Les militants et les cadres du plus vieux parti d'opposition sont certainement déconcertés et vivent mal le fait que leur parti fonctionne sans direction politique nationale. En effet, le FFS, plus d'un mois après la tenue des travaux du 4e congrès (les 6 et 7 septembre), n'a pas encore procédé à la désignation des membres du secrétariat national. Ce conclave, pour rappel, a réélu, sans surprise aucune, Hocine Aït Ahmed pour un nouveau mandat de quatre ans à la présidence du parti et a aussi élu les membres du conseil national. Le chef charismatique du FFS a par la suite nommé Karim Tabou au poste de premier secrétaire et ce dernier devait à son tour, après consultation et aval du chef, former le secrétariat national. Or, jusqu'à hier, il n'en fut rien et, à l'évidence cette situation inédite pour un parti politique de l 'envergure du FFS, n'a pas manqué de susciter moult interrogations tant au niveau des militants que chez les observateurs et analystes de la scène nationale. Ces interrogations sont d'autant plus justifiées sachant que le parti, à l'instar de l'ensemble des autres formations politiques du pays, s'apprête à prendre part aux élections locales du 29 novembre prochain. Un rendez-vous dont l'importance politique n'est plus à démontrer et sur lequel le parti mise beaucoup pour faire bonne figure et réaliser un bon score et, partant, consolider sa place sur l'échiquier national et se prémunir de l'épée de Damoclés suspendue désormais au-dessus des têtes des partis politiques depuis l'amendement de la loi organique portant régime électoral. En l'absence d'une direction nationale, il est certain que Karim Tabou, qui bénéficie de la confiance du chef charismatique du parti, à eu la haute main sur l'opération de confection des listes électorales. Ce qui a été mal perçu, selon quelques échos qui ont filtré des arcanes du parti, par nombre de cadres et militants. Un point qui risque, en tout cas, de rajouter au malaise interne que vit le parti depuis de nombreux mois. Un malaise quia atteint son point culminant avec l'éviction par les instances du parti de plusieurs membres du Conseil national qui se sont franchement et ouvertement opposés au secrétariat national dirigé à l'époque par Ali Laskri lequel a été remplacé par Karim tabou et ce quelques mois avant la tenue des 4es assises. Cette crise s'est approfondie lorsque les militants de 1963 se sont, à leur tour, cantonnés dans l'opposition du secrétariat national. De retour au pays où il a assisté au congrés Hocine Aït Ahmed, qui s'est d'ailleurs réuni avec les anciens militants, a eu fort à faire et a dû peser de tout son charisme pour calmer les esprits et ressouder les rangs du parti à la veille du congrés. Manifestement, le mal est plus profond et, pour d'aucuns, il mérite une thérapie de choc. C'est sans doute ce qui expliquerait que ni Hocine Ait Ahmed ni Karim tabou n'ont pu parvenir à avoir un large consensus autour des noms devant composer le secrétariat national du parti. Les militants et les cadres du plus vieux parti d'opposition sont certainement déconcertés et vivent mal le fait que leur parti fonctionne sans direction politique nationale. En effet, le FFS, plus d'un mois après la tenue des travaux du 4e congrès (les 6 et 7 septembre), n'a pas encore procédé à la désignation des membres du secrétariat national. Ce conclave, pour rappel, a réélu, sans surprise aucune, Hocine Aït Ahmed pour un nouveau mandat de quatre ans à la présidence du parti et a aussi élu les membres du conseil national. Le chef charismatique du FFS a par la suite nommé Karim Tabou au poste de premier secrétaire et ce dernier devait à son tour, après consultation et aval du chef, former le secrétariat national. Or, jusqu'à hier, il n'en fut rien et, à l'évidence cette situation inédite pour un parti politique de l 'envergure du FFS, n'a pas manqué de susciter moult interrogations tant au niveau des militants que chez les observateurs et analystes de la scène nationale. Ces interrogations sont d'autant plus justifiées sachant que le parti, à l'instar de l'ensemble des autres formations politiques du pays, s'apprête à prendre part aux élections locales du 29 novembre prochain. Un rendez-vous dont l'importance politique n'est plus à démontrer et sur lequel le parti mise beaucoup pour faire bonne figure et réaliser un bon score et, partant, consolider sa place sur l'échiquier national et se prémunir de l'épée de Damoclés suspendue désormais au-dessus des têtes des partis politiques depuis l'amendement de la loi organique portant régime électoral. En l'absence d'une direction nationale, il est certain que Karim Tabou, qui bénéficie de la confiance du chef charismatique du parti, à eu la haute main sur l'opération de confection des listes électorales. Ce qui a été mal perçu, selon quelques échos qui ont filtré des arcanes du parti, par nombre de cadres et militants. Un point qui risque, en tout cas, de rajouter au malaise interne que vit le parti depuis de nombreux mois. Un malaise quia atteint son point culminant avec l'éviction par les instances du parti de plusieurs membres du Conseil national qui se sont franchement et ouvertement opposés au secrétariat national dirigé à l'époque par Ali Laskri lequel a été remplacé par Karim tabou et ce quelques mois avant la tenue des 4es assises. Cette crise s'est approfondie lorsque les militants de 1963 se sont, à leur tour, cantonnés dans l'opposition du secrétariat national. De retour au pays où il a assisté au congrés Hocine Aït Ahmed, qui s'est d'ailleurs réuni avec les anciens militants, a eu fort à faire et a dû peser de tout son charisme pour calmer les esprits et ressouder les rangs du parti à la veille du congrés. Manifestement, le mal est plus profond et, pour d'aucuns, il mérite une thérapie de choc. C'est sans doute ce qui expliquerait que ni Hocine Ait Ahmed ni Karim tabou n'ont pu parvenir à avoir un large consensus autour des noms devant composer le secrétariat national du parti.