Zerhouni a invité les citoyens qui n'ont pas voté le 17 mai et qui n'ont pas changé leur lieu de résidence à présenter les raisons et les arguments de leur abstention. Zerhouni a invité les citoyens qui n'ont pas voté le 17 mai et qui n'ont pas changé leur lieu de résidence à présenter les raisons et les arguments de leur abstention. Tout porte à croire que le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales est en passe d'utiliser tous les moyens possibles en vue d'éviter le scénario des dernières législatives qui ont enregistré le taux le plus faible de participation dans l'histoire de l'Algérie indépendante (35,67%). Et pour cause, M. Noureddine Yazid Zerhouni vient de réitérer, une fois de plus, la volonté de son département à aller jusqu'au bout de cette logique à travers un procédé qui consiste à envoyer des courriers aux électeurs qui n'ont pas voté le 17 mai dernier pour sonder leur opinion et connaître les véritables motivations de leur abstention. Zerhouni qui avait dévoilé cette nouvelle stratégie lors d'une conférence de presse tenue la semaine passée en marge de la visite du président de la République à Oran, vient de confirmer qu'effectivement près de 4 millions d'électeurs ont été destinataires de courriers pour s'expliquer sur leur abstention, tout en exprimant son souhait de voir les citoyens se montrer "compréhensifs" et aider l'administration à éviter le scénario des dernières législatives. A ce titre, Zerhouni a invité les citoyens qui n'ont pas voté le 17 mai et qui n'ont pas changé leur lieu de résidence à présenter les raisons et les arguments de leur abstention, soulignant qu'en cas de non réponse, les concernés seront automatiquement rayés des listes électorales. Le ministère de l'Intérieur avait, rappelle-t-on, implicitement accusé les petits partis d'être derrière le faible taux de participation aux dernières législatives, estimant qu'ils avaient marchandé avec les listes électorales. Cette thèse a été, néanmoins, catégoriquement rejetée par ces partis qui considèrent la nouvelle procédure du ministère de l'Intérieur comme une "vaine tentative" de jeter le discrédit sur les petits partis, estimant que la responsabilité de l'échec doit être endossé, par les partis de l'Alliance présidentielle. Cette situation avait conduit à la révision de la loi électorale qui oblige désormais les petits partis et les indépendants désireux de se porter candidats aux élections, à réunir au moins 3% des signatures d'électeurs dans la circonscription électorale pour pouvoir participer au scrutin. A partir de là, il semble que les prochaines élections locales, prévues avant la fin de l'année en cours, s'annoncent d'ores et déjà comme un pari très difficile à relever pour les petits partis qui ne comptent pas se laisser faire en se disant "déterminés" à défendre, bec et ongles leur existence sur la scène politique. Tout porte à croire que le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales est en passe d'utiliser tous les moyens possibles en vue d'éviter le scénario des dernières législatives qui ont enregistré le taux le plus faible de participation dans l'histoire de l'Algérie indépendante (35,67%). Et pour cause, M. Noureddine Yazid Zerhouni vient de réitérer, une fois de plus, la volonté de son département à aller jusqu'au bout de cette logique à travers un procédé qui consiste à envoyer des courriers aux électeurs qui n'ont pas voté le 17 mai dernier pour sonder leur opinion et connaître les véritables motivations de leur abstention. Zerhouni qui avait dévoilé cette nouvelle stratégie lors d'une conférence de presse tenue la semaine passée en marge de la visite du président de la République à Oran, vient de confirmer qu'effectivement près de 4 millions d'électeurs ont été destinataires de courriers pour s'expliquer sur leur abstention, tout en exprimant son souhait de voir les citoyens se montrer "compréhensifs" et aider l'administration à éviter le scénario des dernières législatives. A ce titre, Zerhouni a invité les citoyens qui n'ont pas voté le 17 mai et qui n'ont pas changé leur lieu de résidence à présenter les raisons et les arguments de leur abstention, soulignant qu'en cas de non réponse, les concernés seront automatiquement rayés des listes électorales. Le ministère de l'Intérieur avait, rappelle-t-on, implicitement accusé les petits partis d'être derrière le faible taux de participation aux dernières législatives, estimant qu'ils avaient marchandé avec les listes électorales. Cette thèse a été, néanmoins, catégoriquement rejetée par ces partis qui considèrent la nouvelle procédure du ministère de l'Intérieur comme une "vaine tentative" de jeter le discrédit sur les petits partis, estimant que la responsabilité de l'échec doit être endossé, par les partis de l'Alliance présidentielle. Cette situation avait conduit à la révision de la loi électorale qui oblige désormais les petits partis et les indépendants désireux de se porter candidats aux élections, à réunir au moins 3% des signatures d'électeurs dans la circonscription électorale pour pouvoir participer au scrutin. A partir de là, il semble que les prochaines élections locales, prévues avant la fin de l'année en cours, s'annoncent d'ores et déjà comme un pari très difficile à relever pour les petits partis qui ne comptent pas se laisser faire en se disant "déterminés" à défendre, bec et ongles leur existence sur la scène politique.