Le parti des Forces socialistes semble amorcer une nouvelle ère voulant en finir avec des méthodes politiques qui se sont avérées inefficaces, car n'ayant pas donné les résultats escomptés. C'est cette impression qui s'est dégagée à l'occasion de la conférence nationale d'audit «démocratique et transparent», que le parti de Hocine Aït Ahmed a organisée, jeudi et vendredi derniers, à la Mutuelle de Zeralda, et à laquelle ont pris part des délégués représentant les différentes structures du parti à travers les wilayas du pays. D'ailleurs, le premier secrétaire du parti, Karim Thabou, n'a pas manqué de souligner cette nouvelle tendance, parlant notamment d'«échéances statutaires» du parti qu'il a qualifiées de «jalon décisif» et de «premier pas pour renforcer le lien avec nos compatriotes, nos amis politiques et nos militants». «Nous sommes le premier parti politique algérien à prendre ce risque, à oser faire un audit transparent et démocratique qui renforcera la crédibilité sur les plans national et international de notre parti. Parions sur la sincérité, l'intelligence et l'engagement militant», s'est-il réjoui. M. Thabou, qui mise sur «la cohésion, l'unité du parti, la clarté de sa ligne et de ses objectifs politiques», estime, en outre, que «la fidélité à ses engagements primordiaux doit primer sur toute autre considération». Il a également fait savoir que l'ambition de son parti aujourd'hui est de «réoccuper les espaces publics ; ce n'est pas le tout de ménager des espaces ou des postes de pouvoir dans le parti». «Les pratiques claniques et clientélistes sont indignes du FFS, de sa vocation démocratique et des ambitions qu'il nourrit pour le pays», a-t-il ajouté. M. Thabou a, par ailleurs, émis le vœu de voir cet audit «mettre fin à la confusion, à l'équivoque et aux jeux sectaires sans issue», faisant allusion à un conflit non déclaré, qui rongerait le FFS. D'ailleurs, l'ouverture de cette conférence ne s'est pas déroulée dans un climat empreint de sérénité. En effet, des échauffourées ont éclaté entre des militants du parti, qui auraient même fait quelques blessés. Cette situation intervient quelques semaines seulement après la démission de l'ancien premier secréatire du parti, Mustapha Bouhadef, qui avait dénoncé des «pratiques non démocratiques» au sein du plus vieux parti de l'opposition en Algérie. Un état de fait que d'aucuns ont qualifié de «grave» pour un parti politique qui fait de l'instauration d'une réelle démocratie son cheval de bataille et qui ne cesse de dénoncer «l'auroritarisme», «la corruption», «la fraude», «les passe-droit» et «l'injustice» au sein du pouvoir. Le parti des Forces socialistes semble amorcer une nouvelle ère voulant en finir avec des méthodes politiques qui se sont avérées inefficaces, car n'ayant pas donné les résultats escomptés. C'est cette impression qui s'est dégagée à l'occasion de la conférence nationale d'audit «démocratique et transparent», que le parti de Hocine Aït Ahmed a organisée, jeudi et vendredi derniers, à la Mutuelle de Zeralda, et à laquelle ont pris part des délégués représentant les différentes structures du parti à travers les wilayas du pays. D'ailleurs, le premier secrétaire du parti, Karim Thabou, n'a pas manqué de souligner cette nouvelle tendance, parlant notamment d'«échéances statutaires» du parti qu'il a qualifiées de «jalon décisif» et de «premier pas pour renforcer le lien avec nos compatriotes, nos amis politiques et nos militants». «Nous sommes le premier parti politique algérien à prendre ce risque, à oser faire un audit transparent et démocratique qui renforcera la crédibilité sur les plans national et international de notre parti. Parions sur la sincérité, l'intelligence et l'engagement militant», s'est-il réjoui. M. Thabou, qui mise sur «la cohésion, l'unité du parti, la clarté de sa ligne et de ses objectifs politiques», estime, en outre, que «la fidélité à ses engagements primordiaux doit primer sur toute autre considération». Il a également fait savoir que l'ambition de son parti aujourd'hui est de «réoccuper les espaces publics ; ce n'est pas le tout de ménager des espaces ou des postes de pouvoir dans le parti». «Les pratiques claniques et clientélistes sont indignes du FFS, de sa vocation démocratique et des ambitions qu'il nourrit pour le pays», a-t-il ajouté. M. Thabou a, par ailleurs, émis le vœu de voir cet audit «mettre fin à la confusion, à l'équivoque et aux jeux sectaires sans issue», faisant allusion à un conflit non déclaré, qui rongerait le FFS. D'ailleurs, l'ouverture de cette conférence ne s'est pas déroulée dans un climat empreint de sérénité. En effet, des échauffourées ont éclaté entre des militants du parti, qui auraient même fait quelques blessés. Cette situation intervient quelques semaines seulement après la démission de l'ancien premier secréatire du parti, Mustapha Bouhadef, qui avait dénoncé des «pratiques non démocratiques» au sein du plus vieux parti de l'opposition en Algérie. Un état de fait que d'aucuns ont qualifié de «grave» pour un parti politique qui fait de l'instauration d'une réelle démocratie son cheval de bataille et qui ne cesse de dénoncer «l'auroritarisme», «la corruption», «la fraude», «les passe-droit» et «l'injustice» au sein du pouvoir.