L'intersyndicale ainsi élargie à 10 syndicats autonomes ayant rejoint le front social a tenu une réunion hier au terme de laquelle il a été convenu une prochaine rencontre avec le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, samedi prochain. L'intersyndicale ainsi élargie à 10 syndicats autonomes ayant rejoint le front social a tenu une réunion hier au terme de laquelle il a été convenu une prochaine rencontre avec le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, samedi prochain. Bien que adoptée par le Conseil des ministre et validée par le président de la République, l'intersyndicale qui comprend le CNES, le SNAPEST, le Cla, le Satef, le Snapap, la FNTE (affiliée à l'UGTA), le SNV (syndicat national des vétérinaires, le syndicat des maîtres assistants, le syndicat des spécialistes de la santé se mobilisent pour faire entendre leurs voix en visant ni plus ni moins une éventuelle révision de la récente grille des salaires jugée «discriminatoire et inadaptée». Préférant rencontrer le Chef du gouvernement avant de décider en conséquence du plan d'action à mener, l'intersyndicale a jugé opportun de ne pas brûler les étapes à suivre quant à une imminente action de protestation. Le front syndical désormais renforcé compte mener dorénavant des actions communes, du moins concernant la révision de la grille des salaires, pour ainsi peser de tout son poids sur la scène syndicale et ne plus négocier en rangs dispersés. Pour rappel, le point de discorde que conteste les membres de l'intersyndicale concerne «les primes ISS et ICR diluées dans le salaire de base pour le gonfler, dans le même temps, le prix indiciaire est passé de 51 DA à 45 DA. La nouvelle grille nous fait perdre de fait 6 DA par indice. Pour nous, c'est une supercherie et un leurre» affirme M. Meriane, président du SNAPEST. Cependant, les membres de l'intersyndicale font montre d'optimisme alors que tout porte à croire que «la grille des salaires est arrivée à un point de non retour et reste indiscutable» comme ça a été précisé lors de la dernière rencontre syndicats autonomes de l'éducation avec le ministre de l'Education, M. Benbouzid. Néanmoins, ils espèrent «décrocher quelques indemnités pour réparer l'injustice» et retourner la situation en leur faveur en agitant la menace de paralyser le secteur public par des journées de grève ce qui n'est, par ailleurs, pas à écarter si le Chef du gouvernement n'apporte pas satisfaction à leurs doléances, selon M. Meriane. Bien que adoptée par le Conseil des ministre et validée par le président de la République, l'intersyndicale qui comprend le CNES, le SNAPEST, le Cla, le Satef, le Snapap, la FNTE (affiliée à l'UGTA), le SNV (syndicat national des vétérinaires, le syndicat des maîtres assistants, le syndicat des spécialistes de la santé se mobilisent pour faire entendre leurs voix en visant ni plus ni moins une éventuelle révision de la récente grille des salaires jugée «discriminatoire et inadaptée». Préférant rencontrer le Chef du gouvernement avant de décider en conséquence du plan d'action à mener, l'intersyndicale a jugé opportun de ne pas brûler les étapes à suivre quant à une imminente action de protestation. Le front syndical désormais renforcé compte mener dorénavant des actions communes, du moins concernant la révision de la grille des salaires, pour ainsi peser de tout son poids sur la scène syndicale et ne plus négocier en rangs dispersés. Pour rappel, le point de discorde que conteste les membres de l'intersyndicale concerne «les primes ISS et ICR diluées dans le salaire de base pour le gonfler, dans le même temps, le prix indiciaire est passé de 51 DA à 45 DA. La nouvelle grille nous fait perdre de fait 6 DA par indice. Pour nous, c'est une supercherie et un leurre» affirme M. Meriane, président du SNAPEST. Cependant, les membres de l'intersyndicale font montre d'optimisme alors que tout porte à croire que «la grille des salaires est arrivée à un point de non retour et reste indiscutable» comme ça a été précisé lors de la dernière rencontre syndicats autonomes de l'éducation avec le ministre de l'Education, M. Benbouzid. Néanmoins, ils espèrent «décrocher quelques indemnités pour réparer l'injustice» et retourner la situation en leur faveur en agitant la menace de paralyser le secteur public par des journées de grève ce qui n'est, par ailleurs, pas à écarter si le Chef du gouvernement n'apporte pas satisfaction à leurs doléances, selon M. Meriane.