Mohammed VI a réaffirmé, mardi, que la seule solution à la question du Sahara Occidental était l'autonomie sous souveraineté marocaine. Mohammed VI a réaffirmé, mardi, que la seule solution à la question du Sahara Occidental était l'autonomie sous souveraineté marocaine. La position adoptée par le monarque du Maroc à propos du Sahara Occidental a suscité, hier, la réaction Front Polisario lequel, sans ambages, a condamné celle-ci, estimant «qu'elle est contraire à la légalité internationale et s'inscrit dans un contexte d'exacerbation des tensions en s'éloignant du processus de négociations permettant au peuple sahraoui d'exercer son droit à l'autodétermination». Il est à préciser que le roi du Maroc Mohammed VI a réaffirmé, mardi, que la seule solution à la question du Sahara Occidental était l'autonomie sous souveraineté marocaine. Dans son discours, le souverain chérifien avait affirmé que «quelle que soit la formule de la solution consensuelle qui émergera de négociations sérieuses (…), le Maroc, son roi et son peuple, n'accepteront rien d'autre que l'autonomie, dans le cadre d'un Etat uni et unifié». Une déclaration qui remet en cause le principe de l'autodétermination du Sahara Occidental. Le roi du Maroc s'était exprimé dans un discours télévisé à l'occasion du 32e anniversaire de la «Marche verte», le 6 novembre 1975, lorsqu'à l'appel du roi Hassan II, 350.000 Marocains avaient marché en direction du Sahara Occidental, sous occupation espagnole, pour en revendiquer l'appartenance au royaume. Dans son communiqué, le Polisario a estimé que les propos traduisant sa position vis-à-vis de la question sahraouie constituent «une violation par l'Etat marocain de la légalité internationale et le reniement de ses engagements, en tentant d'imposer le fait accompli». Il convient de rappeler que le Polisario a, de tous temps, rejeté le projet marocain d'autonomie et réaffirmé «le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination». En clair, la position du roi marocain vient s'inscrire en porte à faux avec des résolutions de l'ONU. Sur ce chapitre, il est à rappeler que le 31 octobre dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU avait exhorté le Maroc et le Polisario à «persévérer dans la voie du dialogue et à s'engager dans des négociations substantielles sur l'avenir de l'ancienne colonie espagnole du Sahara Occidental qu'ils se disputent depuis 1975». La position adoptée par le monarque du Maroc à propos du Sahara Occidental a suscité, hier, la réaction Front Polisario lequel, sans ambages, a condamné celle-ci, estimant «qu'elle est contraire à la légalité internationale et s'inscrit dans un contexte d'exacerbation des tensions en s'éloignant du processus de négociations permettant au peuple sahraoui d'exercer son droit à l'autodétermination». Il est à préciser que le roi du Maroc Mohammed VI a réaffirmé, mardi, que la seule solution à la question du Sahara Occidental était l'autonomie sous souveraineté marocaine. Dans son discours, le souverain chérifien avait affirmé que «quelle que soit la formule de la solution consensuelle qui émergera de négociations sérieuses (…), le Maroc, son roi et son peuple, n'accepteront rien d'autre que l'autonomie, dans le cadre d'un Etat uni et unifié». Une déclaration qui remet en cause le principe de l'autodétermination du Sahara Occidental. Le roi du Maroc s'était exprimé dans un discours télévisé à l'occasion du 32e anniversaire de la «Marche verte», le 6 novembre 1975, lorsqu'à l'appel du roi Hassan II, 350.000 Marocains avaient marché en direction du Sahara Occidental, sous occupation espagnole, pour en revendiquer l'appartenance au royaume. Dans son communiqué, le Polisario a estimé que les propos traduisant sa position vis-à-vis de la question sahraouie constituent «une violation par l'Etat marocain de la légalité internationale et le reniement de ses engagements, en tentant d'imposer le fait accompli». Il convient de rappeler que le Polisario a, de tous temps, rejeté le projet marocain d'autonomie et réaffirmé «le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination». En clair, la position du roi marocain vient s'inscrire en porte à faux avec des résolutions de l'ONU. Sur ce chapitre, il est à rappeler que le 31 octobre dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU avait exhorté le Maroc et le Polisario à «persévérer dans la voie du dialogue et à s'engager dans des négociations substantielles sur l'avenir de l'ancienne colonie espagnole du Sahara Occidental qu'ils se disputent depuis 1975».