Vous avez certainement remarqué, si vous empruntez les transports privés pour vos déplacements quotidiens, l'apparition d'un phénomène qui commence à prendre de l'ampleur progressivement. Un comportement face auquel nous sommes confrontés continuellement et dont l'auteur n'est autre que le receveur du bus censé, bien entendu, encaisser l'argent des usagers. Il s'agit du vol d'argent. Vous avez certainement remarqué, si vous empruntez les transports privés pour vos déplacements quotidiens, l'apparition d'un phénomène qui commence à prendre de l'ampleur progressivement. Un comportement face auquel nous sommes confrontés continuellement et dont l'auteur n'est autre que le receveur du bus censé, bien entendu, encaisser l'argent des usagers. Il s'agit du vol d'argent. Nous vivons, à nos dépens, cette situation chaque jour que Dieu fait et même si cela ne nous est pas encore arrivé personnellement, nous avons, au moins une fois, été témoin d'un incident où il y avait question de vol d'argent. Eh oui, nous ne pouvons pratiquement plus faire la différence entre un receveur et un voleur tant cette personne adopte parfois un comportement douteux et malséant dans le seul but de délester les voyageurs de leur argent. Ce fait, aussi bizarre que pernicieux, vient s'incruster dans le comportement de certains receveurs de bus, privés particulièrement. Ces receveurs, qui travaillent pour le compte de particuliers, usent actuellement de tous les moyens pour délester les voyageurs de leur argent. Radia, une femme âgée de 36 ans qui emprunte quotidiennement le bus allant de Ben Omar vers Chevalley, attendait nerveusement que le receveur lui rende la monnaie du billet de 500 DA. Ce dernier, une fois arrivé à l'agence routière sise à Chevalley, refusa de lui remettre son argent et traita la pauvre victime de menteuse. La cliente était dans une situation tellement embarrassante qu'elle décida de se sauver en cédant son droit pour éviter les injures du receveur. Cette situation, devenue coutumière pour certains, meuble le quotidien des usagers de transports privés qui se sont habitués à ce genre d'agissements préjudiciables. «Que pouvez-vous faire face à ces racketteurs qui vous volent votre argent en usant de tous les moyens. Tantôt, ils prétendent que c'est un simple oubli, parfois même ils vont jusqu'à refuser à l'usager sa monnaie tout en l'accusant de malhonnête. Ce comportement devient vraiment inquiétant et il importe de mettre un terme à tout cela», réplique M. Ahmed ,un usager. La phrase classique fréquemment prononcée par ces receveurs lorsqu'on leur présente un billet de 200, 500 ou 1.000 DA est : «Après, je vous rends votre monnaie ». Mais, alors que le voyageur attend calmement son dû, il se trouve confronté à une situation incommodante face à un receveur qui, toute honte bue, affirme oublier qu'il devait lui rendre la monnaie. Pis, encore, il survient parfois qu'il l'accuse de menteur. Ces pratiques sont légion au niveau des stations de bus de Kouba, 1er-Mai, Bachdjarah et la place des Martyrs où les voyageurs font constamment face à ce type de procédés abjects provenant de certains receveurs voulant, semble-t-il, s'enrichir plus rapidement par ce moyen. Heureusement que ce ne sont pas tous les receveurs qui se comportent ainsi puisque certains refusent même d'encaisser l'argent de l'usager jusqu'à en posséder la monnaie et d'autres marquent par un signe le ticket du voyageur afin de lui remettre ce qui lui revient de droit. Nous vivons, à nos dépens, cette situation chaque jour que Dieu fait et même si cela ne nous est pas encore arrivé personnellement, nous avons, au moins une fois, été témoin d'un incident où il y avait question de vol d'argent. Eh oui, nous ne pouvons pratiquement plus faire la différence entre un receveur et un voleur tant cette personne adopte parfois un comportement douteux et malséant dans le seul but de délester les voyageurs de leur argent. Ce fait, aussi bizarre que pernicieux, vient s'incruster dans le comportement de certains receveurs de bus, privés particulièrement. Ces receveurs, qui travaillent pour le compte de particuliers, usent actuellement de tous les moyens pour délester les voyageurs de leur argent. Radia, une femme âgée de 36 ans qui emprunte quotidiennement le bus allant de Ben Omar vers Chevalley, attendait nerveusement que le receveur lui rende la monnaie du billet de 500 DA. Ce dernier, une fois arrivé à l'agence routière sise à Chevalley, refusa de lui remettre son argent et traita la pauvre victime de menteuse. La cliente était dans une situation tellement embarrassante qu'elle décida de se sauver en cédant son droit pour éviter les injures du receveur. Cette situation, devenue coutumière pour certains, meuble le quotidien des usagers de transports privés qui se sont habitués à ce genre d'agissements préjudiciables. «Que pouvez-vous faire face à ces racketteurs qui vous volent votre argent en usant de tous les moyens. Tantôt, ils prétendent que c'est un simple oubli, parfois même ils vont jusqu'à refuser à l'usager sa monnaie tout en l'accusant de malhonnête. Ce comportement devient vraiment inquiétant et il importe de mettre un terme à tout cela», réplique M. Ahmed ,un usager. La phrase classique fréquemment prononcée par ces receveurs lorsqu'on leur présente un billet de 200, 500 ou 1.000 DA est : «Après, je vous rends votre monnaie ». Mais, alors que le voyageur attend calmement son dû, il se trouve confronté à une situation incommodante face à un receveur qui, toute honte bue, affirme oublier qu'il devait lui rendre la monnaie. Pis, encore, il survient parfois qu'il l'accuse de menteur. Ces pratiques sont légion au niveau des stations de bus de Kouba, 1er-Mai, Bachdjarah et la place des Martyrs où les voyageurs font constamment face à ce type de procédés abjects provenant de certains receveurs voulant, semble-t-il, s'enrichir plus rapidement par ce moyen. Heureusement que ce ne sont pas tous les receveurs qui se comportent ainsi puisque certains refusent même d'encaisser l'argent de l'usager jusqu'à en posséder la monnaie et d'autres marquent par un signe le ticket du voyageur afin de lui remettre ce qui lui revient de droit.