Comme il fallait s'y attendre, la sortie médiatique consacrée à la situation socioécomique faite mardi dernier par le Chef du gouvernement, a suscité des réactions chez certaines formations politiques. Comme il fallait s'y attendre, la sortie médiatique consacrée à la situation socioécomique faite mardi dernier par le Chef du gouvernement, a suscité des réactions chez certaines formations politiques. Ainsi, Moussa Touati, président du Front national algérien, décèle dans les propos du Chef du gouvernement «un manque de responsabilité» du gouvernement. Un gouvernement, dit-il «qui ne peut pas imposer au secteur privé les salaires de son personnel et qui déclare que s'ils veulent (les travailleurs) leurs droits, ils n'ont qu'à rejoindre le secteur étatique, je crois qu'il y a un problème». Le premier responsable du FNA pense que le Chef du gouvernement «oublie qu'il n'y a plus de secteur étatique après avoir accordé d'énormes crédits à des individus pour créer leurs entreprises sans un cahier des charges qui protège les travailleurs. Je crois, poursuit Moussa Touati, que ce gouvernement a fait preuve de sa faiblesse devant ce secteur privé". Concernant la hausse des prix des produits de première nécessité, le président critique «le manque de prévision du gouvernement» en soulignant que «l'Etat doit aller vers la production agricole pour assurer la sécurité alimentaire». Partant de ce constat, il affirme que «c'est un Etat qui ne fonctionne pas bien» en déclarant que "le programme du gouvernement est un programme qui agit contre le développement et contre la sécurité des citoyens». Pour Moussa Touati, «ce système est un système qui ne peut aller de l'avant» en ce sens dit-il que «nous resterons toujours dépendants des autres Etats » en soulignant qu' «on devient des bêtes ou des animaux». C'est grave, conclut-il. Au sein du Rassemblement national démocratique, les dirigeants préfèrent réserver la primeur des réactions à leur secrétaire général Ahmed Ouyahia qui doit intervenir samedi lors de la journée parlementaire qu'organise le parti en son siège. Cependant, nous indique Seddik Chihab, député RND et proche du secrétaire général «nous sommes préoccupés par la situation qui se dégrade de jour en jour». Au FLN, on affiche sa satisfaction. «Je pense que l'intervention du Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem a mis fin à toutes les rumeurs qui ont circulé dernièrement sur la scène nationale» nous a déclaré, Saïd Bouhadja, le chargé de la communication au sein de cette formation politique. Le responsable du vieux parti souligne que «cette intervention a rendu espoir aux citoyens, particulièrement sur les prix des produits de première nécessité», en soutenant que la sortie médiatique du chef de l'Exécutif «va nous permettre d'aller vers une nouvelle étape dès la prochaine rentrée sociale». Pour le MSP, le PT, le RCD et le FFS, il nous a été, malheureusement, impossible de joindre leurs principaux responsables ou leurs chargés de communication. Ils étaient soit injoignables sur leurs portables ou en congé. Ainsi, Moussa Touati, président du Front national algérien, décèle dans les propos du Chef du gouvernement «un manque de responsabilité» du gouvernement. Un gouvernement, dit-il «qui ne peut pas imposer au secteur privé les salaires de son personnel et qui déclare que s'ils veulent (les travailleurs) leurs droits, ils n'ont qu'à rejoindre le secteur étatique, je crois qu'il y a un problème». Le premier responsable du FNA pense que le Chef du gouvernement «oublie qu'il n'y a plus de secteur étatique après avoir accordé d'énormes crédits à des individus pour créer leurs entreprises sans un cahier des charges qui protège les travailleurs. Je crois, poursuit Moussa Touati, que ce gouvernement a fait preuve de sa faiblesse devant ce secteur privé". Concernant la hausse des prix des produits de première nécessité, le président critique «le manque de prévision du gouvernement» en soulignant que «l'Etat doit aller vers la production agricole pour assurer la sécurité alimentaire». Partant de ce constat, il affirme que «c'est un Etat qui ne fonctionne pas bien» en déclarant que "le programme du gouvernement est un programme qui agit contre le développement et contre la sécurité des citoyens». Pour Moussa Touati, «ce système est un système qui ne peut aller de l'avant» en ce sens dit-il que «nous resterons toujours dépendants des autres Etats » en soulignant qu' «on devient des bêtes ou des animaux». C'est grave, conclut-il. Au sein du Rassemblement national démocratique, les dirigeants préfèrent réserver la primeur des réactions à leur secrétaire général Ahmed Ouyahia qui doit intervenir samedi lors de la journée parlementaire qu'organise le parti en son siège. Cependant, nous indique Seddik Chihab, député RND et proche du secrétaire général «nous sommes préoccupés par la situation qui se dégrade de jour en jour». Au FLN, on affiche sa satisfaction. «Je pense que l'intervention du Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem a mis fin à toutes les rumeurs qui ont circulé dernièrement sur la scène nationale» nous a déclaré, Saïd Bouhadja, le chargé de la communication au sein de cette formation politique. Le responsable du vieux parti souligne que «cette intervention a rendu espoir aux citoyens, particulièrement sur les prix des produits de première nécessité», en soutenant que la sortie médiatique du chef de l'Exécutif «va nous permettre d'aller vers une nouvelle étape dès la prochaine rentrée sociale». Pour le MSP, le PT, le RCD et le FFS, il nous a été, malheureusement, impossible de joindre leurs principaux responsables ou leurs chargés de communication. Ils étaient soit injoignables sur leurs portables ou en congé.