Le tour de France reste, à dire vrai, cet événement qui nous permet de parcourir du regard les édifices chargés d'histoire et de mémoire préservés jalousement, tels les forts, fortins et forteresses, les parcs et jardins, les châteaux et manoirs, les lieux de culte et autres monuments historico-culturels que la caméra capte dans son focal dans une superbe vue en plan. Un décor enchanteur qui n'est pas sans épater notre regard. Voire un patrimoine qui refuse de prêter le flanc à l'outrage du temps … Le tour de France reste, à dire vrai, cet événement qui nous permet de parcourir du regard les édifices chargés d'histoire et de mémoire préservés jalousement, tels les forts, fortins et forteresses, les parcs et jardins, les châteaux et manoirs, les lieux de culte et autres monuments historico-culturels que la caméra capte dans son focal dans une superbe vue en plan. Un décor enchanteur qui n'est pas sans épater notre regard. Voire un patrimoine qui refuse de prêter le flanc à l'outrage du temps … Au-delà de l'enjeu sportif du Tour de France, remporté cette année par l'Espagnol Alberto Contador - émaillé de menues histoires de dopage -, les concurrents nous ont embarqués, l'espace de trois semaines, dans l'une des manifestations annuelles les mieux cotées dans l'Hexagone après le sport roi, le foot en l'occurrence. Depuis sa création en 1902, le Tour de France ne cesse de gagner en popularité dès lors qu'il est suivi par des centaines de millions de téléspectateurs le long des 20 ou 21 étapes que compte la grande boucle dont le marketing est porté à coups de commentaires par des animateurs de télévision rompus à ce genre de manifestation. Si les organisateurs du Tour font montre de souci quant à la sécurité du tracé et les gros moyens y afférents devant être mis en place, il n'en demeure pas moins que l'événement ne constitue pas moins une aubaine, voire une promotion touristique pour les villes et villages qui accueillent pompeusement et avec faste le défilé des concurrents. Un coup de pub pour les bourgs, bourgades et autres hameaux juchés sur le flanc des somptueuses et verdoyantes montagnes que serpentent les athlètes de la petite reine. La petite reine du mois de juillet s'entoure, plus que les autres compétitions de l'année, de toutes les sollicitudes pour réussir à agrémenter routes départementales, collines et autres cols vallonnés. A gratifier aussi les spectateurs qui se préparent pour applaudir les acteurs et, accessoirement, contribuer à la réussite de l'événement. Un décor enchanteur Peu importe pour les estivants, entassés le long du tracé, qui des coureurs des équipes Cofidis, Discovery Channel, T-Mobile, Crédit agricole, Euskaltel, Quick Step ou autre team, remporte l'étape ou le Tour, l'essentiel est de faire partie de la fête. Une tradition que le public a appris à partager en arborant, le long d'un itinéraire qui comptabilise près de 3.000 km, des signes, des compositions florales et autres fresques champêtres en signe de bienvenue. Il n'est pas inutile de signaler que le passage de l'épreuve reine à travers chacune des circonscriptions est conditionné par l'obligation des édiles à honorer le cahier des charges qui comprend, entre autres la réfection des tronçons de route où la moindre aspérité ou crevasse les disqualifie quant à voir la procession des concurrents sillonner leurs villes. Par ailleurs, et sur un autre volet, le tour de France offre au téléspectateur de voyager sur place, à travers un tracé impeccablement asphalté, bordé de champs à perte de vue, avec cet aspect rustique qui se dégage des villages médiévaux et des magnifiques pâtés de maisons nichées joliment dans l'exubérance de la végétation. Des demeures qui, coiffées de leur toiture centenaire, refusent de constituer une plaie dans la nature tant elles épousent harmonieusement l'environnement alentour. Le tour de France reste cet événement qui nous permet de parcourir des yeux les édifices chargés d'histoire et de mémoire préservés jalousement, tels les forts, fortins et forteresses, les parcs et jardins, les châteaux, les lieux de culte, les manoirs et autres monuments historico-culturels que la caméra capte dans son focal dans une superbe vue en plan. Un décor qui n'est pas sans épater notre regard. Un patrimoine que la patine du temps n'a pas eu raison. Plus, le long du parcours, les espaces ne sont nullement envahis par la grisaille du béton ou par une quelconque concrétion urbanistique en érection, que cela soit au milieu du bel alpage, en rase campagne ou en ville. A croire que les lopins de terre ne trouvent plus preneur ! Ou bien les populations sont en décroissance ! Enfin, le spectateur ne peut faire l'impasse sur l'exemplaire entretien