L'Algérie a fait appel à trois sociétés étrangères pour la gestion de la distribution en eau potable dans la wilaya de Constantine, Oran et Annaba. L'Algérie a fait appel à trois sociétés étrangères pour la gestion de la distribution en eau potable dans la wilaya de Constantine, Oran et Annaba. D'ici à 2009, le citoyen algérien va pouvoir consommer quotidiennement 165 litres d'eau potable par jour, a déclaré hier le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalek Sellal, lors de la cérémonie d'ouverture du regroupement national des directeurs de l'hydraulique des wilayas (DHW) à Alger. A cette occasion, M. Sellal a indiqué que les résultats réalisés en 2005 sont très corrects, avec une moyenne de 155 litres d'eau par habitant et par jour et des taux de raccordement de 90% d'assainissement de 81%. Ces chiffres, a-t-il ajouté, sont appelés à évoluer pour atteindre une consommation moyenne d'eau potable de 165 l/ha/j en 2009 avec des taux de raccordement de 95% et d'assainissement de 92% pour arriver en 2025 à une moyenne de consommation journalière de 180 l/ha en 2025. L'Algérie a dépassé, à cet effet, et de loin, les normes édictées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière de consommation des populations en eau potable, estimée à 120 l/ha/j. A propos du programme de la distribution d'eau potable durant cet été, le ministre a affirmé qu'à partir du 1er juillet prochain et jusqu'à la fin du mois de Ramadhan, les coupures en eau potable seront restreintes sur tout le territoire national. A cet effet, 13% de la population algérienne aura accès à l'eau potable 24h/24h, 35,9% toute la journée, 28% selon le système un jour sur deux et 23,1% un jour sur trois L'agriculture absorbe 65% des ressources nationales. Cela a poussé M. Sellal à mettre l'accent sur l'importance de la mise en œuvre de l'irrigation par les eaux usées purifiées. Il a indiqué, à cet effet, que la loi est en phase de finalisation et qu'elle sera soumise au gouvernement en juillet prochain. Ce projet, qui prévoit de réaliser 72 stations d'épuration des eaux usées d'ici à 2009, permettra à l'Algérie de récupérer, annuellement, 600 millions de mètres cubes. Le secteur des ressources en eau a bénéficié de dotations très importantes du gouvernement et le ministre a indiqué que son secteur a réalisé des résultats considérables. Cependant, a-t-il révélé, il connaît des insuffisances inacceptables, notamment en matière de gestion et de protection de l'environnement. A ce propos, le ministre a certifié que souvent ce problème n'est pas seulement lié au ministère de Ressources en eau (MRE). Les collectivités locales, le ministère de l'Habitat sont aussi concernes dans ces déficiences. Dans ce sens, le ministre a affirmé qu'aucune augmentation, telle que revendiquée par l'Algérienne des eaux (ADE), pour pouvoir couvrir les charges, n'est prévue. Selon lui, la priorité est d'assurer le service public et d'améliorer sa qualité. Toujours dans le même contexte, M. Sellal a expliqué que la sous- traitance dans ce domaine est une solution bénéfique, notamment en matière de transfert du savoir-faire tout en attestant l'exemple de la société Suez, chargée de la gestion de l'eau potable dans la wilaya d'Alger, et qui, selon lui, a donné ses fruits. D'ailleurs, a-t-il affirmé dans ce sens, l'Algérie a fait appel à trois sociétés étrangères pour la gestion de la distribution de l'eau potable dans la wilaya de Constantine, Oran et Annaba. Au final, M. Sellal a appelé les DHW à plus de transparence et de clarté dans les passations de marchés et à plus de coordination entre les différentes institutions du domaine et de coopération avec les autres ministères. D'ici à 2009, le citoyen algérien va pouvoir consommer quotidiennement 165 litres d'eau potable par jour, a déclaré hier le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalek Sellal, lors de la cérémonie d'ouverture du regroupement national des directeurs de l'hydraulique des wilayas (DHW) à Alger. A cette occasion, M. Sellal a indiqué que les résultats réalisés en 2005 sont très corrects, avec une moyenne de 155 litres d'eau par habitant et par jour et des taux de raccordement de 90% d'assainissement de 81%. Ces chiffres, a-t-il ajouté, sont appelés à évoluer pour atteindre une consommation moyenne d'eau potable de 165 l/ha/j en 2009 avec des taux de raccordement de 95% et d'assainissement de 92% pour arriver en 2025 à une moyenne de consommation journalière de 180 l/ha en 2025. L'Algérie a dépassé, à cet effet, et de loin, les normes édictées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière de consommation des populations en eau potable, estimée à 120 l/ha/j. A propos du programme de la distribution d'eau potable durant cet été, le ministre a affirmé qu'à partir du 1er juillet prochain et jusqu'à la fin du mois de Ramadhan, les coupures en eau potable seront restreintes sur tout le territoire national. A cet effet, 13% de la population algérienne aura accès à l'eau potable 24h/24h, 35,9% toute la journée, 28% selon le système un jour sur deux et 23,1% un jour sur trois L'agriculture absorbe 65% des ressources nationales. Cela a poussé M. Sellal à mettre l'accent sur l'importance de la mise en œuvre de l'irrigation par les eaux usées purifiées. Il a indiqué, à cet effet, que la loi est en phase de finalisation et qu'elle sera soumise au gouvernement en juillet prochain. Ce projet, qui prévoit de réaliser 72 stations d'épuration des eaux usées d'ici à 2009, permettra à l'Algérie de récupérer, annuellement, 600 millions de mètres cubes. Le secteur des ressources en eau a bénéficié de dotations très importantes du gouvernement et le ministre a indiqué que son secteur a réalisé des résultats considérables. Cependant, a-t-il révélé, il connaît des insuffisances inacceptables, notamment en matière de gestion et de protection de l'environnement. A ce propos, le ministre a certifié que souvent ce problème n'est pas seulement lié au ministère de Ressources en eau (MRE). Les collectivités locales, le ministère de l'Habitat sont aussi concernes dans ces déficiences. Dans ce sens, le ministre a affirmé qu'aucune augmentation, telle que revendiquée par l'Algérienne des eaux (ADE), pour pouvoir couvrir les charges, n'est prévue. Selon lui, la priorité est d'assurer le service public et d'améliorer sa qualité. Toujours dans le même contexte, M. Sellal a expliqué que la sous- traitance dans ce domaine est une solution bénéfique, notamment en matière de transfert du savoir-faire tout en attestant l'exemple de la société Suez, chargée de la gestion de l'eau potable dans la wilaya d'Alger, et qui, selon lui, a donné ses fruits. D'ailleurs, a-t-il affirmé dans ce sens, l'Algérie a fait appel à trois sociétés étrangères pour la gestion de la distribution de l'eau potable dans la wilaya de Constantine, Oran et Annaba. Au final, M. Sellal a appelé les DHW à plus de transparence et de clarté dans les passations de marchés et à plus de coordination entre les différentes institutions du domaine et de coopération avec les autres ministères.