Mesure salutaire au profit des enfants nés sous x : le test d'ADN finalement applicable en Algérie. L'obligation de passer le test d'ADN figurant dans le projet de loi mis au point par le ministère de la solidarité nationale a pour but de mettre le géniteur face à ses responsabilités. Ce projet de loi permettra aux enfants nés sous x de bénéficier d'une reconnaissance paternelle et d'avoir de ce fait un nom patronyme. Notons que le projet de loi figure parmi les principaux axes de la stratégie nationale de lutte contre la violence à l'encontre des femmes, un phénomène aux propensions alarmantes. A la demande de la mère, le dit père sera obligé de subir le test de paternité et ce, sous le contrôle d'un juge. Si le test s'avère positif, le géniteur sera contraint de reconnaître l'enfant, mais sans être dans l'obligation d'épouser la mère. A noter que plus de 5000 naissances hors mariage sont enregistrées annuellement en Algérie, un chiffre effarant. Le projet de loi a pour visée de protéger l'enfant et lui assurer un avenir meilleur. Les enfants nés hors mariage sont une frange de la société marginalisée et condamnée sévèrement. Aujourd'hui, cette mesure non seulement mettra le père face à ses responsabilités, mais accordera la chance à l'enfant d'évoluer sereinement au sein de son contexte social sans être désigné péjorativement « d'enfant de l'assistance ou « fils du péché ». Mesure salutaire au profit des enfants nés sous x : le test d'ADN finalement applicable en Algérie. L'obligation de passer le test d'ADN figurant dans le projet de loi mis au point par le ministère de la solidarité nationale a pour but de mettre le géniteur face à ses responsabilités. Ce projet de loi permettra aux enfants nés sous x de bénéficier d'une reconnaissance paternelle et d'avoir de ce fait un nom patronyme. Notons que le projet de loi figure parmi les principaux axes de la stratégie nationale de lutte contre la violence à l'encontre des femmes, un phénomène aux propensions alarmantes. A la demande de la mère, le dit père sera obligé de subir le test de paternité et ce, sous le contrôle d'un juge. Si le test s'avère positif, le géniteur sera contraint de reconnaître l'enfant, mais sans être dans l'obligation d'épouser la mère. A noter que plus de 5000 naissances hors mariage sont enregistrées annuellement en Algérie, un chiffre effarant. Le projet de loi a pour visée de protéger l'enfant et lui assurer un avenir meilleur. Les enfants nés hors mariage sont une frange de la société marginalisée et condamnée sévèrement. Aujourd'hui, cette mesure non seulement mettra le père face à ses responsabilités, mais accordera la chance à l'enfant d'évoluer sereinement au sein de son contexte social sans être désigné péjorativement « d'enfant de l'assistance ou « fils du péché ».