L'accord portant exploitation du gaz naturel à Gassi Touil conclu entre Sonatrach et le consortium espagnol Repsol-Gas natural n'aura duré que trois ans. L'accord portant exploitation du gaz naturel à Gassi Touil conclu entre Sonatrach et le consortium espagnol Repsol-Gas natural n'aura duré que trois ans. La compagnie nationale Sonatrach a annoncé hier la rupture dudit contrat et exigé du partenaire espagnol réparation. Dans un communiqué de presse, Sonatrach, qui s'en remet à l'arbitrage international, exige un dédommagement substantiel des pertes subies. Signé en 2004, le contrat gazier conclu avec Repsol et Gas Natural portant sur un projet intégré de développement du gisement de Gassi Touil, a été tout simplement résilié sur décision de la partie algérienne, qui a estimé avoir été flouée sur l'engagement du partenaire espagnol. Sonatrach regrette surtout «profondément la tonalité politique gratuite d'un récent communiqué de Repsol et Gas Natural et une tentative d'attribuer de manière injustifiée la décision de résilier le contrat à l'Etat algérien». La résiliation du contrat s'est faite toutefois après que Sonatrach eut averti deux jours avant l'Autorité boursière espagnole, la CNMV. La société d'exploitation gazière, première du genre, a été réalisée sur un investissement mixte d'une valeur de 5,2 milliards d'euros devant être répartis sur 40 ans. Une tranche de 450 millions d'euros a déjà été dépensée. A la signature du contrat, Sonatrach détenait une part de 20%, alors que ses deux partenaires avaient respectivement 48% pour Repsol-YPF et 32% pour Gas Natural. Le contrat en question porte également sur la création d'une usine de capacité nominale de 4 millions de tonnes par an de gaz liquéfié et dont l'entrée en production était prévue pour novembre 2009. Le projet comprend, en outre, le forage de 52 puits de développement, la reprise des 16 puits existants, la construction d'installations de surface pour le traitement de 22 millions mètres cubes par jour de gaz brut ainsi que la construction de capacité de transport de 6,5 milliards de mètres cubes par an de gaz naturel. La compagnie nationale Sonatrach a annoncé hier la rupture dudit contrat et exigé du partenaire espagnol réparation. Dans un communiqué de presse, Sonatrach, qui s'en remet à l'arbitrage international, exige un dédommagement substantiel des pertes subies. Signé en 2004, le contrat gazier conclu avec Repsol et Gas Natural portant sur un projet intégré de développement du gisement de Gassi Touil, a été tout simplement résilié sur décision de la partie algérienne, qui a estimé avoir été flouée sur l'engagement du partenaire espagnol. Sonatrach regrette surtout «profondément la tonalité politique gratuite d'un récent communiqué de Repsol et Gas Natural et une tentative d'attribuer de manière injustifiée la décision de résilier le contrat à l'Etat algérien». La résiliation du contrat s'est faite toutefois après que Sonatrach eut averti deux jours avant l'Autorité boursière espagnole, la CNMV. La société d'exploitation gazière, première du genre, a été réalisée sur un investissement mixte d'une valeur de 5,2 milliards d'euros devant être répartis sur 40 ans. Une tranche de 450 millions d'euros a déjà été dépensée. A la signature du contrat, Sonatrach détenait une part de 20%, alors que ses deux partenaires avaient respectivement 48% pour Repsol-YPF et 32% pour Gas Natural. Le contrat en question porte également sur la création d'une usine de capacité nominale de 4 millions de tonnes par an de gaz liquéfié et dont l'entrée en production était prévue pour novembre 2009. Le projet comprend, en outre, le forage de 52 puits de développement, la reprise des 16 puits existants, la construction d'installations de surface pour le traitement de 22 millions mètres cubes par jour de gaz brut ainsi que la construction de capacité de transport de 6,5 milliards de mètres cubes par an de gaz naturel.