Pour son sixième déplacement dans la région, la secrétaire d'Etat américain, Condoleezza Rice, a affirmé que la prochaine réunion internationale sur la paix sera l'occasion de «faire avancer les choses.» Pour son sixième déplacement dans la région, la secrétaire d'Etat américain, Condoleezza Rice, a affirmé que la prochaine réunion internationale sur la paix sera l'occasion de «faire avancer les choses.» Mahmoud Abbas approfondira les entretiens qu'il vient d'avoir avec la secrétaire d'Etat Condolezza Rice à Al Qods, dans le cadre de la visite de cette dernière dans la région pour préparer les modalités de tenue de la réunion internationale sur la paix au Proche Orient à l'automne prochain, en rencontrant en marge de l'assemblée générale de l'ONU le président américain George Bush. Pour son sixième déplacement dans la région, la secrétaire d'Etat américain, Condoleezza Rice, n'a pas mâché ses mots pour affirmer devant l'un et l'autre de ses interlocuteurs palestinien et israélien, que les USA veulent absolument que la prochaine réunion internationale sur la paix au Proche Orient, proposée par George Bush en août dernier, soit réellement l'occasion de «faire avancer les choses.» Elle a notamment précisé qu' «il faut parvenir à élaborer un document qui fasse avancer la cause d'un Etat palestinien à créer, qui jette les bases de sérieuses négociations entre les deux parties.» Mme Rice s'est également déclaré «très satisfaite de mes entretiens car il est clair que les deux dirigeants sont sérieux dans leurs engagements. Je pense que l'annonce d'une réunion internationale à l'automne a galvanisé les uns et les autres et leur a donné l'envie d'aller de l'avant.» L'on sait toutefois qu'aucun objectif clair n'a pour l'heure été annoncé dans le cadre de cette réunion. Les Palestiniens pour leur part attendent un engagement sans équivoque avec un calendrier de négociations bien précis à l'appui pour la création de l'Etat national palestinien en Cisjordanie et dans la bande de Ghaza. Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a ainsi pu déclarer : «Le temps est venu de créer un Etat palestinien indépendant avec El Qods pour capitale.» Toujours pour le président palestinien, cette réunion devrait donner le coup d'envoi à de sérieuses négociations aboutissant de fait sur la fin de l'occupation israélienne. Et tous les efforts sont à axer dans le sens d'un accord-cadre avec Israël sur la question du statut final, d'El Qods, des réfugiés, de la colonisation et bien entendu de la création de l'Etat palestinien. Il a également été annoncé que le président Mahmoud Abbas, en marge des travaux de l'Assemblée générale de l'ONU, aura des entretiens avec le président américain George Bush. Les discussions tourneront autour de la question des possibilités qui s'offrent pour une aide conséquente des Palestiniens aux fins de parvenir à terme à une solution de nature à imposer le principe et les modalités pour la création d'un Etat palestinien susceptible de vivre en paix aux côtés de celui israélien. Pourtant, sur le terrain, les choses ne vont pas pour le mieux puisque l'on sait que dans la journée de jeudi, l'armée israélienne avait déclaré la bande de Ghaza, sous contrôle du mouvement Hamas depuis juillet passé, «zone hostile». Toutes les voies de communications ont été coupées. A cet effet, l'on s'attend à ce que la situation humanitaire, déjà très difficile, aille en empirant pour les quelque 1,5 million qui y vivent. Côté violence, les choses ne vont pas mieux, puisque pas un seul jour ne passe sans que l'on annonce la mort d'un ou plusieurs Palestiniens résidant dans la bande de Ghaza. Mahmoud Abbas approfondira les entretiens qu'il vient d'avoir avec la secrétaire d'Etat Condolezza Rice à Al Qods, dans le cadre de la visite de cette dernière dans la région pour préparer les modalités de tenue de la réunion internationale sur la paix au Proche Orient à l'automne prochain, en rencontrant en marge de l'assemblée générale de l'ONU le président américain George Bush. Pour son sixième déplacement dans la région, la secrétaire d'Etat américain, Condoleezza Rice, n'a pas mâché ses mots pour affirmer devant l'un et l'autre de ses interlocuteurs palestinien et israélien, que les USA veulent absolument que la prochaine réunion internationale sur la paix au Proche Orient, proposée par George Bush en août dernier, soit réellement l'occasion de «faire avancer les choses.» Elle a notamment précisé qu' «il faut parvenir à élaborer un document qui fasse avancer la cause d'un Etat palestinien à créer, qui jette les bases de sérieuses négociations entre les deux parties.» Mme Rice s'est également déclaré «très satisfaite de mes entretiens car il est clair que les deux dirigeants sont sérieux dans leurs engagements. Je pense que l'annonce d'une réunion internationale à l'automne a galvanisé les uns et les autres et leur a donné l'envie d'aller de l'avant.» L'on sait toutefois qu'aucun objectif clair n'a pour l'heure été annoncé dans le cadre de cette réunion. Les Palestiniens pour leur part attendent un engagement sans équivoque avec un calendrier de négociations bien précis à l'appui pour la création de l'Etat national palestinien en Cisjordanie et dans la bande de Ghaza. Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, a ainsi pu déclarer : «Le temps est venu de créer un Etat palestinien indépendant avec El Qods pour capitale.» Toujours pour le président palestinien, cette réunion devrait donner le coup d'envoi à de sérieuses négociations aboutissant de fait sur la fin de l'occupation israélienne. Et tous les efforts sont à axer dans le sens d'un accord-cadre avec Israël sur la question du statut final, d'El Qods, des réfugiés, de la colonisation et bien entendu de la création de l'Etat palestinien. Il a également été annoncé que le président Mahmoud Abbas, en marge des travaux de l'Assemblée générale de l'ONU, aura des entretiens avec le président américain George Bush. Les discussions tourneront autour de la question des possibilités qui s'offrent pour une aide conséquente des Palestiniens aux fins de parvenir à terme à une solution de nature à imposer le principe et les modalités pour la création d'un Etat palestinien susceptible de vivre en paix aux côtés de celui israélien. Pourtant, sur le terrain, les choses ne vont pas pour le mieux puisque l'on sait que dans la journée de jeudi, l'armée israélienne avait déclaré la bande de Ghaza, sous contrôle du mouvement Hamas depuis juillet passé, «zone hostile». Toutes les voies de communications ont été coupées. A cet effet, l'on s'attend à ce que la situation humanitaire, déjà très difficile, aille en empirant pour les quelque 1,5 million qui y vivent. Côté violence, les choses ne vont pas mieux, puisque pas un seul jour ne passe sans que l'on annonce la mort d'un ou plusieurs Palestiniens résidant dans la bande de Ghaza.