La finalisation des listes électorales n'a pas rencontré de problèmes majeurs au sein du Front national algérien qui sera présent dans 1.100 communes pour les APC et dans 46 wilayas pour les APW. C'est du moins ce que nous a affirmé, hier, le président du parti, Moussa Touati. Contacté, hier par téléphone, le premier responsable du FNA a soutenu que ces chiffres, en retrait par rapport aux prévisions, s'expliquent par «des erreurs que nous avons commises». Pour Moussa Touati, «il n'y a pas lieu d'incriminer l'administration, pour la première fois, les problèmes sont à chercher de notre côté». Le patron du FNA indique que sa formation politique n'a pu présenter de listes dans 347 communes du fait du «manque de dossiers des postulants». En ce qui concerne l'absence de listes du FNA dans les wilayas de Chlef et de Tizi-Ouzou pour les APW, Moussa Touati, révèle que pour la première wilaya, «les représentants du parti sont arrivés au siège de la wilaya cinq minutes après la fermeture des portes». Pour la wilaya de Chlef, indique-t-il, il s'agit «d'un manque de dossiers des candidats». L'administration, nous confie notre interlocuteur, «a été, pour la première fois, correcte est souple», lors du dépôt des listes de nos candidats. Il souligne dans ce cadre que «le respect de la date butoir est un respect de l'Etat» souhaitant que ce sentiment soit respecté par tous et traduit en toute équité par l'administration. Livrant son pronostic, le président du FNA s'attend à ce que son parti «récolte le contrôle de 300 communes et plus de 2000 élus au sein des assemblées locales». Si la première étape est franchie sans embûches, la suite du processus est appréhendée, à juste titre, par le leader du FNA. Il reste pour Moussa Touati une inconnue qui lui fait craindre de mauvaises surprises, à l'issue de l'étude des dossiers des candidats de son parti par l'administration. Il redoute le rejet de certains de ses candidats en raison de leurs antécédents. Il ne faut pas, dit-il que «l'aspect sécuritaire ou le délit d'opinion soient pris en compte», souhaitant que «les personnes qui ont bénéficié des mesures politiques ne soient pas éliminés de la course». En attendant la suite des évènements, le FNA se prépare à se lancer dans la campagne électorale avec un handicap certain face à ses adversaires. «Notre parti dispose de faibles moyens» avoue Moussa Touati qui souligne que «cet écueil sera compensé par la volonté de ses militants et sympathisants». Une forte volonté, dit-il «sera notre outil qui nous ramènera les moyens à même de permettre de mener à bien notre bataille et d'espérer des résultats à la mesure de nos espérances». La finalisation des listes électorales n'a pas rencontré de problèmes majeurs au sein du Front national algérien qui sera présent dans 1.100 communes pour les APC et dans 46 wilayas pour les APW. C'est du moins ce que nous a affirmé, hier, le président du parti, Moussa Touati. Contacté, hier par téléphone, le premier responsable du FNA a soutenu que ces chiffres, en retrait par rapport aux prévisions, s'expliquent par «des erreurs que nous avons commises». Pour Moussa Touati, «il n'y a pas lieu d'incriminer l'administration, pour la première fois, les problèmes sont à chercher de notre côté». Le patron du FNA indique que sa formation politique n'a pu présenter de listes dans 347 communes du fait du «manque de dossiers des postulants». En ce qui concerne l'absence de listes du FNA dans les wilayas de Chlef et de Tizi-Ouzou pour les APW, Moussa Touati, révèle que pour la première wilaya, «les représentants du parti sont arrivés au siège de la wilaya cinq minutes après la fermeture des portes». Pour la wilaya de Chlef, indique-t-il, il s'agit «d'un manque de dossiers des candidats». L'administration, nous confie notre interlocuteur, «a été, pour la première fois, correcte est souple», lors du dépôt des listes de nos candidats. Il souligne dans ce cadre que «le respect de la date butoir est un respect de l'Etat» souhaitant que ce sentiment soit respecté par tous et traduit en toute équité par l'administration. Livrant son pronostic, le président du FNA s'attend à ce que son parti «récolte le contrôle de 300 communes et plus de 2000 élus au sein des assemblées locales». Si la première étape est franchie sans embûches, la suite du processus est appréhendée, à juste titre, par le leader du FNA. Il reste pour Moussa Touati une inconnue qui lui fait craindre de mauvaises surprises, à l'issue de l'étude des dossiers des candidats de son parti par l'administration. Il redoute le rejet de certains de ses candidats en raison de leurs antécédents. Il ne faut pas, dit-il que «l'aspect sécuritaire ou le délit d'opinion soient pris en compte», souhaitant que «les personnes qui ont bénéficié des mesures politiques ne soient pas éliminés de la course». En attendant la suite des évènements, le FNA se prépare à se lancer dans la campagne électorale avec un handicap certain face à ses adversaires. «Notre parti dispose de faibles moyens» avoue Moussa Touati qui souligne que «cet écueil sera compensé par la volonté de ses militants et sympathisants». Une forte volonté, dit-il «sera notre outil qui nous ramènera les moyens à même de permettre de mener à bien notre bataille et d'espérer des résultats à la mesure de nos espérances».