'Institut Pasteur d'Algérie, le docteur Fawzi Derrar, le "virus est toujours actif et se propage malgré l'amélioration de la situation épidémiologique". Intervenant à la Télévision nationale, le responsable a souligné que "le danger est toujours là, et que l'Algérie décompte chaque jour les contaminations et les décès au virus, notamment avec l'apparition les nouveaux variants". Notant cependant que la situation épidémiologique va plutôt en s'améliorant comparativement aux derniers mois, l'intervenant signale que "le virus est en circulation". À ce propos, il a appelé les Algériens au respect strict des mesures de prévention. S'agit-il d'une troisième vague ? Pour sa part, le professeur en épidémiologie au centre hospitalier El-Hadi-Flici Mohamed Zeroule, estime que "la situation est plutôt inquiétante". Lors de son passage, ce vendredi, sur les onles de la Radio régionale de Sétif, le spécialiste affirme que les "contaminations se sont stabilisées au-dessus les 300 cas par jour". Selon lui, ce qui est inquiétant dans pareille situation, c'est le fait que "ces chiffres ne reflètent guère la réalité au niveau des hôpitaux qui ne reçoivent désormais que les cas symptomatiques". Ce qui est dangereux actuellement, selon le même spécialiste, c'est que "la plupart des cas contaminés ne présentent aucun symptôme, seuls 20 % de la totalité les cas confirmés sont symptomatiques. ainsi, pas moins de 80 % les personnes contaminées, et donc porteuses de virus se promènent en toute liberté", a-t-il expliqué. Comme conséquence, l'intervenant indique que "les services de réanimation au niveau des structures sanitaires de la capitale connaissent actuellement une situation de saturation, chose qui aggrave la situation". Dans la même lancée, l'invité de la radio de Sétif n'a pas hésité à affirmer que "nous sommes effectivement au coeur de la troisième vague".