du réseau routier au même titre d'ailleurs que la préservation des massifs forestiers alpestres et des corridors qui enjolivent la topographie. En somme, le long de l'itinéraire, le téléspectateur reste fasciné par la beauté qu'offre Dame nature. Cette Dame nature que nourrit certes, une généreuse pluviosité, mais aussi la main de l'homme qui, faut-il le rappeler, n'est guère étrangère. Un clin d'oeil aussi à nos urbanistes, architectes, paysagistes et autres designers en déficit d'imagination. Au-delà de l'enjeu sportif du Tour de France, remporté cette année par l'Espagnol Alberto Contador - émaillé de menues histoires de dopage -, les concurrents nous ont embarqués, l'espace de trois semaines, dans l'une des manifestations annuelles les mieux cotées dans l'Hexagone après le sport roi, le foot en l'occurrence. Depuis sa création en 1902, le Tour de France ne cesse de gagner en popularité dès lors qu'il est suivi par des centaines de millions de téléspectateurs le long des 20 ou 21 étapes que compte la grande boucle dont le marketing est porté à coups de commentaires par des animateurs de télévision rompus à ce genre de manifestation. Si les organisateurs du Tour font montre de souci quant à la sécurité du tracé et les gros moyens y afférents devant être mis en place, il n'en demeure pas moins que l'événement ne constitue pas moins une aubaine, voire une promotion touristique pour les villes et villages qui accueillent pompeusement et avec faste le défilé des concurrents. Un coup de pub pour les bourgs, bourgades et autres hameaux juchés sur le flanc des somptueuses et verdoyantes montagnes que serpentent les athlètes de la petite reine. La petite reine du mois de juillet s'entoure, plus que les autres compétitions de l'année, de toutes les sollicitudes pour réussir à agrémenter routes départementales, collines et autres cols vallonnés. A gratifier aussi les spectateurs qui se préparent pour applaudir les acteurs et, accessoirement, contribuer à la réussite de l'événement. Un décor enchanteur Peu importe pour les estivants, entassés le long du tracé, qui des coureurs des équipes Cofidis, Discovery Channel, T-Mobile, Crédit agricole, Euskaltel, Quick Step ou autre team, remporte l'étape ou le Tour, l'essentiel est de faire partie de la fête. Une tradition que le public a appris à partager en arborant, le long d'un itinéraire qui comptabilise près de 3.000 km, des signes, des compositions florales et autres fresques champêtres en signe de bienvenue. Il n'est pas inutile de signaler que le passage de l'épreuve reine à travers chacune des circonscriptions est conditionné par l'obligation des édiles à honorer le cahier des charges qui comprend, entre autres la réfection des tronçons de route où la moindre aspérité ou crevasse les disqualifie quant à voir la procession des concurrents sillonner leurs villes. Par ailleurs, et sur un autre volet, le tour de France offre au téléspectateur de voyager sur place, à travers un tracé impeccablement asphalté, bordé de champs à perte de vue, avec cet aspect rustique qui se dégage des villages médiévaux et des magnifiques pâtés de maisons nichées joliment dans l'exubérance de la végétation. Des demeures qui, coiffées de leur toiture centenaire, refusent de constituer une plaie dans la nature tant elles épousent harmonieusement l'environnement alentour. Le tour de France reste cet événement qui nous permet de parcourir des yeux les édifices chargés d'histoire et de mémoire préservés jalousement, tels les forts, fortins et forteresses, les parcs et jardins, les châteaux, les lieux de culte, les manoirs et autres monuments historico-culturels que la caméra capte dans son focal dans une superbe vue en plan. Un décor qui n'est pas sans épater notre regard. Un patrimoine que la patine du temps n'a pas eu raison. Plus, le long du parcours, les espaces ne sont nullement envahis par la grisaille du béton ou par une quelconque concrétion urbanistique en érection, que cela soit au milieu du bel alpage, en rase campagne ou en ville. A croire que les lopins de terre ne trouvent plus preneur ! Ou bien les populations sont en décroissance ! Enfin, le spectateur ne peut faire l'impasse sur l'exemplaire entretien du réseau routier au même titre d'ailleurs que la préservation des massifs forestiers alpestres et des corridors qui enjolivent la topographie. En somme, le long de l'itinéraire, le téléspectateur reste fasciné par la beauté qu'offre Dame nature. Cette Dame nature que nourrit certes, une généreuse pluviosité, mais aussi la main de l'homme qui, faut-il le rappeler, n'est guère étrangère. Un clin d'oeil aussi à nos urbanistes, architectes, paysagistes et autres designers en déficit d'imagination.