Les formations politiques en lice affichent de grandes ambitions à moins d'un mois du jour "J". Les slogans fusent de partout et les partis peaufinent leurs programmes, en perspective d'une campagne qu'ils veulent persuasive et réaliste quant aux problèmes quotidiens qui écument le vécu des Algériens. Les formations politiques en lice affichent de grandes ambitions à moins d'un mois du jour "J". Les slogans fusent de partout et les partis peaufinent leurs programmes, en perspective d'une campagne qu'ils veulent persuasive et réaliste quant aux problèmes quotidiens qui écument le vécu des Algériens. La course au renouvellement des assemblées communale et de wilaya s'annonce très serrée. A trois jours de l'entame de la campagne électorale pour les locales du 29 novembre prochain, les différentes formations en lice affûtent leurs armes, dans l'espoir de ramasser le plus grand nombre de voix possibles, lors du scrutin. Le nombre de partis politiques en lice est sensiblement réduit, comparativement aux législatives du 17 mai dernier, et rares sont les indépendants qui sont parvenus à ramasser les signatures nécessaires pour pouvoir postuler sur les listes électorales. En effet, après cette période tumultueuse qui a suivi la finalisation des listes de candidature où la majorité des partis crient à l'exclusion et chargent l'administration, qui a accusé une fin de non recevoir et évincé plusieurs candidats, soit pour vice de forme ou bien pour atteinte à l'ordre public. C'est le cas du FFS qui est allé jusqu'à demander audience auprès du Chef du gouvernement, en vain, puisque ses doléances ont été désavouées par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales. Idem pour le FNA de Moussa Touati, qui s'est vu amputer de plus de 600 candidatures. Le MSP, le RCD, le FLN et le PT n'en disent pas plus. C'est dire cette atmosphère, devenue coutumière, qui précède chaque verdict de l'Administration, où les délibérations sont toujours contestées. Par ailleurs, les formations politiques en lice affichent de grandes ambitions à moins d'un mois du jour "J". Les slogans fusent de partout et les partis peaufinent leurs programmes, en perspective d'une campagne, qu'ils veulent persuasive et réaliste quant aux problèmes quotidiens qui écument le vécu des Algériens. Si le PT s'accroche plus que jamais au concept de la souveraineté nationale, duquel il puise toutes ses lignes directives, le MSP, lui, dit aux citoyens : "Votez pour moi, et demandez-moi des comptes après". C'est dire que le parti de Aboudjerra Soltani, troisième force politique à l'Assemblée populaire nationale, après ses deux acolytes de l'Alliance présidentielle, ambitionne d'investir les assemblées locales, véritable pouvoir local en attendant la révision des codes communal et de wilaya. "Des communes au service des préoccupations citoyennes, franchise, bonne gouvernance et responsabilité et développement sur la base d'une justice sociale" dixit le FFS, avec la promesse de surprendre lors des échéances du 29 novembre. De son côté, les slogans ne font pas campagne au RND, alors que le FLN vit au rythme de clivages que les dissensions internes au sein de ce parti se réveillent à chaque rendez-vous électoral. Donc, pas de place aux slogans au vieux parti, s'affairant plutôt à apaiser la crise qui le secoue chaque jour un peu plus. Le RCD n'a pas encore révélé ses slogans et programmes électoraux. En tout état de cause, les partis politiques en course, pour les prochaines élections locales, sont sur le pied de guerre, en attendant la campagne électorale, dont le coup d'envoi sera donné jeudi prochain. La course au renouvellement des assemblées communale et de wilaya s'annonce très serrée. A trois jours de l'entame de la campagne électorale pour les locales du 29 novembre prochain, les différentes formations en lice affûtent leurs armes, dans l'espoir de ramasser le plus grand nombre de voix possibles, lors du scrutin. Le nombre de partis politiques en lice est sensiblement réduit, comparativement aux législatives du 17 mai dernier, et rares sont les indépendants qui sont parvenus à ramasser les signatures nécessaires pour pouvoir postuler sur les listes électorales. En effet, après cette période tumultueuse qui a suivi la finalisation des listes de candidature où la majorité des partis crient à l'exclusion et chargent l'administration, qui a accusé une fin de non recevoir et évincé plusieurs candidats, soit pour vice de forme ou bien pour atteinte à l'ordre public. C'est le cas du FFS qui est allé jusqu'à demander audience auprès du Chef du gouvernement, en vain, puisque ses doléances ont été désavouées par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales. Idem pour le FNA de Moussa Touati, qui s'est vu amputer de plus de 600 candidatures. Le MSP, le RCD, le FLN et le PT n'en disent pas plus. C'est dire cette atmosphère, devenue coutumière, qui précède chaque verdict de l'Administration, où les délibérations sont toujours contestées. Par ailleurs, les formations politiques en lice affichent de grandes ambitions à moins d'un mois du jour "J". Les slogans fusent de partout et les partis peaufinent leurs programmes, en perspective d'une campagne, qu'ils veulent persuasive et réaliste quant aux problèmes quotidiens qui écument le vécu des Algériens. Si le PT s'accroche plus que jamais au concept de la souveraineté nationale, duquel il puise toutes ses lignes directives, le MSP, lui, dit aux citoyens : "Votez pour moi, et demandez-moi des comptes après". C'est dire que le parti de Aboudjerra Soltani, troisième force politique à l'Assemblée populaire nationale, après ses deux acolytes de l'Alliance présidentielle, ambitionne d'investir les assemblées locales, véritable pouvoir local en attendant la révision des codes communal et de wilaya. "Des communes au service des préoccupations citoyennes, franchise, bonne gouvernance et responsabilité et développement sur la base d'une justice sociale" dixit le FFS, avec la promesse de surprendre lors des échéances du 29 novembre. De son côté, les slogans ne font pas campagne au RND, alors que le FLN vit au rythme de clivages que les dissensions internes au sein de ce parti se réveillent à chaque rendez-vous électoral. Donc, pas de place aux slogans au vieux parti, s'affairant plutôt à apaiser la crise qui le secoue chaque jour un peu plus. Le RCD n'a pas encore révélé ses slogans et programmes électoraux. En tout état de cause, les partis politiques en course, pour les prochaines élections locales, sont sur le pied de guerre, en attendant la campagne électorale, dont le coup d'envoi sera donné jeudi prochain.