L'envolée du baril de «Light sweet crude» a atteint, hier, 98,46 dollars à New York, soit un nouveau record, en raison de l'inquiétude engendrée par l'épuisement des stocks américains. La dévalorisation du dollar par rapport à l'euro est également à l'origine de la hausse effrénée du baril de pétrole. Tandis qu'à Londres le baril du Brent valait 95,09 dollars. D'autant plus, le prix du baril de pétrole a réalisé une extraordinaire ascension à New York, où il a atteint le seuil historique de 97,10 dollars mardi dernier, soit une augmentation de 2 dollars, en une seule séance. Dans l'hypothèse d'une diminution générale des réserves pétrolières mondiales et plus particulièrement des stocks américains, qui subissent des réductions significatives en raison des problèmes d'approvisionnement, les cours du baril ne tarderont pas à atteindre le seuil historique de 100 dollars. Cette hausse était d'ailleurs, prévue des analystes en matière énergétique, qui ont tablé sur un baril à 100 dollars, avant même la fin de l'automne. C'est dans la capitale britannique, Londres, que la hausse du prix du baril été plus significative sur le plan de l'évolution, sa progression atteignant 4 dollars en l'espace d'une journée où la cote était de l'ordre de 93,56 dollars mardi dernier. Cela fait deux mois que le baril de pétrole accentue sa percée sur le marché international. En effet, depuis le mois de septembre, il a enregistré pas moins de 12 dollars d'augmentation sur les marchés new yorkais et londonien. Suivant la conjoncture internationale, caractérisée par des troubles politiques et sociaux et des évènements imprévus, tels que les tensions à la frontière irako- turque et la crise institutionnelle au Pakistan, en plus de l'effritement des stocks d'essence et des réserves pétrolières dans les raffineries américaines, la barre des 100 dollars sera, donc, très prochainement franchie. D'autant plus que la demande est fortement supérieure à l'offre, d'où cette tendance à la hausse du baril qui ne connaîtra désormais aucune limite. Le marché est règlementé uniquement par la loi de l'offre et de la demande, propre à l'économie de marché et au libéralisme, loin de toutes pressions ou chantage politique ou géostratégique. Les pays industrialisés, gros consommateurs d'énergie, sont les premiers à ressentir les effets négatifs de la hausse des cours du baril. En premier lieu, les Etats-Unis d'Amérique qui consomment beaucoup plus de carburant, de fioul et de gasoil, notamment, en période hivernale où les stocks subissent une courbe descendante, de l'ordre de plus de 800.000 barils. Les Américains estiment que le coût du baril de pétrole demeure élevé, en raison de la croissante consommation mondiale de pétrole brut, susceptible de connaître une augmentation de 1,8 million de barils par jour en 2008, comparativement à l'année 2007. L'envolée du baril de «Light sweet crude» a atteint, hier, 98,46 dollars à New York, soit un nouveau record, en raison de l'inquiétude engendrée par l'épuisement des stocks américains. La dévalorisation du dollar par rapport à l'euro est également à l'origine de la hausse effrénée du baril de pétrole. Tandis qu'à Londres le baril du Brent valait 95,09 dollars. D'autant plus, le prix du baril de pétrole a réalisé une extraordinaire ascension à New York, où il a atteint le seuil historique de 97,10 dollars mardi dernier, soit une augmentation de 2 dollars, en une seule séance. Dans l'hypothèse d'une diminution générale des réserves pétrolières mondiales et plus particulièrement des stocks américains, qui subissent des réductions significatives en raison des problèmes d'approvisionnement, les cours du baril ne tarderont pas à atteindre le seuil historique de 100 dollars. Cette hausse était d'ailleurs, prévue des analystes en matière énergétique, qui ont tablé sur un baril à 100 dollars, avant même la fin de l'automne. C'est dans la capitale britannique, Londres, que la hausse du prix du baril été plus significative sur le plan de l'évolution, sa progression atteignant 4 dollars en l'espace d'une journée où la cote était de l'ordre de 93,56 dollars mardi dernier. Cela fait deux mois que le baril de pétrole accentue sa percée sur le marché international. En effet, depuis le mois de septembre, il a enregistré pas moins de 12 dollars d'augmentation sur les marchés new yorkais et londonien. Suivant la conjoncture internationale, caractérisée par des troubles politiques et sociaux et des évènements imprévus, tels que les tensions à la frontière irako- turque et la crise institutionnelle au Pakistan, en plus de l'effritement des stocks d'essence et des réserves pétrolières dans les raffineries américaines, la barre des 100 dollars sera, donc, très prochainement franchie. D'autant plus que la demande est fortement supérieure à l'offre, d'où cette tendance à la hausse du baril qui ne connaîtra désormais aucune limite. Le marché est règlementé uniquement par la loi de l'offre et de la demande, propre à l'économie de marché et au libéralisme, loin de toutes pressions ou chantage politique ou géostratégique. Les pays industrialisés, gros consommateurs d'énergie, sont les premiers à ressentir les effets négatifs de la hausse des cours du baril. En premier lieu, les Etats-Unis d'Amérique qui consomment beaucoup plus de carburant, de fioul et de gasoil, notamment, en période hivernale où les stocks subissent une courbe descendante, de l'ordre de plus de 800.000 barils. Les Américains estiment que le coût du baril de pétrole demeure élevé, en raison de la croissante consommation mondiale de pétrole brut, susceptible de connaître une augmentation de 1,8 million de barils par jour en 2008, comparativement à l'année 2007.