La fabrication de pain traditionnel, longtemps considérée comme une activité domestique réservée exclusivement aux femmes, attire de plus en plus de jeunes Médéens, partagés entre le gain et le souci de préserver un métier ancestral en déperdition. La multiplication des petits ateliers de fabrication de pain traditionnel a été induite, d'après d'anciens artisans boulangers, par l'apparition d'une nouvelle tendance de consommation, notamment chez les familles sédentarisées, et l'émergence de nouvelles habitudes culinaires, surtout dans le domaine de la restauration rapide où le nombre de consommateurs est en perpétuelle croissance. De nombreux artisans boulangers installés au centre ville expliquent cet engouement pour ce nouveau créneau et ce, au regard de la forte demande exprimée par les consommateurs locaux, notamment durant les périodes de l'été et de Ramadhan qui, le plus souvent, sont contraints d'effectuer, dira-t-il, des déplacements vers les villes de Blida ou d'Alger pour s'approvisionner de ce produit, non sans évoquer l'aspect plus au moins lucratif de cette activité commerciale. Cette activité, qui ne nécessite pas de grands investissements, peut se poser, pendant des périodes de l'année, en sérieux concurrent pour les fabricants de la baguette industrielle, notamment après l'introduction de nouvelles variétés de pain traditionnel, déclinées sous différentes préparations et saveurs. Pour d'autres commerçants reconvertis récemment dans ce créneau, la rude concurrence que se livrent, chaque mois de Ramadhan, les fabricants de pâtisserie orientale, la baisse constatées dans les autres activités commerciales ainsi que la saturation de certains créneaux, très sollicités durant le mois de Ramadhan, sont autant de facteurs qui ont permis de voir réapparaître ce métier millénaire et l'émergence au cœur des grandes agglomérations urbaines de ce type d'atelier. La fabrication de pain traditionnel, longtemps considérée comme une activité domestique réservée exclusivement aux femmes, attire de plus en plus de jeunes Médéens, partagés entre le gain et le souci de préserver un métier ancestral en déperdition. La multiplication des petits ateliers de fabrication de pain traditionnel a été induite, d'après d'anciens artisans boulangers, par l'apparition d'une nouvelle tendance de consommation, notamment chez les familles sédentarisées, et l'émergence de nouvelles habitudes culinaires, surtout dans le domaine de la restauration rapide où le nombre de consommateurs est en perpétuelle croissance. De nombreux artisans boulangers installés au centre ville expliquent cet engouement pour ce nouveau créneau et ce, au regard de la forte demande exprimée par les consommateurs locaux, notamment durant les périodes de l'été et de Ramadhan qui, le plus souvent, sont contraints d'effectuer, dira-t-il, des déplacements vers les villes de Blida ou d'Alger pour s'approvisionner de ce produit, non sans évoquer l'aspect plus au moins lucratif de cette activité commerciale. Cette activité, qui ne nécessite pas de grands investissements, peut se poser, pendant des périodes de l'année, en sérieux concurrent pour les fabricants de la baguette industrielle, notamment après l'introduction de nouvelles variétés de pain traditionnel, déclinées sous différentes préparations et saveurs. Pour d'autres commerçants reconvertis récemment dans ce créneau, la rude concurrence que se livrent, chaque mois de Ramadhan, les fabricants de pâtisserie orientale, la baisse constatées dans les autres activités commerciales ainsi que la saturation de certains créneaux, très sollicités durant le mois de Ramadhan, sont autant de facteurs qui ont permis de voir réapparaître ce métier millénaire et l'émergence au cœur des grandes agglomérations urbaines de ce type d'atelier.