Actuellement leader africain, devançant l'Egypte et l'Afrique du Sud, MFG compte à moyen terme, se placer parmi les dix premiers producteurs de verre plat. Actuellement leader africain, devançant l'Egypte et l'Afrique du Sud, MFG compte à moyen terme, se placer parmi les dix premiers producteurs de verre plat. C'est avec «une extrême fierté» que le P-DG du groupe Cévital, Issad Rebrab, a procédé, hier au complexe industriel de Larbaâ à la cérémonie d'entrée en production de l'usine de verre plat Mediterranean Float Glass (MFG), nouvelle filiale du groupe Cévital. Ladite usine produira quelque 180.000 tonnes/an, soit 600 tonnes/jour à travers une seule ligne de production. «Les produits MFG font appel à une technologie de pointe grâce à un partenariat avec les leaders mondiaux dans le domaine du float», nous indique-t-on. Actuellement leader africain, devançant l'Egypte et l'Afrique du Sud, MFG compte à moyen terme, se placer parmi les dix premiers producteurs de verre plat. L'usine MFG génère 375 emplois directs et 1.500 emplois indirects à travers la transformation et la distribution. Quant au financement, il a été estimé à 100 millions de dollars soit 7,2 milliards de dinars, dont 75% sur fonds propres et 25% par le biais d'un financement bancaire. Aussi, l'usine de fabrication de verre plat donne naissance à des filières et des unités de développement en Algérie et au Maghreb. En effet, MFG ne compte pas se limiter au marché national puisqu'il envisage de partir à la conquête des marchés voisins en l'occurrence maghrébin et européen. De plus, la stratégie du groupe Cévital prévoit d'exporter une large part de sa production dans le cadre du Nepad et de la coopération interafricaine. A ce propos, M. Rebrab compte «faire passer l'Algérie, par l'entremise de MFG, de sa position d'importatrice à un pays exportateur de verre à part entière», affirme-t-il. Et d'ajouter dans la foulée que les produits MFG seront destinés à «dynamiser plusieurs secteurs de notre économie, à savoir le bâtiment en forte croissance, le secteur industriel, l'électroménager, l'ameublement, la miroiterie ou encore le secteur agricole et l'automobile», soutient M. Rebrab. Par ailleurs, il convient de rappeler que le même site, à savoir le complexe industriel de Larbaâ, abrite en son sein plusieurs unités de production comme la filiale Cévico déjà en activité spécialisée dans la pièce préfabriquées en béton. En outre, le même complexe abrite également une usine de montage de semi-remorques et de véhicules industriels (Assembled Cars and Trucks). Pour rappel, le patron du groupe Cévital insiste sur l'envergure du groupe qui fait de lui un partenaire de référence dans le champ économique en rappelant les grands projets entrepris jusque-là à travers les filiales, à savoir l'agroalimentaire (Cévital), la concession automobile (Hyundai), le transport maritime, l'immobilier et la construction ou encore la grande distribution à travers une chaîne d'hypermarchés sous le label «Numidis». Sans oublier le mégaprojet dévoilé récemment, «Cap 2015» un port à Cap Djinet (Est d'Alger) accompagné d'un complexe sidérurgique et pétrochimique ainsi que la production aluminium et la construction navale et automobile. S'agissant du financement inhérent à ces projets, M. Rebrab affirme n'avoir «aucun problème de ce côté-là». C'est avec «une extrême fierté» que le P-DG du groupe Cévital, Issad Rebrab, a procédé, hier au complexe industriel de Larbaâ à la cérémonie d'entrée en production de l'usine de verre plat Mediterranean Float Glass (MFG), nouvelle filiale du groupe Cévital. Ladite usine produira quelque 180.000 tonnes/an, soit 600 tonnes/jour à travers une seule ligne de production. «Les produits MFG font appel à une technologie de pointe grâce à un partenariat avec les leaders mondiaux dans le domaine du float», nous indique-t-on. Actuellement leader africain, devançant l'Egypte et l'Afrique du Sud, MFG compte à moyen terme, se placer parmi les dix premiers producteurs de verre plat. L'usine MFG génère 375 emplois directs et 1.500 emplois indirects à travers la transformation et la distribution. Quant au financement, il a été estimé à 100 millions de dollars soit 7,2 milliards de dinars, dont 75% sur fonds propres et 25% par le biais d'un financement bancaire. Aussi, l'usine de fabrication de verre plat donne naissance à des filières et des unités de développement en Algérie et au Maghreb. En effet, MFG ne compte pas se limiter au marché national puisqu'il envisage de partir à la conquête des marchés voisins en l'occurrence maghrébin et européen. De plus, la stratégie du groupe Cévital prévoit d'exporter une large part de sa production dans le cadre du Nepad et de la coopération interafricaine. A ce propos, M. Rebrab compte «faire passer l'Algérie, par l'entremise de MFG, de sa position d'importatrice à un pays exportateur de verre à part entière», affirme-t-il. Et d'ajouter dans la foulée que les produits MFG seront destinés à «dynamiser plusieurs secteurs de notre économie, à savoir le bâtiment en forte croissance, le secteur industriel, l'électroménager, l'ameublement, la miroiterie ou encore le secteur agricole et l'automobile», soutient M. Rebrab. Par ailleurs, il convient de rappeler que le même site, à savoir le complexe industriel de Larbaâ, abrite en son sein plusieurs unités de production comme la filiale Cévico déjà en activité spécialisée dans la pièce préfabriquées en béton. En outre, le même complexe abrite également une usine de montage de semi-remorques et de véhicules industriels (Assembled Cars and Trucks). Pour rappel, le patron du groupe Cévital insiste sur l'envergure du groupe qui fait de lui un partenaire de référence dans le champ économique en rappelant les grands projets entrepris jusque-là à travers les filiales, à savoir l'agroalimentaire (Cévital), la concession automobile (Hyundai), le transport maritime, l'immobilier et la construction ou encore la grande distribution à travers une chaîne d'hypermarchés sous le label «Numidis». Sans oublier le mégaprojet dévoilé récemment, «Cap 2015» un port à Cap Djinet (Est d'Alger) accompagné d'un complexe sidérurgique et pétrochimique ainsi que la production aluminium et la construction navale et automobile. S'agissant du financement inhérent à ces projets, M. Rebrab affirme n'avoir «aucun problème de ce côté-là».