La solidarité avec le peuple sahraoui sera, encore une fois, à l'ordre du jour à l'occasion de la tenue de la 33e conférence de la coordination européenne pour la solidarité avec le peuple du Sahara Occidental du 19 au 21 octobre à Rome. Le choix de la capitale italienne pour abriter cette manifestation a été motivé par le fait que le gouvernement italien dont le pays est, depuis janvier dernier, membre du Conseil de sécurité de l'ONU, a contribué, au cours de la dernière session de la 19e commission de l'Assemblée générale des Nations unies, à l'adoption d'une motion en faveur du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, également secrétaire général du Front Polisario, participera à cette conférence à la tête d'une importante délégation du gouvernement de la RASD, ainsi que des représentants des mouvements du peuple sahraoui dans les territoires occupés du Sahara Occidental. Des parlementaires et d'importantes personnalités représentant de nombreux pays prendront part également à cet événement. Cette conférence qui se déroulera dans un contexte international marqué par l'adoption, en avril 2007, de la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, et le début, en juin dernier, des négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario, devra accorder, selon les organisateurs de cette rencontre, beaucoup d'attention à la lutte pacifique et courageuse du peuple sahraoui dans les territoires occupés par le Maroc. Ceci d'autant que les violations marocaines des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental ont été dénoncées par de nombreux intervenants à la quatrième Commission de l'Assemblée générale de l'Onu, chargée de la décolonisation, qui s'est tenue récemment à New York. Les intervenants ont déploré la "négation persistante" par le Maroc du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et le "silence assourdissant et complaisant" des grands médias internationaux. Ils ont souligné que le Sahara Occidental n'a pas besoin de l'autonomie, mais de son indépendance, critiquant au passage le Maroc "qui bafoue les droits de la population sahraouie au nom de droits historiques autoproclamés». Pour sa part, le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, a estimé que le Maroc "rame à contre courant de la volonté exprimée par la communauté internationale", ajoutant que les propos tenus par le roi Mohamed VI dans son dernier discours, "sont de nature à entraver les efforts déployés par l'ONU, et visent, on ne peut plus clairement, à contrarier la mission du secrétaire général et de son envoyé personnel" dans la recherche d'une solution politique au conflit sahraoui. La solidarité avec le peuple sahraoui sera, encore une fois, à l'ordre du jour à l'occasion de la tenue de la 33e conférence de la coordination européenne pour la solidarité avec le peuple du Sahara Occidental du 19 au 21 octobre à Rome. Le choix de la capitale italienne pour abriter cette manifestation a été motivé par le fait que le gouvernement italien dont le pays est, depuis janvier dernier, membre du Conseil de sécurité de l'ONU, a contribué, au cours de la dernière session de la 19e commission de l'Assemblée générale des Nations unies, à l'adoption d'une motion en faveur du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, également secrétaire général du Front Polisario, participera à cette conférence à la tête d'une importante délégation du gouvernement de la RASD, ainsi que des représentants des mouvements du peuple sahraoui dans les territoires occupés du Sahara Occidental. Des parlementaires et d'importantes personnalités représentant de nombreux pays prendront part également à cet événement. Cette conférence qui se déroulera dans un contexte international marqué par l'adoption, en avril 2007, de la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, et le début, en juin dernier, des négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario, devra accorder, selon les organisateurs de cette rencontre, beaucoup d'attention à la lutte pacifique et courageuse du peuple sahraoui dans les territoires occupés par le Maroc. Ceci d'autant que les violations marocaines des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental ont été dénoncées par de nombreux intervenants à la quatrième Commission de l'Assemblée générale de l'Onu, chargée de la décolonisation, qui s'est tenue récemment à New York. Les intervenants ont déploré la "négation persistante" par le Maroc du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et le "silence assourdissant et complaisant" des grands médias internationaux. Ils ont souligné que le Sahara Occidental n'a pas besoin de l'autonomie, mais de son indépendance, critiquant au passage le Maroc "qui bafoue les droits de la population sahraouie au nom de droits historiques autoproclamés». Pour sa part, le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, a estimé que le Maroc "rame à contre courant de la volonté exprimée par la communauté internationale", ajoutant que les propos tenus par le roi Mohamed VI dans son dernier discours, "sont de nature à entraver les efforts déployés par l'ONU, et visent, on ne peut plus clairement, à contrarier la mission du secrétaire général et de son envoyé personnel" dans la recherche d'une solution politique au conflit sahraoui.