diplomatiques avec le Maroc à compter de ce mardi 24 août 2021. Cette décision a été annoncée par le chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra au cours d'une conférence de presse Les relations entre l'Algérie et le Maroc sont tendues depuis le 16 juillet date à laquelle l'ambassadeur du Royaume chérifien auprès des Nations unies, diplomatiques avec le Maroc à compter de ce mardi 24 août 2021. Cette décision a été annoncée par le chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra au cours d'une conférence de presse Les relations entre l'Algérie et le Maroc sont tendues depuis le 16 juillet date à laquelle l'ambassadeur du Royaume chérifien auprès des Nations unies, Omar Hilal, avait appelé à "l'indépendance du peuple kabyle" en Algérie. L'Algérie a réclamé, des éclaircissements sur ce qu'elle a qualifié de "déclarations agressives" lancées par l'ambassadeur de Rabat auprès des Nations unies, sur fond de leur soutien à un mouvement séparatiste, en référence au "mouvement pour l'indépendance des tribus de Kabylie". L'Algérie avait précédemment classé le "Mouvement pour l'indépendance de la Kabylie comme organisation terroriste". Le chef de la diplomatie algérienne a indiqué que l'Algérie a été "patiente. Très patiente avant de prendre une telle décision". M. Lamamra a jouté que l'Algérie a attendu longtemps une réponse "pour savoir si le représentant marocain à l'ONU s'était exprimé en son ou au nom de l'Etat marocain mais les responsables marocains n'ont pas apporté de réponses". Des éclaircissements qui ne sont jamais venues et auxquelles se sont greffées les déclarations hostiles à l'Algérie faites par le ministre des Affaires étrangères israélien à partir du territoire marocain. Une posture qualifiée par le deuxième homme de l'Etat, Salah Goudjil comme étant "une hostilité affichée et assumée" par le voisin. Les relations entre l'Algérie et le Maroc ont pris une tournure tendue à partir de 1994. L'ancien ministre de l'Intérieur marocain, Driss Basri, avait imputé – à tort – à l'Algérie un attentat terroriste commis à Marrakech. Le Maroc a décidé, unilatéralement, de rétablir les visas pour les citoyens algériens. L'Algérie a répliqué en appliquant la réciprocité et également en décidant de la fermeture des frontières avec le Maroc. Omar Hilal, avait appelé à "l'indépendance du peuple kabyle" en Algérie. L'Algérie a réclamé, des éclaircissements sur ce qu'elle a qualifié de "déclarations agressives" lancées par l'ambassadeur de Rabat auprès des Nations unies, sur fond de leur soutien à un mouvement séparatiste, en référence au "mouvement pour l'indépendance des tribus de Kabylie". L'Algérie avait précédemment classé le "Mouvement pour l'indépendance de la Kabylie comme organisation terroriste". Le chef de la diplomatie algérienne a indiqué que l'Algérie a été "patiente. Très patiente avant de prendre une telle décision". M. Lamamra a jouté que l'Algérie a attendu longtemps une réponse "pour savoir si le représentant marocain à l'ONU s'était exprimé en son ou au nom de l'Etat marocain mais les responsables marocains n'ont pas apporté de réponses". Des éclaircissements qui ne sont jamais venues et auxquelles se sont greffées les déclarations hostiles à l'Algérie faites par le ministre des Affaires étrangères israélien à partir du territoire marocain. Une posture qualifiée par le deuxième homme de l'Etat, Salah Goudjil comme étant "une hostilité affichée et assumée" par le voisin. Les relations entre l'Algérie et le Maroc ont pris une tournure tendue à partir de 1994. L'ancien ministre de l'Intérieur marocain, Driss Basri, avait imputé – à tort – à l'Algérie un attentat terroriste commis à Marrakech. Le Maroc a décidé, unilatéralement, de rétablir les visas pour les citoyens algériens. L'Algérie a répliqué en appliquant la réciprocité et également en décidant de la fermeture des frontières avec le Maroc.