La cadence de fonctionnement des mécanismes de garantie des crédits octroyés par les banques, dans le cadre des dispositifs de l'emploi de jeunes, souffre d'un " excès de centralisation de leur gestion". C'est du moins ce qui vient d'être mis en évidence par les participants à une journée d'études organisée par la Banque de développement local (BDL) à ce sujet ce samedi à l'hôtel Marsa de Sidi-Fredj. "Les dossiers d'indemnisation introduits par la BDL auprès du Fonds de garantie des crédits octroyés par les différents dispositifs en vigueur de l'emploi n'aboutissent pas souvent", ont-t-ils également indiqué à cette occasion. Le P-DG de la BDL, M. Bachtarzi Mohamed Arselane, partage aussi ce point de vue arguant de ce fait que "la BDL ne peut répondre aux doléances des différents dispositifs de l'emploi de jeunes que dans une perspective de respect des dispositifs de la Banque d'Algérie". Pour M. Bachtarzi Mohamed Arselane, cette journée d'études "n'est pas une opération de publicité pour la BDL, mais plutôt un espace pour les représentants des différents dispositifs de l'emploi des jeunes et des responsables de la banque, pour étudier la situation et proposer des solutions aux problèmes posés". A ce titre, le directeur central des crédits de la BDL, M. Belabbes, a plaidé pour "une refonte procédurale", qui permettra, a-t-il précisé, d'"alléger les délais d'étude des dossiers et d'éviter de délivrer les certificats d'éligibilité aux crédits pour des projets dans des secteurs d'activités saturés". Ainsi, il a déploré l'absence de statistiques fiables au niveau de wilayas et de cartographie des métiers dans les régions, assénant que "la saturation des secteurs se mesure au niveau de la banque, par le taux de non-remboursement des crédits et leur incidence dans les différents secteurs d'activités". Plus loin, il ajoutera : "On a constaté aussi qu'il subsiste encore un certain décalage entre le profil pédagogique et professionnel du jeune promoteur et la nature de l'activité projetée." Cet interlocuteur estime par ailleurs que "les différents dispositifs de l'emploi de jeunes gagneraient en efficacité, en renforçant l'accompagnement des projets et en décentralisant la gestion du Fonds de garantie". De son côté, la directrice générale de l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej) et de l'Agence nationale de garantie des microcrédits a bien mis l'accent sur la nouvelle organisation de l'ANGEM qui a, selon elle, créé des structures d'étude et d'accompagnement des projets au niveau de l'ensemble des wilayas. "L'Ansej est actuellement en pleine restructuration, dans la mesure où elle s'attelle à installer ses commissions d'études de dossiers et d'accompagnement au niveau des régions et wilayas", a-t-elle déclaré. Sur ce chapitre, elle a également affirmé que "la direction de l'ANSEJ est en train d'étudier les dossiers d'indemnisation des banques", ajoutant que, devant les doléances des directeurs régionaux de la BDL, souvent appelés à des déplacements incessants pour les indemnisations, "le Fonds de garantie des crédits œuvre dans le sens de la décentralisation de la gestion des dossiers". La cadence de fonctionnement des mécanismes de garantie des crédits octroyés par les banques, dans le cadre des dispositifs de l'emploi de jeunes, souffre d'un " excès de centralisation de leur gestion". C'est du moins ce qui vient d'être mis en évidence par les participants à une journée d'études organisée par la Banque de développement local (BDL) à ce sujet ce samedi à l'hôtel Marsa de Sidi-Fredj. "Les dossiers d'indemnisation introduits par la BDL auprès du Fonds de garantie des crédits octroyés par les différents dispositifs en vigueur de l'emploi n'aboutissent pas souvent", ont-t-ils également indiqué à cette occasion. Le P-DG de la BDL, M. Bachtarzi Mohamed Arselane, partage aussi ce point de vue arguant de ce fait que "la BDL ne peut répondre aux doléances des différents dispositifs de l'emploi de jeunes que dans une perspective de respect des dispositifs de la Banque d'Algérie". Pour M. Bachtarzi Mohamed Arselane, cette journée d'études "n'est pas une opération de publicité pour la BDL, mais plutôt un espace pour les représentants des différents dispositifs de l'emploi des jeunes et des responsables de la banque, pour étudier la situation et proposer des solutions aux problèmes posés". A ce titre, le directeur central des crédits de la BDL, M. Belabbes, a plaidé pour "une refonte procédurale", qui permettra, a-t-il précisé, d'"alléger les délais d'étude des dossiers et d'éviter de délivrer les certificats d'éligibilité aux crédits pour des projets dans des secteurs d'activités saturés". Ainsi, il a déploré l'absence de statistiques fiables au niveau de wilayas et de cartographie des métiers dans les régions, assénant que "la saturation des secteurs se mesure au niveau de la banque, par le taux de non-remboursement des crédits et leur incidence dans les différents secteurs d'activités". Plus loin, il ajoutera : "On a constaté aussi qu'il subsiste encore un certain décalage entre le profil pédagogique et professionnel du jeune promoteur et la nature de l'activité projetée." Cet interlocuteur estime par ailleurs que "les différents dispositifs de l'emploi de jeunes gagneraient en efficacité, en renforçant l'accompagnement des projets et en décentralisant la gestion du Fonds de garantie". De son côté, la directrice générale de l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (Ansej) et de l'Agence nationale de garantie des microcrédits a bien mis l'accent sur la nouvelle organisation de l'ANGEM qui a, selon elle, créé des structures d'étude et d'accompagnement des projets au niveau de l'ensemble des wilayas. "L'Ansej est actuellement en pleine restructuration, dans la mesure où elle s'attelle à installer ses commissions d'études de dossiers et d'accompagnement au niveau des régions et wilayas", a-t-elle déclaré. Sur ce chapitre, elle a également affirmé que "la direction de l'ANSEJ est en train d'étudier les dossiers d'indemnisation des banques", ajoutant que, devant les doléances des directeurs régionaux de la BDL, souvent appelés à des déplacements incessants pour les indemnisations, "le Fonds de garantie des crédits œuvre dans le sens de la décentralisation de la gestion des dossiers".