Cette ligne de chemins de fer devant relier la ville de Thenia (distante de 50 km d'Alger) à la ville des Hauts-Plateaux de Bordj Bou Arréridj (localité située à 240 km de la capitale), sera longue de 175 km. Cette ligne de chemins de fer devant relier la ville de Thenia (distante de 50 km d'Alger) à la ville des Hauts-Plateaux de Bordj Bou Arréridj (localité située à 240 km de la capitale), sera longue de 175 km. C'est au début de l'année 2008 qu'un groupement d'entreprises sino-turc commencera les travaux de réalisation d'une ligne ferroviaire électrifiée (à l'est d'Alger) à double voie nécessitant un montant de 1,7 milliard d'euros. Cette ligne de chemins de fer devant relier la ville de Thenia (distante de 50 km d'Alger) à la ville des Hauts-Plateaux de Bordj Bou Arréridj (localité située à 240 km de la capitale), sera longue de 175 km. En fait, cette annonce faite par l'entreprise algérienne des infrastructures ferroviaires (ANESRIF) précise que le groupement sino-turc était le seul candidat à la réalisation de cette ligne électrifiée dont le contrat définitif sera signé et paraphé avant la fin de l'année en cours. La firme publique chinoise China Civil Engineering Construction Corporation (CCECC) spécialisée dans le génie civil et la pose de voies ferrées est le maître d'ouvrage. Elle travaillera en étroite collaboration avec l'entreprise turque Ozgun qui a déjà réalisé de nombreux tunnels et autres ouvrages ferroviaires en Algérie. Rappelons que l'Etat s'est engagé à concrétiser un projet ambitieux de rénovation des chemins de fer en dégageant une enveloppe financière de l'ordre de 8 milliards de dollars pour l'électrification de l'ensemble du réseau ferroviaire national aujourd'hui vétuste et dont les équipements sont obsolètes. Alors qu'actuellement nos trains circulent à 90 ou 100 km/h seulement en raison de la nature des locomotives roulant encore au fuel, cette nouvelle ligne Thenia-Bordj Bou-Arréridj comportera de nombreux tunnels et viaducs devant permettre aux trains d'atteindre une vitesse égale ou supérieure à 160 km/h. De nombreux usagers des chemins de fer souhaitent que l'électrification des lignes Alger-Constantine et Alger-Oran soit intervenue le plus rapidement possible, car ils sont avides de confort. Présentement, un trajet ferroviaire de 500 km nécessite pas moins de 10 heures de temps, tandis qu'avec des voies ferrées électrifiées, cette distance sera couverte en moins de 5 heures. Par exemple au Maroc, les chemins de fer ont été électrifiés et modernisés depuis les années 1990, d'où l'engouement des touristes étrangers, notamment nombreux à emprunter ce moyen de transport rapide, convivial et confortable. La banlieue algéroise sera également dotée d'une voie électrifiée dans les prochains mois, puisque le groupement sino-turc est chargé de mener à bien la réalisation des travaux du dédoublement de la voie El-Affroun-Khemis Miliana, longue de 55 km et se trouvant sur la ligne Alger-Oran. La somme financière allouée à cette voie est de l'ordre de 400 millions d'euros dont le contrat sera officialisé entre le groupement mixte sino-turc et l'entreprise ANESRIF. Rappelons que le gouvernement a entamé le programme d'électrification et de développement du réseau ferroviaire depuis 2005 et les travaux de réalisation de toutes les infrastructures ferroviaires devront connaître un taux d'avancement appréciable dès le début de l'année 2009. C'est au début de l'année 2008 qu'un groupement d'entreprises sino-turc commencera les travaux de réalisation d'une ligne ferroviaire électrifiée (à l'est d'Alger) à double voie nécessitant un montant de 1,7 milliard d'euros. Cette ligne de chemins de fer devant relier la ville de Thenia (distante de 50 km d'Alger) à la ville des Hauts-Plateaux de Bordj Bou Arréridj (localité située à 240 km de la capitale), sera longue de 175 km. En fait, cette annonce faite par l'entreprise algérienne des infrastructures ferroviaires (ANESRIF) précise que le groupement sino-turc était le seul candidat à la réalisation de cette ligne électrifiée dont le contrat définitif sera signé et paraphé avant la fin de l'année en cours. La firme publique chinoise China Civil Engineering Construction Corporation (CCECC) spécialisée dans le génie civil et la pose de voies ferrées est le maître d'ouvrage. Elle travaillera en étroite collaboration avec l'entreprise turque Ozgun qui a déjà réalisé de nombreux tunnels et autres ouvrages ferroviaires en Algérie. Rappelons que l'Etat s'est engagé à concrétiser un projet ambitieux de rénovation des chemins de fer en dégageant une enveloppe financière de l'ordre de 8 milliards de dollars pour l'électrification de l'ensemble du réseau ferroviaire national aujourd'hui vétuste et dont les équipements sont obsolètes. Alors qu'actuellement nos trains circulent à 90 ou 100 km/h seulement en raison de la nature des locomotives roulant encore au fuel, cette nouvelle ligne Thenia-Bordj Bou-Arréridj comportera de nombreux tunnels et viaducs devant permettre aux trains d'atteindre une vitesse égale ou supérieure à 160 km/h. De nombreux usagers des chemins de fer souhaitent que l'électrification des lignes Alger-Constantine et Alger-Oran soit intervenue le plus rapidement possible, car ils sont avides de confort. Présentement, un trajet ferroviaire de 500 km nécessite pas moins de 10 heures de temps, tandis qu'avec des voies ferrées électrifiées, cette distance sera couverte en moins de 5 heures. Par exemple au Maroc, les chemins de fer ont été électrifiés et modernisés depuis les années 1990, d'où l'engouement des touristes étrangers, notamment nombreux à emprunter ce moyen de transport rapide, convivial et confortable. La banlieue algéroise sera également dotée d'une voie électrifiée dans les prochains mois, puisque le groupement sino-turc est chargé de mener à bien la réalisation des travaux du dédoublement de la voie El-Affroun-Khemis Miliana, longue de 55 km et se trouvant sur la ligne Alger-Oran. La somme financière allouée à cette voie est de l'ordre de 400 millions d'euros dont le contrat sera officialisé entre le groupement mixte sino-turc et l'entreprise ANESRIF. Rappelons que le gouvernement a entamé le programme d'électrification et de développement du réseau ferroviaire depuis 2005 et les travaux de réalisation de toutes les infrastructures ferroviaires devront connaître un taux d'avancement appréciable dès le début de l'année 2009.