L'envoyé spécial de l'ONU Ibrahim Gambari a entamé de nouvelles discussions hier en Birmanie où le régime militaire a défendu sa décision de ne pas renouveler l'accréditation du chef de l'équipe onusienne à Rangoun, Charles Petrie. Il s'agit de la deuxième mission de M. Gambari en Birmanie depuis la répression brutale par le régime il y a un mois d'un puissant mouvement de protestation emmené par des moines bouddhistes. Vendredi, à la veille de l'arrivée de M. Gambari, les autorités ont informé l'ONU qu'elles n'avaient pas l'intention de prolonger l'accréditation de M. Petrie, le chef de l'équipe onusienne à Rangoun qui, le 24 octobre, avait dénoncé la pauvreté et les souffrances de la population en Birmanie, un pays pourtant riche en ressources naturelles. L'envoyé spécial de l'ONU Ibrahim Gambari a entamé de nouvelles discussions hier en Birmanie où le régime militaire a défendu sa décision de ne pas renouveler l'accréditation du chef de l'équipe onusienne à Rangoun, Charles Petrie. Il s'agit de la deuxième mission de M. Gambari en Birmanie depuis la répression brutale par le régime il y a un mois d'un puissant mouvement de protestation emmené par des moines bouddhistes. Vendredi, à la veille de l'arrivée de M. Gambari, les autorités ont informé l'ONU qu'elles n'avaient pas l'intention de prolonger l'accréditation de M. Petrie, le chef de l'équipe onusienne à Rangoun qui, le 24 octobre, avait dénoncé la pauvreté et les souffrances de la population en Birmanie, un pays pourtant riche en ressources naturelles.