L'Iran ne renoncera pas à l'enrichissement d'uranium en dépit des pressions internationales, a réaffirmé hier le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, démentant des informations parues dans un hebdomadaire allemand. "Renoncer à l'enrichissement est inacceptable", a dit à la presse Mohammad Ali Hosseini en réaction à des propos attribués à M. Ali Larijani, responsable du dossier nucléaire iranien, selon lesquels la suspension par Téhéran de ses activités d'enrichissement était concevable à l'issue de négociations avec les puissances mondiales. "Cela n'est pas vrai. J'ai parlé moi-même avec M. Larijani et cet article publié dans l'édition de lundi du magazine allemand Focus ne refléte pas ses commentaires", a dit le porte-parole. A une question de Focus lui demandant s'il était envisageable que des négociations aboutissent à la suspension de l'enrichissement d'uranium par son pays, M. Larijani aurait répondu: "Ce n'est pas totalement à écarter". "Notre activité nucléaire se poursuit dans le cadre tracé, à l'abri de la propagande politique des médias", a dit encore le porte-parole iranien. L'Occident soupçonne l'Iran de chercher à fabriquer l'arme atomique en utilisant son programme d'enrichissement d'uranium mais Téhéran soutient que son programme est purement civil. L'absence de transparence des autorités iraniennes et la reprise de leurs activités d'enrichissement d'uranium en janvier 2006 ont poussé l'AIEA à déférer le dossier devant le Conseil de sécurité de l'Onu. Le Conseil a adopté depuis trois résolutions, dont les deux dernières imposent des sanctions, pour obtenir de Téhéran qu'il suspende son enrichissement d'uranium. L'Iran ne renoncera pas à l'enrichissement d'uranium en dépit des pressions internationales, a réaffirmé hier le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, démentant des informations parues dans un hebdomadaire allemand. "Renoncer à l'enrichissement est inacceptable", a dit à la presse Mohammad Ali Hosseini en réaction à des propos attribués à M. Ali Larijani, responsable du dossier nucléaire iranien, selon lesquels la suspension par Téhéran de ses activités d'enrichissement était concevable à l'issue de négociations avec les puissances mondiales. "Cela n'est pas vrai. J'ai parlé moi-même avec M. Larijani et cet article publié dans l'édition de lundi du magazine allemand Focus ne refléte pas ses commentaires", a dit le porte-parole. A une question de Focus lui demandant s'il était envisageable que des négociations aboutissent à la suspension de l'enrichissement d'uranium par son pays, M. Larijani aurait répondu: "Ce n'est pas totalement à écarter". "Notre activité nucléaire se poursuit dans le cadre tracé, à l'abri de la propagande politique des médias", a dit encore le porte-parole iranien. L'Occident soupçonne l'Iran de chercher à fabriquer l'arme atomique en utilisant son programme d'enrichissement d'uranium mais Téhéran soutient que son programme est purement civil. L'absence de transparence des autorités iraniennes et la reprise de leurs activités d'enrichissement d'uranium en janvier 2006 ont poussé l'AIEA à déférer le dossier devant le Conseil de sécurité de l'Onu. Le Conseil a adopté depuis trois résolutions, dont les deux dernières imposent des sanctions, pour obtenir de Téhéran qu'il suspende son enrichissement d'uranium.