Nicolas Sarkozy n'a pas trouvé mieux que de défendre le projet de ses hôtes. Sans se référer aux recommandations et aux dernières résolutions des Nations unies, il a jugé que le plan d'autonomie pour le Sahara Occidental est «sérieux et crédible». Nicolas Sarkozy n'a pas trouvé mieux que de défendre le projet de ses hôtes. Sans se référer aux recommandations et aux dernières résolutions des Nations unies, il a jugé que le plan d'autonomie pour le Sahara Occidental est «sérieux et crédible». «La position de la france n'a pas changé», avait lancé le président français à la face des parlementaires marocains, ajoutant que son pays sera aux côtés des Marocains. Pis encore, Nicolas Sarkozy, malgré les réserves émises par la communauté internationale par rapport aux propositions marocaines concernant le Sahara Occidental, n'a pas trouvé mieux que de défendre le projet de ses hôtes. Sans se référer aux recommandations et aux dernières résolutions des Nations unies, il a jugé que le plan d'autonomie pour le Sahara Occidental est « sérieux et crédible ». Pour lui, ce plan constitue un « élément nouveau de propositions après des années d'impasse », feignant d'oublier que ce sont justement ces propositions et l'entêtement de Paris qui ont conduit à l'impasse. Sur la lancée, il estime que «les efforts déployés par le Maroc devraient être couronnés de succès». La France a toujours joué le rôle de protecteur de la politique royale. On se souvient des déclarations de l'ancien président français, qui, à l'occasion de l'enterrement du roi Hassan II, a affirmé publiquement son soutien indéfectible au nouveau souverain. Il a maintes fois torpillé les médiations de bons offices pour le règlement de ce conflit. On évoque même son rôle dans le « torpillage » du plan Baker. Il reste qu'aujourd'hui, si l'on doit évoquer la particularité de ces déclarations, c'est le projet d'union méditerranéenne qui risque de tomber à l'eau. Depuis que Nicolas Sarkozy en a évoqué l'idée, à Alger, les manifestations d'intérêt se sont multipliées. C'est d'autant plus significatif à souligner que les utopies et leurs échecs se sont succédé. Ce que les Européens ne souhaitent pas, car ce projet constitue tout simplement l'avenir de l'Europe. Le Sahara Occidental est une ancienne colonie espagnole annexée par Rabat en 1975. Le Maroc propose une large autonomie avec un gouvernement et un Parlement locaux, sous sa souveraineté. Le Front Polisario a rejeté le plan marocain et réaffirmé « le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination ». Pour rappel, en août dernier, deux journées de négociations entre le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario sur l'avenir du Sahara Occidental près de New York, sous l'égide de l'Onu, n'ont pas permis de trouver un accord. Les deux parties ont cependant convenu de se rencontrer de nouveau. «La position de la france n'a pas changé», avait lancé le président français à la face des parlementaires marocains, ajoutant que son pays sera aux côtés des Marocains. Pis encore, Nicolas Sarkozy, malgré les réserves émises par la communauté internationale par rapport aux propositions marocaines concernant le Sahara Occidental, n'a pas trouvé mieux que de défendre le projet de ses hôtes. Sans se référer aux recommandations et aux dernières résolutions des Nations unies, il a jugé que le plan d'autonomie pour le Sahara Occidental est « sérieux et crédible ». Pour lui, ce plan constitue un « élément nouveau de propositions après des années d'impasse », feignant d'oublier que ce sont justement ces propositions et l'entêtement de Paris qui ont conduit à l'impasse. Sur la lancée, il estime que «les efforts déployés par le Maroc devraient être couronnés de succès». La France a toujours joué le rôle de protecteur de la politique royale. On se souvient des déclarations de l'ancien président français, qui, à l'occasion de l'enterrement du roi Hassan II, a affirmé publiquement son soutien indéfectible au nouveau souverain. Il a maintes fois torpillé les médiations de bons offices pour le règlement de ce conflit. On évoque même son rôle dans le « torpillage » du plan Baker. Il reste qu'aujourd'hui, si l'on doit évoquer la particularité de ces déclarations, c'est le projet d'union méditerranéenne qui risque de tomber à l'eau. Depuis que Nicolas Sarkozy en a évoqué l'idée, à Alger, les manifestations d'intérêt se sont multipliées. C'est d'autant plus significatif à souligner que les utopies et leurs échecs se sont succédé. Ce que les Européens ne souhaitent pas, car ce projet constitue tout simplement l'avenir de l'Europe. Le Sahara Occidental est une ancienne colonie espagnole annexée par Rabat en 1975. Le Maroc propose une large autonomie avec un gouvernement et un Parlement locaux, sous sa souveraineté. Le Front Polisario a rejeté le plan marocain et réaffirmé « le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination ». Pour rappel, en août dernier, deux journées de négociations entre le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario sur l'avenir du Sahara Occidental près de New York, sous l'égide de l'Onu, n'ont pas permis de trouver un accord. Les deux parties ont cependant convenu de se rencontrer de nouveau.